A la Faculté de médecine de l’Université de l’USTTB, un étudiant dont nous taisons volontiers le nom pour le moment, a porté plainte contre l’administration pour abus de pouvoir et incompétence.
En effet, l’étudiant en question avait été admis en deuxième année médecine après avoir valider le Numérus clausus au titre de l’année universitaire 2011-2012. Cependant, juste un mois avant la date des examens au titre de l’année universitaire en cours, une décision signée à la fois par le Recteur Adama Diaman Keïta et le Doyen Ibrahima Maïga portant admission d’une part de certains étudiants (lisez le flambeau 140 pour en savoir davantage) et d’autre part, redoublement de d’autres étudiants. Et cela, en violation de la note de service N° 13 037/FAPH-FMOS en date du 13 mars 2013 qui portait à la connaissance des étudiants, enseignants et administrateurs qu’ils n’y avait pas de réclamations. Cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, nous a permis de comprendre beaucoup de choses. Notamment, à travers les confidences du Professeurs Cissé Idy.
L’étudiant en question, ayant constaté qu’il a été lésé dans ses droits, a fait recours à la justice. Selon une source, cette décision est du jamais vu au monde. Car, un étudiant admis par une administration, ne peut pas être déclaré redoublant par cette même administration, après une année universitaire. Cela ne relève que de la seule incompétence de cette administration qui doit désormais assumer ses responsabilités. Par ailleurs, il est utile de préciser que les examens qui ont débuté le 11 octobre dernier au niveau de la Faculté de médecine, ont pris fin ce matin. Nous y reviendrons en détails dans nos prochaines parutions.
KANTAO Drissa
Vous avez promis de nous donner la suite a bientot
Pas etonnant de la part de nos facultés, il ya pire que tout ça: note sexuellement trasmissible, passage en classe superieure sans faire d’examens, liste fictif etc. PAUVRE MALI QUI VA TE SAUVER?
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