Suite à l’échec des négociations avec le gouvernement, les syndicats de l’éducation, signataires du 15 octobre 2016, projettent de tenir une marche nationale le 11 avril. L’information a été donnée à travers une lettre circulaire, rendue publique le 4 avril.
La crise de l’école malienne n’a pas encore connu son épilogue. Les syndicats et le gouvernement sont toujours en divergence de vues sur certains points de revendications. Comme en attestent, les résultats de la dernière table de négociation tenue à la date du 23 mars.
Sentant le gouvernement moins réceptif à leur méthode d’approche, les syndicats de l’éducation ont décidé de changer de fusil d’épaule. Comme pour se mettre à la mode, ils ont décidé de faire bouger les lignes par la voie de la rue.
De ce fait à quelques semaines de leur négociation soldée par un échec avec le gouvernement, les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre projettent une marche à la date du 11 avril.
A propos de cette marche, le secrétaire général de SYPESCO, Adama Fomba, dira qu’elle est initiée pour l’atteinte des objectifs des syndicats. Selon lui, pour situer davantage leurs militants par rapport au contenu de ce dossier de marche nationale, des assemblées générales unitaires d’information et de mobilisation seront organisées le mercredi 10 avril dans les différents établissements.
De ce fait, il a invité dans cette lettre circulaire les responsables syndicaux régionaux et locaux à prendre toutes les dispositions nécessaires pour la réussite de cette marche. Comme pour décliner toute responsabilité, il dira qu’une éventuelle année blanche au Mali serait de la responsabilité du gouvernement.
Selon lui, s’il arrivait que le gouvernement plonge l’école malienne dans une année blanche cette année, la lutte sera continuelle dès l’ouverture prochaine. Que Dieu, nous en préserve.
Affaire à suivre !
Par Mariam SISSOKO
Messieurs les enseignants , vous savez j’ai de la sympathie pour vous mais ayez pitié de vous mêmes car autrefois les enseignants cherchaient à ce que leur progéniture les dépasse, preuve Soumaila Cissé, Moussa Sinko et autres responsables sont des fils d’enseignant dont leur parents ont accepté le sacrifice , mais contrairement aux enseignants de maintenant qui refusent d’enseigner leurs enfants en se cachant derrière des revendications alimentaires et funestes , bonne chance à eux.
Une gangrène, pour la traiter et donner plus de chance de vie au malade, il faut amputer le membre atteint plus haut que sa limite lésionnaire réelle.
Gangrèn€uropéenne
Bonjour chez vous
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