Depuis l’ouverture des classes, certains élèves et leurs parents ne savent plus vers qui tourner la face. Ils dénoncent la mauvaise orientation à laquelle s’ajoute le refus du ministre de l’éducation nationale de réorienter, de droit, les élèves vers la destination appropriée. Que se passe-t-il entre ces parties condamnées à cheminer ensemble ?
Il se trouve que cette année, nombreux sont les élèves orientés contre leurs demandes. Demandes qui visent une orientation dans un établissement de proximité. Parce que les temps sont durs et le transport est coûteux. Dans ces conditions, le seul espoir pour eux demeure une réorientation dans un des établissements proches.
Imaginez un élève de Niamana qui souhaite étudier au lycée BIYA sis dans cette localité, se retrouver à Sogonigo, et qui n’obtient pas la réorientation parce que le ministre dit d’arrêter les réorientations ! Au même moment, un élève de Sogonigo veut pourtant quitter son lointain lieu d’orientation pour un retour au bercail. Où va-t-on ?
En tout état de cause, le ministre Kénékouo dit Barthelemy Togo est interpellé face à cet autre scandale qui ne tardera pas à ternir l’image d’une école qui se cherche depuis les précédentes dérives. Il revient aux cadres de ce pays de travailler dur pour relever un pays comme le Mali qui en a besoin. Rester sous le climatiseur à ne rien faire n’a jamais construit un pays. Ce pays a besoin de paix et de concorde, la bonne orientation est un droit des enfants, il faut relever ce défi, simple pourtant.
Ousmane COULIBALY
Tiékafo, je crois que tu peux être contre les cadres de ces directions que tu as citées qui au fait ne sont pas responsables de l’Orientation. L’orientation des nouveaux admis au DEF est gérée en premier lieu par la CPS. Ces cadres s’occupent du transfert des anciens élèves qui sont déjà dans le système. Vous ne pouvez nullement m’intimider pour m’empêcher de diffuser la liste et les photos des écoles privées qui ne répondent pas aux normes requises d’une école digne de ce nom. Vous pouvez déjà diffuser la liste des cadres en question. Moi je ne dénonce pas un individu mais plutôt tout un système qui terni l’image de notre système éducatif. Si vous vous constituez en avocat défenseur de je ne sais quel promotaire contre toutes les populations du Mali, c’est votre droit mais vous ne pouvez pas nous faire avaler ce qui est amer. Vous serez surpris d’être étonné ou étonné d’être surpris car vous avez retrouver les noms des écoles de vos protégés.Les promotaires des écoles privées qui sont éligibles parece qu’elles répondent aux normes ne parlent. On vous comprend mais sachez que le ciel est trop large pour le couvrir avec la paume de la main. A très bientôt.
Un D.E.A a fait de tel sort que son établissement ait bcp d’orientés dans l’académie de San. L’histoire est là vous pouvez vérifier.
IL FAUT ARRETER DE NUIRE LES PARENTS AVEC DES PROPOS INCENDIAIRES QUI NE NOUS AVANCENT PAS. SI VOUS POUVREZ ALLER VISITER CESTAINES ECOLES PRIVEES QUI SE TROUVENT DANS DES VILLAS SANS MAITRES DIPLOMES SANS MATERIELS PEDAGOGIQUES ET SOUVENT MEME SANS RESPECTER LE PROGRAMME OFFICIEL JE CROIS QUE NOS JOURNALIERS SANS DIPLOMES DE JOURNALISTES DOIVENT ARRETER DE DIVERTURE LES GENS AUJOURD HUIT LES ECOLES PRIVEES SONT COMME LES JOURNAUX ET LEURS JOURNALIERS SANS NIVEAU ET AUSSI COMME LES COROBORO BOUTIQUIS LA AU MOINS ON PEUT TROUVER DU PAIN ET MALILAIT POUR ASSOUPIR SA FAIM ET SA SOIF
IL YA EGALEMENT UNE CAMPAGNE QUI EST ORGANISEE DANS LES ECOLES PAR LES PROMOTAIRES DES ECOLES PRIVEES POUR CORROMPRE LES DIRECTEURS DES ECOLES AFIN DE PROPOSER DES ELEVES DANS LES ETABLISSEMENTS PRIVEES
AUTRE REALITE CE QUE CERTAINS ELEVES PROPOSENT DES ECOLES ELOIGNEES EN TROMPANT LES PARENTS AFIN QUE CES DERNIERS PUISSENT LEURS ACHETER DE MOTOS
IL Y A BEAUCOUP DE FICHIERS CACHES MESSEIURS LES JOURNANLIERS DES JOURNAUX
J INTERPELLE NOS JOURNALISTES PROFESSIONNELS DE FAIRE PREUVE DE SAGACITE ET DE PROFESSIONALISME POUR BIEN INFORMER LES POPULATIONS
LA POCHAINE FOIS JE VAIS VOUS DONNER LA LISTE DES ECOLES PRIVEES PAR ACADEMIE ET MEME PAR QUARTIER QUI NE MERITENT PAS D EXISTER A FOR SIORI DE RECLAMER DES ELEVES POUR LES DEFORMER PARCE QUE LES PROMOTAIRES DES CES ECOLES NE SONT PAS DES PROFESSIONNELS DE L EDUCATION.
