Temoignage 1 : L’Institut des Sciences Politiques, Relations Internationales et la Communication

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(ISPRIC) est l’une des premières écoles privées qui a bénéficié de la confiance des autorités universitaires de notre pays. Ce qui lui a permis d’avoir des partenariats auprès des grandes universités tant au niveau de la sous-région qu’en dehors du continent. En plus du premier et second cycle de l’enseignement supérieur, elle a ouverte en soin sein des cours de troisième cycle sous la direction des professeurs hors classe de l’université Cheick Anta DIOP de Dakar, et cela dans le dessein d’avoir une formation de qualité au même titre que les autres États, mais aussi et surtout de donner la chance aux cadres maliens d’avoir de l’inscription pour la thèse.

 

Son premier produit, entouré de ses parents, collègues et amis, a été fraichement honoré par les membres du jury composé de Pr Isaac Yankhoba N’DIAYE (Vice-Président du conseil constitutionnel du Sénégal,  Maître de conférence à L’UCAD et chargé de Programme D.E.A à l’ISPRIC) Directeur de thèse; Pr Daouda SACKO Doyen de la faculté de droit privé FDPRI,  maître de conférence) Co-directeur de thèse; Pr Abdoul Wahab BERTE (Ancien ministre, Avocat) rapporteur coté malien ; Pr Amadou FAYE (maître de conférence UCAD, chargé de programme D.E.A à ISPRIC) rapporteur coté sénégalais.

 

Le thème portait sur : « Entreprise et développement : Étude sur le financement des entreprises au Mali.»  La soutenance a eu lieu dans l’amphithéâtre de la faculté de droit privé de Bamako. Pour nos lecteurs, nous nous sommes intéressés au parcours de l’homme.

 

Journal le FLAMBEAU : Bonjour monsieur, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

 

Amara Ben Yaya Traoré : Je suis Amara Ben Yaya Traoré, journaliste de formation, et Je suis tout fraichement admis au  concours d’entrée à la fonction publique avec comme rang 3e national.

 

Journal le FLAMBEAU : pourquoi avez-vous choisi de poursuivre vos études à l’ISPRIC ?

 

Amara Ben Yaya Traoré : j’ai été conseillé par certains amis de venir à l’ISPRIC aussi pour la qualité du corps professoral et les conditions d’Études. En tous cas le sérieux y est : soit vous étudiez, ou vous vous faites étrangler par la sérénité des professeurs.  

 

Journal le FLAMBEAU : quels étaient les résultats auxquels vous vous attendez le jour de votre inscription à l’ISPRIC ?

 

Amara Ben Yaya Traoré : Je m’attendais à un enseignement de qualité et des bonnes conditions d’étude. Le résultat a été obtenu aujourd’hui puisque mon rêve d’être journaliste s’est réalisé. La réussite, la bonne formation et l’efficacité font partie des défis de l’ISPRIC avec un programme de qualité et surtout des enseignants de qualité. Vraiment l’ISPRIC représente tout pour moi.

Journal le FLAMBEAU : quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées ?

Amara Ben Yaya Traoré : personnellement, je me suis plaint du manque de considération de la direction pour nous, puisque nous n’étions pas nombreux dans notre filière. Mais on accordait plutôt de l’importance à ceux qui faisaient Relations Internationales, Droit public et tant d’autres. Et l’une des difficultés aussi que j’ai personnellement rencontrées, c’est d’avoir des matières qui n’avaient rien à avoir avec ma formation.

Journal le FLAMBEAU : Que conseillez-vous aux jeunes qui veulent aller vers les diplômes postuniversitaires ? 

Amara Ben Yaya Traoré : Tout d’abord, d’aller à l’Ispric. Ce n’est pas pour faire de la publicité mais pour qu’ils aient une formation digne de ce nom. Aux jeunes, je leur dis de se former, seule la formation paye. Surtout ceux qui veulent faire le journalisme, ce n’est pas un métier facile, mais tout de même très passionnant. Quand vous venez dans le monde du journalisme pour de l’argent, c’est sûr que vous allez claquer la porte un jour. Donc, il faudrait au préalable avoir l’amour de tout ce que vous entreprenez dans la vie. Mais avant de boucler cette interview, je dis merci, un grand merci à I’Ispric et a tout son Staff. Je leur dis aussi que je n’ai pas vraiment regretté mon choix d’aller à l’ISPRIC.

 

Témoignages 2

Journal le FLAMBEAU : Bonjour monsieur, pouvez-vous vous présenter ?

Drissa Coulibaly: Je suis Drissa Coulibaly, je suis journaliste. Et Je suis un fruit de l’ISPRIC

Journal le FLAMBEAU : Drissa Coulibaly, pouvez-vous nous dire vos motivations pour le choix de l’ISPRIC?

 

Drissa Coulibaly: En premier lieu, j’ai été émerveillé par la qualité des études et du cadre d’étude offert par l’établissement en question, mais aussi et surtout influencé par les cadres qui sont passés par là. La qualité du corps professoral, des cours dispensés, est vraiment sans reproche (sic !). Et les étudiants sont obligés de fournir des efforts pour arriver à leur fin.

Journal le FLAMBEAU : quels sont les résultats auxquels vous vous attendez le jour de votre inscription à l’ISPRIC ?

Drissa Coulibaly: Comme tout étudiant soucieux de son avenir, un enseignement de qualité. Et aujourd’hui, le résultat a été atteint puisque j’écris dans plusieurs journaux maintenant. La maitrise de l’excellence n’est pas qu’un slogan, mais une réalité. L’ispric s’est fixé des objectifs, comme la bonne formation des jeunes cadres de ce pays. À mon avis,  avec un programme de qualité et un environnement sain comme à l’Ispric, il y’en a pas beaucoup. Et maintenant beaucoup de jeunes des pays voisins viennent se former à l’ispric, cela certifie le sérieux.

Journal le FLAMBEAU : quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées ?

Drissa Coulibaly: lors de ma soutenance, ma thèse semblait vague et compliquée, donc ce qui fait que j’ai été le dernier à soutenir. Puisqu’on m’avait donné six mois de plus que les autres. Parce qu’en ce temps, réunir tous les intervenants de renommée qui devait perfectionner mon travail davantage n’a pas été chose facile. Mais Dieu merci je me suis tiré d’affaire.

Journal le FLAMBEAU : que conseillez-vous aux jeunes qui veulent aller vers les diplômes postuniversitaires ? 

 

Drissa Coulibaly: Une première chose : aller à l’ISPRIC. Vous ne le regretterez jamais, si en tout cas vous voulez une formation digne de ce nom. Que les jeunes sachent que rien ne vaut la formation. C’est la seule lutte qui vaille d’être menée. Surtout à ceux-là qui veulent se former, qu’ils sachent que quoi que l’homme fasse, sans amour et passion, ceci n’aura point de sens. Ne vous laissez jamais intimider par qui que ce soit.

Et pour finir, je remercie de tout cœur l’ISPRIC et tout son corps professoral, ainsi que la direction, pour cette mission combien noble qu’est la formation des jeunes avec une maitrise parfaite de l’excellence.

Mamoutou Tangara et Hamady Diallo

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