Il semblerait qu’à la Faculté de Médecine de Pharmacie et d’Odontostomatologie, l’heure est à la réconciliation et au rétablissement d’une situation normale pour permettre aux examens d’avoir lieu à la date échue. En effet, la crise opposant les professeurs grévistes à l’administration avec ses retombées sur les étudiants qui ont du organiser plusieurs mouvements de protestation contre l’arrêt des cours, est en passe de connaître un dénouement heureux.
D’après nos informations, les examens pourraient avoir lieu au plus tôt durant le mois de septembre. Ceci permettra aux étudiants de souffler avant la reprise de l’année académique prévue vers la fin de l’année. C’est donc le bon sens de part et d’autre qui a pris le dessus sur les considérations étroites. Rappelons que les professeurs de l’enseignement supérieur avaient exigé la satisfaction totale de leur plateforme revendicative déposée depuis belle lurette mais restée sans suite.
Pour se faire entendre, ils ont déclenché un mouvement de grève peu avant le premier tour de la présidentielle, ce qui avait entrainé une paralysie totale des cours. Cette situation avait provoqué le courroux des étudiants qui n’ont pas hésité à manifester à travers un sit-in organisé à la faculté qui avait été d’ailleurs sévèrement réprimé par les forces de maintien d’ordre. Avant qu’ils ne reviennent de nouveau à la charge à la faveur de la levée de l’état d’urgence pour marcher sur la primature.
C’est d’ailleurs grâce à ce dernier mouvement qu’ils ont pu avoir un engagement ferme de la part des autorités en faveur d’un règlement rapide de cette situation. C’est donc cette entrevue entre les étudiants et les services de la primature qui aurait permis de décanter la situation. Cependant, des indiscrétions n’hésitent à évoquer l’effet IBK qui aurait joué en faveur d’un règlement de ce problème.
On se souvient que lorsqu’il dirigeait la primature sous le premier mandat de Alpha Oumar Konaré, IBK fraîchement installé dans ses nouvelles fonctions de Président de la République avait dénoué la crise qui gangrenait l’université malienne. C’est dire qu’avec tous les dossiers auxquels le nouveau Chef de l’Etat doit accorder la priorité, un malaise au sein de l’enseignement supérieur n’est surement pas le bienvenu. Il pourrait même constituer une patate chaude laissée à IBK auquel il faut une certaine dose de subtilité pour y mettre un terme. Enfin, il faut reconnaitre que cette crise au sein de l’enseignement supérieur notamment au niveau de la Faculté de Médecine de Pharmacie et d’Odontostomatologie (FMPOS) dure depuis un certain temps. Les différents gouvernements qui se sont succédés ont toujours buté sur cette question. Celle-ci a d’ailleurs entrainé plusieurs arrêts des cours et même une année blanche, elle nécessite de ce fait des solutions profondes et durables afin que l’enseignement supérieur au Mali retrouve ses lettres de noblesse.
Massiré DIOP
j’ai confiance au mali et aux maliens et je sais que cette perturbation n’est du qu’a une manque de volonté de la part des mauvais dirigeant de ce pays ci non cette faculté etait au paravans un bon exemple dans la sous region.AEEM a aussi beaucoup de role a joue surtout sur le deroulement de l’année accademique le mode d’evaluation des etudiants je m’explique (l’année doit commece a tel moment faire les evaluations par semestre afiche la date de la rentrée……et j’en passe tel son les vrai role pr moi)je suis conscient que l’AEEM fait de son mieux mais il lui reste encor beaucoup beaucop a faire wallay!pas pour nous seulement mais pr ce pauvre pays qui souffre au temps et pour nos jeune freres.les PROFESSAIRES n’en parlons pas qui n visent que leurs interè d’une part aussi ils sont raison car c’est ce que nos dirigeant leurs a montre en payant des voiture a 50 millionds or que les travailleurs crèvent de fain c’est inadmisible.CONCLUSION on est tous fautif ds cet affaire!!!!!!!!!!!
des apatrides ces prof de façade! rien que l’argent
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