JE POSE CETTE QUESTION A NOS AUTORITES POURQUOI ON A ACCEPTE QUE N IMPORTE QUI CREE UNE ECOLE POURQUOI NE FAIRE COMME A LA SANTE OU SEULS LES PROFESSIONELS DE LA SANTE SONT AUTORISES A OUVRIR DES PHARMACIES:
mon cher Idbal, tu es sous informé, nous avons des preuves réfutables qui incriminent les cadres du département de l’éducation qui ont participé de près ou de loin de nuire le système éducatif et les préparatifs de l’orientation. si vous pouvez publié votre liste d’école nous aussi nous allons publié les noms des cadres (responsables du 1er rang) du CAB, de la DNETP, de la DNESG et leurs complices avec les preuves à l’appui, il faut donc publier la liste des écoles.
Je vous dis je te dirai qui es ce toi.
Compte tenu de la lourde responsabilité des autorités du Ministère de l’Education Nationale dans le devenir des générations de jeunes et du Mali, je les exhorte à faire preuve de courage et d’imagination. Le Ministère a le devoir de résoudre les problèmes et non de les esquiver.
Il me paraît opportun d’aller plus loin et de comprendre les causes profondes de ces mauvaises orientations.
Les écoles privées pour une large part contribuent efficacement à relever le niveau de notre enseignement. Les raisons budgétaires ne doivent pas motiver le refus de donner des élèves boursiers aux privés. Des établissements désignés éligibles selon les critères dégagés par le département doivent impérativement recevoir des élèves. Je parie qu’à la rentrée 2016, il y aura un renvoi massif d’élèves des lycées publics, alors Barth aura tous les parents sur son dos!
ils ont menti, moi je connais des écoles privées qui doivent recevoir des élèves en ont reçu ou la vérité dans cette affaire. Barthelemy veut se faire valoir c’est pas comme ça. Il est entouré de cadres malhonnêtes. S’il ne revoit pas sa gestion c’est déjà catastrophique avec le népotisme et le sectarisme qui s’est installé au niveau de l’éducation nationale
ils ont menti, moi je connais des écoles privées qui ne doivent pas recevoir des élèves en ont reçu ou est la vérité dans cette affaire. Barthelemy veut se faire valoir c’est pas comme ça. Il est entouré de cadres malhonnêtes. S’il ne revoit pas sa gestion c’est déjà catastrophique avec le népotisme, la vengeance et le sectarisme qui s’est installé au niveau de l’éducation nationale.
nous, nous avons des preuves mais nous les dernières pour aller voir le président de la république et le 1er ministre pour nous départager.
Tout ça nous nous en remettons à DIEU, parce que Barthe ou pas, népotisme ou pas, cette année il y en a eu des désagrément. Les meilleurs resteront les meilleurs. C’est Dieu qui lui a cette chance de prendre en main la destinée du département de l’Éducation. Mais qu’ils fassent beaucoup attention parce que sa mission d’évaluation des établissements reste à désirer. C’est question de confiance et de temps, Barthe est appelé de partir mais les appréciations vont rester. Que DIEU bénisse le Mali, qu’il bénisse l’éducation Malienne.
VIVE l’excellence, à bat le népotisme et les actions de vengeances
A mon avis le ministre a raison d’orienter les élèves en priorité dans les écoles publiques. Cette décision courageuse permettra d’économiser le budget de l’éducation. Les écoles privées étaient remplies pendant que les écoles publiques manquaient presque d’élèves.
non mon cher si cela s’avère que des élèves très de chez, quelles les mesures idoines pour remédier mon cher Bell?
Le budget c’est sur le dos des contribuables et qui ont des droits vis à vis de l’Etat.
Je pense que le Ministre pourra résoudre le problème de réorientation en demandant à chaque intéressé d’accompagner sa demande d’un certificat de résidence des parents pour prouver que la personne est loin de son école.
A ce que je sache ce sont des élèves qui indiquent pour la premiere fois là où ils veulent!! Pourquoi une reorientation si les enfants ont voulu au préalable un établissement.. Le Ministre a bien expliqué pourquoi le refus de cette reorientation, alors au lieu de transformer les vérités et tromper les parents ce journaleux ferrait mieux de sensibiliser les parents d’élèves pour q’ils apprennent un peu la rigueur
Ceci pose toute la problématique des orientations à deux dimensions et du coup un conflit de compétence traduisant un manque de confiance: locale et nationale
La dimension nationale l’emporte malgré qu’elle n’a aucune maitrise du terrain, conséquence beaucoup de mécontents surtout les parents au moyens peu reluisants. On fait abstraction des difficultés même au sein d’une zone vaste.
