Depuis quelques années, les examens de fin d’année au Mali (surtout DEF et Bac) font l’objet de toutes sortes de spéculations : fuites de sujets, fraudes, etc. Selon El Hadj Mamadou B. Kéita, directeur général de l’ECOSU/ALTERNANCE, ces pratiques qui sont monnaie courante aujourd’hui, étaient méconnues autrefois et doivent être une honte pour le pays.
Soucieux de la qualité de l’enseignement dans son université et en prélude du déroulement des examens de fin d’année à l’ECOSUP, la direction de l’établissement a tenu à organiser une rencontre d’échange avec le corps professoral et les surveillants. L’objectif recherché était d’avoir des examens propres sans aucune contestation.
Faisant d’une pierre deux coups, le directeur général de l’ECOSUP/Alternance en a profité pour lancer le débat sur la fraude et les fuites de sujets lors des examens comme le DEF et surtout le Baccalauréat. Pour lui, le constat, plus qu’amer, est qu’aujourd’hui dans notre pays, les examens et concours sont devenus de véritables industries de trafics. Les sujets font ainsi le tour du Mali bien avant les examens, traités et vendus comme de petits pains. Les sujets traités sont introduits aussi dans les salles d’examen avec la complicité des éléments de l’intérieur, aidés par ceux de l’extérieur moyennant des espèces sonantes et trébuchantes. A l’en croire, cela est une honte pour le pays.
Et El Hadj Mamadou B. Kéita de s’interroger : A qui la faute ?
Pour lui, nous sommes tous fautifs : l’administration, les administrés, parents d’élèves, élèves etc. Au dire de Mr Kéita, à leur temps, ce phénomène n’était pas connu des Soudanais qu’ils sont. Seul le travail personnel, l’effort individuel était payant.
Quant au second point de la rencontre, il a été consacré à la création de conditions idoines à l’ECOSUP pour organiser des examens propres sans fraude, ni contestation aucune. Ainsi aucune défaillance, si minime soit-elle, ne sera tolérée.
Dans l’objectif d’avoir une commune émergente avec une ECOSUP excellente, des innovations importantes seront introduites dans le fonctionnement de l’établissement. Pour l’inscription, un étudiant doit avoir le Bac ou le BT2. Pour pouvoir enseigner à l’ECOSUP, système LMD, il faut être détenteur d’un doctorat, d’un DEA ou diplôme équivalent.
Pour enseigner au cycle DUT, il faudra avoir obligatoirement une maîtrise.
Quant au déroulement des cours, aux dires du directeur général, le système modulaire sera renforcé avec le découpage des programmes. Il y aura aussi le renforcement des comités scientifiques.
Pour terminer le Dg El Mamadou B. Kéita a fait savoir que d’une manière générale l’année scolaire 2014-2015 s’est très bien déroulée et des dispositions pratiques ont été prises pour éviter toute fraude, toute contestation lors des examens. Il s’agit de la rigueur, de la discipline et de la transparence.
MD
un autre soudanais qui sort du bois et qui fait semblant comme s’il est innocent or il fait partis des grands fraudeurs parmi les promoteurs des ecoles privée de bamako.
Tais-toi trafriquant et falcificateur et faiseur de faux et usage de faux papier.Des soudais malhonnete qui ne merite meme pas de vivre
idiot de père honte pour ta famille
😉
honte total au lieu de parler de l’éducation des autres pense à éduquer ta famille daborrs
Je pense reconnaître le visage de ce Monsieur KEITA qui parle de la fraude à l’école d’une manière innocente; alors que cette pratique était monnaie courante à l’ECICA quant Mr KEITA exerçait comme Directeur Général de cet établissement au début des années 1980. J’ étais étudiant à l’epoque à l’ECICA et J’ai été temoin occulaire de baucoup de cas. On distribuait les sujets d’examen aux “fils à papa” pendant que nous les “fils de paysan” dévrions travailler très dur pour mériter nos diplômes. Le rudicule ne tue pas dans ce pays.
Dieu merci; aujourd’hui je suis fier de mon diplôme car je sais que c’est le fruit de ma sueur.
PAUVRE MALI!
Les soudanais qui ont reçu une bonne éducation ont été incapables d inculquer leur éducation à leurs enfants. Je m arrête là .
Un autre Keita cochon qui ne sait pas que l’empire du Mali a existe’ avant la colonie du Soudan francais!!!
RIRE!!!
“Au dire de Mr Kéita, à leur temps, ce phénomène n’était pas connu des Soudanais qu’ils sont.”
Ce sont les soudanais qui ont mis au monde ces maliens nuls d’aujourd’hui. C’est trop facile ces genres d’arguments.
C’est un signe révélateur de la faillite d’un Etat si on peut qualifier le Mali d’Etat.
Un manque inouï de sérieux.
De toute façon, fuite ou pas, les diplômes Maliens n’ont plus aucun sens auprès des institutions ou des grandes écoles.
Le niveau des élèves et étudiants est une honte tant elle ne correspond à rien de valable.
Une calamité nationale qui importe peu ou pas aux dirigeants.
Les sujets peuvent donc tranquillement être mis à la porté de tout le Mali.
L’école est devenue un secteur marchand.
Peu importe le contenu pourvu que les parents payent.
Les enfants des pauvres resteront au bord de la route.
On fera semblant d’apprendre quelque chose aux enfants dont les parents parviennent à payer une fortune.
Au Mali, l’école a perdu son sens premier.
Bientôt, une génération d’illettrés endoctrinées aux préceptes du wahhabisme furieux sera au commande du pays. Ce jour, les maliens vont se mordre plus que les doigts.
Fuite et/ou fraude aux examens nationaux,chers maliens parlez doucement il ne faut pas que le vosin mauritanien vous entende!
A mon avis, la faute incombe aux autorités politiques.Donc ,ce n’est vraiment pas la peine de disserter là dessus.Ainsi,le rôle de toute autorité est de faire appliquer les lois d’un pays.Ce principe fondamental a fait que les grandes nations ont émergé de par le monde entier :USA,Japon,Allemagne pour ne citer que ça.L’autorité qui n’arrive pas a faire respecter les lois doit démissionner.
Ainsi serait- il facile de fuir ses responsabilités! Je dirait plutôt que ce sont les parents de cette dernière génération des soudanais qui n’ont connaissent pas ces pratiques honteuses pour nous maliens, à qui elles ont été inculquées par la dernière génération de soudanais.
Ainsi serait- il facile de fuir ses responsabilités! Je dirai plutôt que ce sont les parents de cette dernière génération des soudanais qui n’ont pas connu ces pratiques honteuses pour nous maliens, à qui elles ont été inculquées par la dernière génération de soudanais.
Les Parents sont les premiers fautif en achetant des sujets à leurs progénitures et l’enfant suit et regarde ses parents
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