L’école malienne est paralysée depuis le début de l’année scolaire. La raison les grèves à répétition des enseignants qui réclament : l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Après un moment d’omerta, l’AEEM a décidé de manifester son ras le bol en observant une grève de 72 heures à compter du lundi. La balle est maintenant dans le camp des parents d’élèves qui continuent à observer un silence de cimetière.
L’école malienne est malade. Cette maladie est-elle curable ? Rien n’est moins sûr, car chacun fuit sa responsabilité. On fait comme si l’éducation des enfants dans ce pays n’est pas une priorité. La triste réalité est là, mais personne ne lève le petit doigt pour se prononcer. Chacun se contente de dire : «Ce n’est pas mon problème ».
En effet, s’il y’a un secteur menacé au Mali, c’est bien celui de l’éducation avec la grève intempestive des enseignants. Depuis le début de cette année scolaire 2018-2019, on assiste au ballet incessant des grèves des enseignants qui revendiquent : l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Chaque préavis est suivi de l’échec des négociations. Il est temps de se poser cette question est ce que le gouvernement malien accorde une importance à l’éducation ? On peut sans risque de se tromper, dire que les autorités se soucient peu de l’avenir de ces pauvres élèves qui sont appelés à diriger ce pays. L’éducation étant la base de tout développement, est reléguée au second plan. Les autorités maliennes semblent ne pas assimiler cette célèbre citation de Nelson Mandela : « l’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde ».
On se souvient sans doute de la grève de 10 jours entamée par les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre 2016, elle a paralysé les établissements publics. Pour passer ce sale temps les écoles ont été transformées par les élèves et les étudiants en lieu de rencontres amoureuses. . Depuis le mercredi 13 février 2019 les éducateurs ont encore déclenché une grève de 13 jours qui prendra fin le 1er mars. Un autre préavis, cette fois-ci de 15 jours est déposé sur la table du gouvernement. Si l’Etat ne prend pas ses responsabilités illico-presto, une année blanche se profile à l’horizon. Que de soucis pour les candidats des classes d’examens ! Que de perte de temps pour ces pauvres élèves !
L’AEEM sort enfin de son mutisme !
L’Association des Elèves et Etudiants du Mali (AEEM), a enfin décidé de rompre avec le silence. Aussi, après avoir épargnée, les écoles privées, elle a pris l’initiative de les faire sortir. La raison, cette situation arrange les enseignants qui en profitent pour acquérir beaucoup d’heures dans les établissements privés. En faisant sortir leurs camarades du privé, l’AEEM veut transmettre un message clair aux autorités qui ont leurs enfants dans le privé et à l’endroit des enseignants qui préfèrent sacrifier les élèves du public au bénéfice des écoles privées.
Les parents d’élèves toujours dans le mutisme
Les élèves ne comprennent toujours pas pourquoi l’Association des Parents d’Elèves reste muette comme une carpe. Elle n’a entrepris aucune action pour contraindre le pouvoir et les différents syndicats du corps enseignant à s’asseoir à la même table pour un dénouement heureux de la crise
Badou S. Koba
Vraiment c’est une véritable réalité, il faut supprimer AEEM, remplacer cela par l’association des parents d’élèves. En Europe, ces choses n’existent pas jusqu’à amener tous les jours des grèves dans les écoles, jamais. Les parents prennent la parole à la place de L’AEEM c’est tout. Si vous pensez que le gouvernement a peur de vous, vous vous trompez walaye, c’est juste pour vous dire, grever tous les jours, si vous qui perdrez tous les jours que vous grevez,ce n’est pas le gouvernement ni aucune de leurs familles. La force que vous aviez, c’est seulement de vous faire reculer en arrière. Au lieu d’aller se battre pour s’enrichir derrière la politique, il faut étudier d’abord. Sinon Ados, tu as dit la vérité. Il faut supprimer l’AEEM sinon l’école Malienne n’ira nulle part.
Au lieu d’incriminer les parents d’élève tout le monde sait que la vraie gangrène de l’école malienne est cette organisation de criminels sans objectif professionnel appelé aeem. Combien de fois ont t’ils fait sortir les élèves et étudiants pour des motifs d’humeur ? La première condition du redressement de l’école malienne est l’élimination de cette organisation de voyous appelé (AEEM). Tout pays qui laisse le sort de son éducation aux mains des élèves et étudiants a t’il un avenir ? Pas du tout. Le résultat est là ! Les étudiants et élèves maliens sont les plus nuls de la sous-région aujourd’hui. Puffffff continuer les grèves inutiles, bientôt vous serez des esclaves dans votre propre pays
Je vous invite a la rentrée scolaire septembre 2019 a l établissement liberté français ni la honte ni le ridicule ne tué plus ces autorités a commencé par le président
1_IBK avec tous ces petits enfants;
l’ enfant du
2 _ secrétaire général de la présidence
3_ l’enfant de l’assistant de ce dernier
4_ Celui du premier ministre
5_ de ministre de finance
6_ petits enfants de président de l assemblé national
7_ l enfant de l’assistant de ce dernier bref
La liste est longue aussi bien pour ceux etudiant a l intérieur du pays dans ces écoles privées que ceux étudiants a l’étranger au Canada comme lenfant de ministre de la culture j’en passe. .
Avec en plus des frais de scolarité des frais des appartements etc…
C’est le président du patronat qui a raison les frais de scolarité des écoles primaires liberté français atteignent les 2 millions comment tous ces fonctionnaires trouvent cet argent ?
et c’est tampis pour nos enfants qui n’ont pas atteints 60% de leur programme a cause de cette grève.
Nous voyons les conséquences des séries de grave au mali ..leurs enfants ont étudiés dans les privées au Canada et ils sont revenus et ces enfants nous gérént aujourd’hui ..
Le cycle funeste de la vie éducative de la jeunesse malienne continu avec les mêmes responsable et acteurs de 1991…
Tant que tous ces types qui ont vaincus avec le sang et l’avenir de nos enfants depuis 1991 ne seront pas hors jeu ..l’éducation malienne qu’ils ont mise de coter depuis 1991 ne connaîtra pas un dénouement heureux ..
Demandons tous la démission de IBK et barrons la route a soumaila Cissé ..
Et trouvons du sang neuf pour refonder ce système éducatif la base de tout développement d’un pays . .
que dieu préserve ce pays .
Bonjour
“Nous voyons les conséquences des séries de grave au mali ..leurs enfants ont étudiés dans les privées au Canada et ils sont revenus et ces enfants nous gérént aujourd’hui ..”
Ils ont été inculqué par ces occidentaux afin de favoriser ces occidentaux!
Pourquoi les parents d’élèves????????????????????? C’est tout le peuple qui doit être placé devant ses responsabilités!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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