Pour le jeune opérateur économique, Mama Lah, pour être riche, il faut travailler, travailler, encore travailler. Sinon, selon lui, il n’y a pas de formule magique pour avoir de l’argent. Il l’a dit lors de son passage à l’Institut des sciences politiques, relations internationales et communication (Ispric) pour un partage d’expériences avec les étudiants. Ils ont appris beaucoup de choses afin de faire une bonne carrière professionnelle.
Le jeune opérateur économique, Mama Lah, PDG de la Société Lah et Fils, était très heureux de partager ses expériences avec les étudiants de l’Institut des sciences politiques, relations internationales et communication (Ispric). Une démarche de la direction de l’établissement qui s’inscrit en droite ligne de la préparation des étudiants à prendre leur responsabilité après leurs études. C’est pourquoi, plusieurs personnes issues de différents domaines d’activités ont été invitées pour un partage d’expérience avec les jeunes étudiants.
Ce cadre fraternel et convivial dénommé “Semaine des Guests” est un moment propice pour les invités pour parler de leurs parcours. Une manière de participer à la bonne formation professionnelle et intellectuelle des jeunes étudiants.
Le passage du jeune milliardaire Mama Lah restera longtemps gravé dans les mémoires des étudiants de l’Ispric puisque son parcours est une leçon de vie. Il fait partie des jeunes opérateurs économiques qui font la fierté nationale et internationale dans la mesure où son nom est cité aujourd’hui à l’international.
“Je tiens juste à dire à ces enfants que tout est possible. Il n’y a pas de formule magique pour avoir de l’argent rapidement à part voler ou jouer à la loterie, trouvez un domaine d’activité et persévérez dans ça, la patience porte toujours son fruit, respectez votre hiérarchie, car il faut accepter d’être petit de quelqu’un un aujourd’hui pour être grand d’autres demain”. Voici le conseil de Mama Lah aux jeunes étudiants.
Connu de tous pour son altruisme, et revendiquant un parc de près d’un demi-millier de citernes, le jeune milliardaire n’en finit pas d’étonner les Maliens avec des investissements de rang. Et pourtant, Mama Lah est cité aujourd’hui dans le milieu des affaires comme un exemple pour la nouvelle génération. Le seul souci de ce jeune opérateur économique n’est autre que le développement de son pays. Il s’agit de l’amour pour le Mali.
Maman Fadimata Walett Oumar, artiste, écrivaine, militante des droits humains au Mali, Rahmatou Walett Oumarou, contrôleur des impôts, Khadidiatou Koné, journaliste et présentatrice à l’ORTM, la diva de la musique malienne, Adja Soumano, Moussou Sora, promotrice de Royal Swan, Abdoulaye Handane Djittèye, directeur de Radio Kledu et Maouloud Ben Kattra, ancien ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle au Mali, Papa Oumar Diop, journaliste retraité, membre du personnel d’appui du Comité national olympique et sportif du Mali (Cnosm), ont déjà partagé leurs expériences avec les étudiants de l’Ispric.
El Hadj A.B. HAIDARA
Bonsoir
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