Notre article a été l’objet de vives contestations émanant de nos lecteurs qui ont connu M. Macki Samaké. Ces nombreux lecteurs ont vanté les qualités intrinsèques de l’homme qui lui valu d’être membre de la Commission d’enrichissement illicite sous Moussa Traoré.
Nous prenons actes des compliments. Le journaliste est un observateur qui rend compte les évènements dont il n’est pas toujours témoin direct. Il fait confiance à des informateurs, qui eux-mêmes ne sont pas toujours les témoins directs de l’évènement et dont les versions sont souvent différentes. On dit que le journaliste est l’historien de l’instant. Il peut lui-même se tromper non pas seulement sur l’interprétation des évènements mais sur leur déroulement, voire leur réalité.
Face à cette difficulté qui consiste à établir, la vérité ou la vraisemblance d’un fait, un journal doit multiplier les sources d’information, recouper et vérifier les nouvelles. Le journal a un autre moyen de faire face à cette difficulté, publier le plus grand nombre possible d’information sur le même évènement. Le risque d’erreur est alors moins grand. Certes à trop s’approcher d’un évènement chaud on risque de se bruler les doigts. Le journal a le droit d’émettre une opinion.
Quand un pays ou un homme souffre d’une injustice grave, l’indifférence est une opinion. Entre ceux qui se disent, ou ce que l’on dit et informer et seulement informer, «L’Inter de Bamako» saura désormais tirer les conséquences.
La Rédaction
On ne voit ca qu’au Mali. Inter de betises weshh. En voulant salire un honnete monsieur, on se salit sois meme. C’est a cause de son honnetete que vous avez recu autant de plaintes de la part des lecteures. Cela montre a suffisance que c’est un homme honnete. C’est Allah le tout puissant qui le protege. Cela prouve que l’Inter de betises vous manquez de professionalisme. Inter de shiiiittt. Please educate your mind. Plus personne ne va vous lire. A la place du Pr.Samake, je vous aurais tradaduis devant les tribunaux.
Eh Allah mogo tessaka dousso do mogo were kono drron
N’importe quoi, pour dire qu’au Mali le ridicule n’a jamais tué. Inter de Bamako, si vous n’avez rien à nous dire, de grâce fermer vos clapettes. Le chien aboie, la caravane passe.
C’est quoi cette histoire?
Vous rapportez des bêtises sur le Recteur Macki. Plusieurs personnes vous ont fait des reproches pour manque de professionnalisme. Au lieu de vous dédire et reconnaître clairement votre bêtise, vous racontez des histoires aux lecteurs.
Pensez-vous que ces phrases tordues vont réhabiliter le Recteur Macki dans sa dignité
Il va falloir sanctionner sévèrement certains journaux pour mettre fin à cette culture de laisser-aller dans le monde de la com au Mali. Journalisme de misère!
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