A la faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FSEG), si certains étudiants ont comme souci principal le dénouement de la crise qui oppose le gouvernement et le syndicat national de l’enseignement supérieur (Snesup), d’autres en plus s’inquiètent de leur omission sur la liste des huissiers.
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Ces étudiants, à cause de leur omission, sont privés aujourd’hui de leurs bourses et levně cyklodresy attendent impatiemment pour être dans leurs droits. C’est dire qu’ils ont passé toute l’année scolaire sans percevoir un centime.
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La bourse est considérée comme une pension accordée à un élève, un étudiant ou un chercheur pour l’aider à poursuivre ses études. C’est-à-dire qu’elle sert aux étudiants pour subvenir à leurs besoins. Des besoins qui concernent, entre autres, l’achat de documentation, les frais de transport, de logement, d’habillement, etc. Peut-on dire que ces étudiants omis ont été mis dans les conditions idoines pour pouvoir bien étudier ? Comme réponse, on affirmera sans risque de se tromper qu’ils n’ont pas bénéficié du traitement prévu. Les conséquences sont incalculables. L’étudiant souffre sur plusieurs plans : documentation, moyen de déplacement pour faire les recherches, habillement, logement, etc.
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Toutes choses qui dérangent psychologiquement un étudiant pour bien étudier. «Qu’un étudiant passe une année scolaire sans bourse est inexplicable. Nous considérons la bourse comme le moyen le plus efficace pour subvenir à nos besoins éducatifs. C’est pourquoi, nous luttons auprès de l’administration pour, dans les années à venir, qu’il basketball trøye NBA n’y ait pas de cas d’omissions. Ces étudiants seront rétablis dans leurs droits, mais ça va leur servir peu. Parce qu’au moment où ils avaient besoin de cet argent, ils ne l’ont pas touché», a fait savoir le secrétaire général de l’AEEM de la FSEG, Aboubacar Bangoura.
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L’indignation des omis est grande. «A cause de l’omission, je suis aujourd’hui endetté à plus de 100 000 F Cfa. Ces sommes sont reparties entre les frais de logement, d’électricité, d’eau, de déplacement, ainsi que mes petits besoins. Si ce n’est pas le concours de mes camarades qui n’ont pas été omis et des parents qui font mes photocopies et m’envoient un peu d’argent, j’allais connaître le pire», a déclaré M. Kéïta de la troisième année Gestion. Ces replica uhren kaufen omissions ont été constatées après la publication de la liste des boursiers. Elles sont dues, selon Bangoura, au fait que le travail se fait jusqu’à présent manuellement par l’économat. Le système n’est pas informatisé. Est-il normal qu’une faculté d’environ 8000 étudiants soit sans système informatique ?
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