Depuis très longtemps, l’un des sujets les plus controversés reste celui de l’éducation .Le niveau des élèves et étudiants maliens continue à baisser. Chaque année, les résultats des concours et examens deviennent pires que l’on n’imagine .Face à toutes ces difficultés, les élèves et leurs parents croyaient que le président IBK allait avoir une solution définitive à tous ces problèmes. De grandes promesses ont été faites par le président de la république lors de ses campagnes présidentielles… La réalité actuelle est désespérante.
A cause de son bras de fer avec les élèves et étudiants dans les années 90 quand il était premier ministre et ses propos inappropriés contre ceux-ci, il était inimaginable de voir les Maliens croire qu’IBK, une fois devenu président de la république, pouvait tout faire pour donner une autre face à l’école malienne tout en contribuant à une formation de qualité de ces milliers d’élèves et étudiants de notre pays. Des promesses ont été faites, lors des campagnes, mais aucune n’a été respectée. La formation de qualité qu’il a toujours chantée est devenue un rêve pour qui ceux devraient bénéficier. La formation continue des enseignants s’est transformée en grèves intempestives. La promesse d’un ordinateur à chaque étudiant est mise à côté. Des milliers d’étudiants ont attendu en vain ces ordinateurs qui leur faciliteront la recherche. Comme si tout cela ne suffit pas, le régime met en doute l’avenir des élèves et étudiants maliens par les grèves des enseignants. A travers ces grèves, les Maliens ont su qu’IBK n’a pas de considération pour les pauvres citoyens qui ne peuvent pas envoyer leurs enfants dans les écoles privées. Si lui et son gouvernement se souciaient réellement de l’avenir de ces élèves et étudiants, ils auraient dû respecter leurs engagements. Au lieu de faire de propositions concrètes aux enseignants, le régime passe tout son temps à berner la population en la faisant savoir que beaucoup d’amélioration ont été faites au sujet des conditions de vie et de travail des enseignants.
Comment comprendre que le Mali étant le troisième pays le plus riche de la CEDEAO, ses enseignants soient les moins payés. On peut facilement remarquer un manque de volonté de la part du gouvernement du Mali de résoudre les problèmes des enseignants. On comprend par cela que le régime IBK veut tout encaisser pour se faire réélire en 2018 tout en détruisant l’avenir des élèves et étudiants qui l’ont soutenus en 2013. Toutes les écoles du Mali, du plus bas au plus haut niveau, du public au privé, tous les syndicats sont allés en grèves au moins une fois pendant ces 6 derniers mois. La maladie qui affecte l’école il y’a longtemps est devenue incurable à cause de l’incompétence du régime du président Ibrahim Boubacar Keita. Ces grèves, si elles ne prennent pas fin dans ces deux semaines, il serait très difficile de sauver l’année et les perdants sont toujours les enfants de ceux qui ont voté pour le président IBK. Il est difficile de comprendre qu’un IBK qui a dit haut et fort que, si un pays bat un autre pays dans l’éducation, ce pays sera forcément en avance par rapport à l’autre refuse de résoudre le problème de l’éducation. Donc on peut facilement voir que l’avenir de ce pays importe peu au président IBK
B Guindo
Que le tout puissant nous donne tous de bon entendement!
On se pas maintenant comment faire ,comment assurer l’avenir dans cette situation ?
1- Depuis quand M IBK a pu résoudre le problème de l’éducation au Mali?
2- Il a dit ceci haut et fort, il a promis des portables par là, il est un homme de poigne de l’autre côté, sauf que lorsqu’on remonte l’histoire, on se rend compte que fermer un établissement scolaire, comme en 1994 ne relève ni de la poigne, ni de l’intelligence, mais de l’impéritie totale d’un dirigeant en manque de vision politique, encore moins de vrais programmes dans bien de domaines, dont l’éducation!
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