Sis à Hamadallaye ACI 2000, le groupe Scolaire Amadou Sow est une école connue pour son excellence. Avec un résultat de 100% au DEF et 8 admis sur 11 candidats au bac 8, cet établissement est une référence puisqu’il reçoit d’excellents résultats depuis sa création. Pour des intérêts sordides et des desseins malsains, l’un des enseignants de cette école, Konimba Dembélé, a entamé une machination grotesque pour salir la réputation de l’établissement.
Dans son ambition périlleuse contre le progrès de l’établissement, Sieur Konimba Dembélé s’est permis d’embarquer certains enseignants pour créer un syndicat. Du jamais vu au Mali, un syndicat créé dans un établissement privé ! Le promoteur de l’école Ali Kéita, serein, n’a pas fait de cela un problème. Profitant de la largesse du promoteur, Konimba Dembélé est entré en rébellion contre cet établissement privé pour faire des revendications exagérées. Il réclame 175 mille FCFA/mois comme salaire de base, l’inscription à l’Inps et à l’Amo et la quasi-totalité de l’argent des cours de vacances.
Sur le premier point concernant l’Inps et l’Amo, le promoteur de l’école avait déjà commencé à inscrire progressivement tous les enseignants. En ce qui concerne l’augmentation de salaire le promoteur dit que cela est trop mais, Ali Keïta avait promis de voir ce qu’il pourra faire. En ce qui concerne la gestion des cours de vacances, Konimba et sa bande voulaient que tout l’argent leur revienne. Du jamais vu ! Les cours de vacances se tiennent dans les locaux de l’établissement, l’électricité et les autres matériels didactiques sont utilisés, une partie de l’argent doit obligatoirement revenir à l’administration.
Après leur revendication de trop, ils ont observé une grève de 72 heures en pleine année scolaire. Une grève dans un établissement privé, du jamais vu au Mali. Pour combler ce vide, le promoteur était obligé de chercher d’autres enseignants pour dispenser des cours.
Comme si cela ne suffisait pas, sieur Dembélé s’est permis, par voie de presse, de calomnier pour salir la réputation de l’établissement. Il a accusé le promoteur de les licencier arbitrairement et dénoncé le retard de paiement de leur salaire. Selon nos investigations, personne n’est menacé de licenciement. Ce sont les enseignants même qui ont abandonné l’établissement depuis le 24 juin 2019 et avaient même refusé de remettre les notes des dernières évaluations, les moyennes annuelles et les propositions de passage. Quant au retard des salaires des trois derniers mois, le promoteur Ali Keïta précise qu’ils sont disponibles depuis longtemps.
Détournement des frais de scolarité
Le cerveau de la rébellion du corps enseignant, Konimba Dembélé, qui a été boudé et chassé par le Snec à cause de ses mensonges et ses manigances montées de toutes pièces contre l’établissement Amadou SOW s’avère être un manipulateur. Avec des preuves à l’appui, il a détourné des frais de scolarité de beaucoup d’élèves qui s’élèvent à plusieurs millions de FCFA. Beaucoup de parents d’élevés révèlent qu’ils lui ont remis les frais de scolarité de leurs enfants. « J’ai remis les frais de scolarité de mon enfant à Konimba Dembélé qui m’a indiqué qu’il a un partenariat avec l’école », nous confie un parent d’élevé. Konimba Dembélé a dupé plusieurs parents en prenant les frais de scolarité sans pourtant prévenir le Directeur, encore moins le promoteur de l’école. Le promoteur de l’école a d’ailleurs envoyé un huissier à Sieur Konimba Dembélé afin de récupérer l’argent de l’école.
En tout cas, tout porte à croire que M. Dembélé et sa bande ont la volonté manifeste de nuire à l’établissement qui est l’un des meilleurs de la place. Affaire à suivre !
La Rédaction