Le ministère de l’Education nationale en partenariat avec les bureaux pays de l’UNESCO et de l’Union Européenne, organise un atelier national de lancement du projet « Améliorer l’enseignement dans les pays du G5 Sahel ». La cérémonie de lancement s’est déroulée le jeudi 28 octobre dans un hôtel de la place sous l’égide du ministre de l’Education nationale, Sidibé Dédéou Ousmane.
-maliweb.net- Le projet « Améliorer l’enseignement dans les pays du G5 Sahel » mis en œuvre par l’UNESCO et financé par l’Union européenne à hauteur de plus de 4 milliards de FCFA (dont 1,1 milliard pour le Mali) vise à améliorer la gouvernance et la gestion des enseignants dans les pays concernés (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad). Il vient en appui au Mali au même titre que les 04 autres pays du G5 Sahel afin d’assurer l’amélioration des résultats d’apprentissage des enfants via l’amélioration des qualifications, de la gouvernance et de gestion des enseignants dans les pays du G5-Sahel.
L’objectif général de l’atelier de lancement est d’assurer les meilleures conditions de démarrage des activités du projet au Mali. Il servira également de cadre d’échange et de partage d’information avec les acteurs, les parties prenantes en vue de trouver des synergies et complémentarités d’action de leur implication dans la mise en œuvre du projet au Mali.
Selon Edmond Moukala, Chef du Bureau et Représentant de l’UNESCO au Mali, le projet vise à améliorer la gouvernance et la gestion des enseignants. « Ce projet suscite un grand intérêt de la communauté des enseignants du Mali et en particulier auprès des élèves et leurs parents », insiste Edmond Moukala, selon qui le personnel enseignant est le principal responsable de la réussite ou de l’échec d’un système éducatif.
« Malheureusement, le Mali, au même titre que les autres pays du G5-Sahel, fait face à de nombreux défis liés au secteur de l’éducation et de la formation professionnelle » a dit le Chef du Bureau et Représentant de l’UNESCO au Mali, soulignant que la région du G5-Sahel est confrontée à une situation sécuritaire préoccupante. Il a déploré des attaques directement orientées contre des écoles et des enseignants qui engendrent des déplacements internes des membres de la communauté éducative privant plus de 10,5 millions d’enfants de leur droit à l’éducation.
La pléthore des effectifs, des bâtiments défectueux….
Pour le Chef de la Délégation de l’Union Européenne au Mali, Bart Ouvry, l’enseignement est au cœur des actions de l’Europe des 27. « L’éducation n’est pas un privilège. C’est un droit pour tous, c’est même une nécessité pour construire une société meilleure », a rappelé le chef de la Délégation de l’Union Européenne. Pour avoir fait beaucoup de déplacements sur le terrain avec les différents ministres qui se sont succédé à la tête du département de l’Education nationale, Bart Ouvry n’a pas manqué de mettre le doigt sur les problèmes qui minent le système éducatif malien. Ceux-ci ont pour nom : la pléthore des effectifs, des bâtiments défectueux, des déficits de matériels didactiques et enfin l’insécurité. Des problèmes qu’il ne faudra pas sous-estimer, a dit le chef de la Délégation de l’Union Européenne.
L’organisation de cette cérémonie officielle de lancement du projet découle de l’attachement du gouvernement à la démarche participative, a rappelé le ministre de l’Education nationale, Sidibé Dédéou Ousmane, soulignant que la pertinence du projet n’est plus à démontrer. « Deux études relatives à la cartographie des actions en cours sur la formation initiale et la gestion des enseignants ont permis de faire davantage ressortir les défis de notre système éducatif en termes de formation des enseignants que nous devons relever ensemble », a-t-elle soutenu.
Il faut rappeler que cette activité de lancement a réuni les représentants de la partie nationale, de la délégation de l’Union européenne, de l’UNESCO, des partenaires techniques et financiers, des partenaires sociaux de l’éducation travaillant sur les thématiques relatives à la formation et à la bonne gestion des enseignants.
Abdrahamane SISSOKO/Maliweb.net
Président Assim, ils ne jouent pas avec les armées françaises, notre pays, Monsieur le Président Assim, travaille pour faire sortir nos armées du Mali, Monsieur le Président Assim, les armées françaises sont très mauvaises contre l’Afrique, Monsieur le Président Assim, Français les institutions sont très mauvaises envers les noirs elles ne respectent aucun. Je vous donne un exemple quand il y a eu la guerre en Europe, ce qu’ils appellent la guerre mondiale, ce qu’ils font au Mali, même les pays européens où il y a eu un million de millions de massacres n’ont jamais brûlé la nourriture des populations, ni l’Europe ni les Etats-Unis ont déjà brûlé des animaux de paysans ou assassiné des enfants ou des femmes de manière brutale. France, Belgique, Espagne Suisse, Italie, Portugal, ces pays sont toujours derrière la France pour la criminalité contre les noirs mais celui qui manipule tout c’est le gouvernement français
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