Le Ministre continue son périple universitaire : L’école nationale d’ingénieurs (ENI) à l’honneur.

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Le jeudi 17 mai 2012, le Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a effectué une visite de courtoisie à ses anciens collaborateurs de l’ENI. Après la visite des bureaux, des salles et des amphithéâtres… Monsieur Harouna Kanté a échangé avec les responsables de ladite structure. Au terme des discussions, il leur a réitéré sa disponibilité et l’accompagnement du gouvernement dans toutes les actions favorables à la bonne marche des activités pédagogiques.

Le ministre n’a pas caché la joie et la fierté qui l’anime en retrouvant les siens. « Je suis de l’ENI et je ne manquerais aucune occasion pour venir vous rendre visite chaque fois que j’en aurais l’opportunité », a-t-il déclaré dès l’entame de son propos.  Ensuite, il s’est réjouit de la stabilité qui règne dans la structure tout en félicitant les responsables pour la qualité des formations données, le niveau des étudiants formés et tous les efforts déployés pour le maintien de la réputation de l’école.

M. Mariko, pour sa part, a décrié la méthode de recrutement des enseignants de l’école.  Laquelle méthode, ne prenant toujours pas en compte les vrais besoins de la structure,  engendre le plus souvent d’énormes problèmes. Il a donc profité de cette occasion pour exhorter le ministre à prendre en compte les recommandations de la structure avant les recrutements. ‘’Les problèmes d’heures supplémentaires et le salaire des enseignants doivent être révisé’’ ajouta Monsieur Mariko. Quant à Monsieur Minta, il a plutôt plaidé en faveur de l’autonomie de l’école et le bon traitement des dossiers dans le délai. M. N’Dao avait pour inquiétude la défaillance liée à l’avancement des enseignants, ce qui cause d’énormes problèmes pour la perception de certains droits. Le ministre, avant de conclure la séance, a une fois de plus rassuré les uns et les autres qu’il fera tout son possible pour apporter des solutions diligentes et efficientes aux différentes préoccupations.

IDRISSA KANTAO

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