IL faut que la dimension locale prenne le pas sur la nationale pour respect au CRO, ensuite donne plus de crédit aux académies qui regorgent d’agents qui maitrisent le terrain.
Le mouvement des enfants peut se faire avec mesure sans incidence sur le budget avec l’implication des académies dans cet exercice qui est un travail de terrain rien d’autre, il faut faire confiance aux académies en mettant la gestion passée au compte des mauvais souvenirs. Les mauvaises pratiques vont finir en sensibilisant tous ceux qui sont impliqués au bénéfice de l’école malienne. Promoteurs, chefs d’établissement doivent se battre pour rendre compétitif leur établissement, encadrement et infrastructures de qualité dans un environnement sain. L’école ne se gère pas dans les bureaux climatisés, il est inconcevable que l’avenir du pays qui est l’enfant ne soit pas mis dans les conditions favorables à son épanouissement. L’accès comme contrainte n’est pas de jour avec la multitude d’établissement.
BAKARY,
Ne voit pas les choses de cette manière, seul le secteur peut développer un pays.
Il est grand temps que les maliens commencent a integrer le serieux ds le travail.Nous sommes tjrs pres a combatre les elites.Soyons realiste.Hier seulement le president de la Republique felicitait le bon deroulement des examens et une annee scolaire oppaisee.Sortons des details allons sur l essentiel et prions pour le retour de la paix.Que dieu benisse le Mali.
Piètre journaleux,t’arrive tu de te poser les bonnes questions? comme du genre:
pourquoi cette décision du département en charge?
quels sont les buts visés par cette décision du Ministre?
ces écoles dites de proximités ont apportées quoi à notre système d’enseignement?
quelles sont les conséquences de leurs multiplicité anarchique souvent sans agrément avec des prof mal payés (qui sont obligés in fine de donner des notes de complaisance ou sexuellement transmissent);des programmes inadaptés et inachevés.
Question très personnel:qu’es ce que le ministre gagne personnellement dans cette décision ?
Il faut arrête d’être un suiviste?
L ‘école malienne souffre du mal qui se trouve en elle même. Qui peut donner à Mr BARTHLEMY les solutions qu’ils faut pour faire avancer l’école. Celui qui a fait plus de 20 ans ( Ségal ou Responsable) ne doit pas admettre des magouilles au niveau des Orientations et réorientations. Il ne peut pas empêcher cette situation, car il est soit promoteur ou associé d’un Etablissement ou Université de la place.Il pense à sa retraite, donc il lui faut de l’argent et en quantité. Il défi tout le monde et nomme celui qui lui a toujours bien servi en argent. Donc, il ne voit pas l’intérêt du Mali .Je pense qu’il faut chercher un Homme qui est neutre et qui s’est mener les hommes dans le sens du patriotisme et non vers la délinquance financière. L’école a toujours existé et continuera a exister.
Dans ce cas tu ne verras aucun cadre qui exercera une quelconque fonction dans ce pays, car vous décrivez ainsi tous les cadres du pays.. Votre earction est à la limite une diffamation..
J’ ai eu la chance,
Mon école est lointaine de parcours, mais une des meilleures écoles en qualité d’enseignement.
Papa et Maman me disent courage!
Ceci pose toute la problématique des orientations à deux dimensions et du coup un conflit de compétence traduisant un manque de confiance: locale et nationale
La dimension nationale l’emporte malgré qu’elle n’a aucune maitrise du terrain, conséquence beaucoup de mécontents surtout les parents au moyens peu reluisants. On fait abstraction des difficultés même au sein d’une zone vaste.
IL faut que la dimension locale prenne le pas sur le national pour respect au CRO, ensuite donne plus de crédit aux académies qui regorgent d’agents qui maitrisent le terrain.
Le mouvement des enfants peut se faire avec mesure sans incidence sur le budget avec l’implication des académies dans cet exercice qui est un travail de terrain rien d’autre, il faut faire confiance aux académies en mettant la gestion passée au compte des mauvais souvenirs. Les mauvaises pratiques vont finir en sensibilisant tous ceux qui sont impliqués au bénéfice de l’école malienne. Promoteurs, chefs d’établissement doivent se battre pour rendre compétitif leur établissement, encadrement et infrastructures de qualité dans un environnement sain. L’école ne se gère pas dans les bureaux climatisés, il est inconcevable que l’avenir du pays qui est l’enfant ne soit pas mis dans les conditions favorables à son épanouissement. L’accès comme contrainte n’est pas de jour avec la multitude d’établissement.
parce que :ton ton établissement privée n’a pas reçu d’élèves .l’école prive au on en a mare
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