Après un mois d’attente, les résultats du baccalauréat de la session de juin 2015 ont été proclamés hier par le ministère de l’Education nationale. Sur 119 091 candidats, 19 540, soit un taux de réussite de 17,99 %, ont été déclarés admis.
Les prétendants au bac ont été situés sur leur sort hier avec la proclamation des résultats. Les deux baccalauréats (technique et général) ont enregistré un total de 19 540 admis sur un nombre total d’inscrits de 119 091 élèves. Le taux de réussite est estimé à 17,99 %. Un pourcentage jugé faible, comparé aux autres pays de la sous-région.
A Bamako, la rive gauche compte 3900 admis pour 23 373 inscrits, soit 18,40 %. La rive droite a enregistré 4793 passants sur 27 859 inscrits, soit un taux de réussite de 19,30 %. Au bac technique, sur 3058 inscrits, on dénombre 678 admis, soit 24,42 %. Le bac général totalise un score de 17,82 %. Ce qui donne un total de réussite de 17,99 %.
La Côte d’Ivoire, qui a proclamé ses résultats lundi, est à plus de 39 %. Le Burkina Faso se situe pratiquement dans le même ordre de grandeur avec 30 %.
A noter que le taux de cette année quoique faible est plus élevé que ceux de 2014 (16,24 %), de 2013 (13,02 %) et 12 % pour 2012.
Ousmane Daou
Le résultat bien que mauvais s'est amélioré cette année par rapport aux trois dernières années. Les enfants n'étudient plus. L'environnement qui devait être favoralble aux études agit négativement sur eux. L'élève malien pour la plupart n'apprend qu'en classe; une fois sorti de la classe se sont les loisirs qui priment.
Quel désastre
nous somme sur la bonne voie même si elle semble un peu salle lorsqu’on la regarde sans dissernement. au moins on a la vérité en face de nous: il faut travailler serieusement pour transformer cette vérité amère en vérité douce. merci
les résultats obtenus cette année est plus significative que celle auparavant donc on espérer que ça va aller avec le temps.
Surtout ne perd pas de l’espoir me frère élève et serre la ceinture pour l’année prochain!
Du courage
Rien que des buveurs de thé, les plus nuls en Afrique de l'ouest en matière de l'éducation
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