L’année dernière, compte tenu des circonstances qui prévalaient dans les régions du Nord, des examens isolés (DEF, BAC, BT) ont été organisés à l’intention des élèves déplacés du nord ayant abouti à l’admission de plusieurs d’entre eux.
Cette année, peut-on en espéré de même pour les élèves ressortissants de Kidal où depuis le début des hostilités en 2012, aucune école n’a ouvert ses portes jusqu’ici. Dans ce climat de brouhaha, loin des enseignants, livres et cahiers. Le gouvernement sera-t-il en mesure de trouver une solution afin de les évaluer convenablement ? Ou doivent-ils attendre la résolution définitive de la crise qui n’a que trop durer ?
Alimatou djénépo