Alors que les négociations entre le gouvernement et l’UNTM battent leur plein pour trouver un terrain d’attende, les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre 2016, notamment SYPESCO, SYNEB, SYNEFCT, SYNESEC, SYLDEF, FENAREC et COSES, ont mis le feu aux poudres. Un communiqué du collectif met en garde les autorités de la transition contre toute atteinte au statut du personnel enseignant en mentionnant notamment que «les dispositions de la loi n°2018-007 du 16 janvier 2018 demeurent et que toute majoration des rémunérations sur le statut général s’appliquera de plein droit conformément aux dispositions de l’article 39».
Tout en prévenant de sa détermination et à défendre en toutes circonstances les acquis arrachés au prix de leurs sacrifices, la synergie invite ses militants à la vigilance, à la résistance et à se tenir prêts pour répondre à l’appel de l’honneur et de la dignité à tout moment. Comme quoi, les enseignants n’excluent pas de manifester à nouveau.
Parlant de la grève de l’UNTM, les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre 2016 ont laissé entendre qu’ils ne sont concernés ni de près ni loin par cette grève, qui vise à compromettre les acquis engrangés au bénéfice des enseignants du Mali depuis octobre 2016, à leurs yeux. Ces acquis suscitent des jalousies et nourrissent de l’égoïsme, de la haine, du mépris et de la méchanceté chez certains à l’endroit du personnel enseignant
Amidou KEITA
soulbia 22 Déc 2020 at 14:07 ;
Le Président élu IBK et son Gouvernement ont accepté cette application de l’Article 39. Mais n’ont pas eu le temps nécessaire de la mettre en œuvre…, le PUTSCH est intervenu… Et le Gouvernement de TRANSITION ne fait qu’assurer la continuité de l’ÉTAT en parachevant ce que son prédécesseur a accordé aux Enseignants.
Vivement le Mali pour nous tous.
Les Enseignants Maliens ( Fondamental et du secondaire ) sont des tricheurs ,ils volent les heures des écoles publiques pour aller donne des cours au même moment dans les écoles privés pour se faire de l’argent doublement car ses enseignants sont payé au même moment par l’Etat pour les cours dans les écoles publiques ……En plus depuis 1993 les enseignants du fondamental et du secondaire partent en grèves chaque années et ils ont des augmentations de salaire chaque année mais les élèves maliens n’ont plus de niveau car chaque année les enseignants sont grèves 7 mois sur 9 mois de l’année scolaire
Je suis d’accord que le Mal malien est général mais des fonctionnaires possédant 5 à 20 villas ne se comptent pas parmi les enseignants, reconnaissons-le. S’il s’agit du double travail, les enseignants n’en détiennent pas le record en plus. Il suffit d’aller dans l’hôpital le plus de vous pour vous en convaincre.
” …Grève de l’UNTM : Les syndicats de l’éducation mettent en garde contre toute retouche de leur statut…
… ils ne sont concernés ni de près ni loin par cette grève, qui vise à compromettre les acquis engrangés au bénéfice des enseignants du Mali depuis octobre 2016, à leurs yeux. Ces acquis suscitent des jalousies et nourrissent de l’égoïsme, de la haine, du mépris et de la méchanceté chez certains à l’endroit du personnel enseignant… ” …///…
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Ils ont raison.
Pourvu que le Gouvernement, dans un éventuel désarroi, ne déshabille pas PIERRE pour habiller PAUL.
Si ça arrive… Bonjour les années blanches pour les Écoliers… !
Vivement le Mali pour nous tous.
vous aussi vous exagerez vous avez eu ce que vous cherchez alors taisez vous ne mettez pas de l’huile sur le feu
Ils ne disent pas ça par hasard. C’est parce que les Grévistes ne cessent de pointer du doigt l’application de l’Article 39, comme argument de Défense et de Négociation. Disant qu’ils veulent la même chose.
Sauf que c’est un Président élu et son Gouvernement qui ont accepté cette application de l’Article 39. C’est ce qu’on demande aussi aux nouveaux Grévistes, c’est à dire qu’ils attendent qu’arrive, après les élections générales, un Président de la République élu et son Gouvernement, pour présenter leurs revendications.
Tout le monde reconnait aux Grévistes leurs droits de revendiquer et de faire grève en cas de non satisfaction de leurs demandes. Mais ce que les Gens ne comprennent pas, c’est le moment choisi et l’INTERLOCUTEUR. La TRANSITION n’ayant pas vocation à faire face aux Syndicats.
Vivement le Mali pour nous tous.
vous êtes mal renseigner c’est ce même gouvernement de transition qui a mis en application ce fameux article 39 . Une des grosses erreurs commise par cette transition , oui IBK avait fait une déclaration sinon consigner Boubou à son temps de décanté la situation mais hélas . Donc c’est après la mise en place de la transition que le ouf à été sentit monsieur . La grève étant un droit fondamental , l’autorité en place ne doit pas rompre le dialogue, elle doit plutôt chercher à négocier avec la partie syndicale que de tenir des propos qui agasses.
Non Monsieur, vous pouvez dire ce que vous voulez… Mais on a tous, tout suivi des évènement jusqu’au PUTSCH.
Vivement le Mali pour nous tous.
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