Suite à l’entretien que nous avons accordé à Modibo Diallo dit Le Peulh dans les colonnes du journal ‘’Le Flambeau’’ N°229 du mercredi 7 octobre dernier, nous avons reçu beaucoup de réactions. Cependant, nous vous proposons celle de Mamadou Yaro dit Azouké qui est venu nous présenté un mandat en bonne et due forme délivré par la Coordination de l’Aeem et signé par le Décanat de la FDPRI. Selon lui, Le Peulh sera sanctionné pour sa mauvaise conduite.
Prenant la parole, le jeune Azouké dira que Modibo Diallo dit Le Peulh, a été désigné Secrétaire général adjoint et lui-même, Secrétaire général de la Faculté de droit privé par consensus en présence de toutes les personnes concernées. «J’aicependant été muni d’un mandat en bonne et due forme délivré par la Coordination nationale et approuvé par le Décanat», a-t-il dit. Et d’ajouter qu’il est très surpris par les accusations de ce dernier avec qui il s’entend d’ailleurs très bien.
«Modibo Diallo dit Le Peulh n’a fait que de fausses accusations et cela ne peut pas resté impuni.Il a accusé à tort l’instance supérieure de l’ensemble des élèves et étudiants du Mali dirigé par M. Ibrahim Traoré dit Jack. Il en a fait de même avec le Centre National des Œuvres Universitaires (CENOU). Comme si cela ne le suffisait pas, il s’est autoproclamé d’un titre qui n’est pas le sien. Pour cela, moi, Mamadou Yaro dit Azouké, je vais le poursuivre devant la juridiction compétente en la matière» a-t-il martelé. Toujours selon le jeune Azouké, Le Peulh est membre actif de la Coordination nationale et occupe le poste de secrétaire à l’organisation adjoint. À l’en croire, Le Peulh a été associé à toutes les prises de décisions au niveau de la Coordination.
«Les prélèvements effectués par le CENOU est un consensus en bonne et due forme et cela, en faveur des étudiants. Les sommes prélevées n’iront dans la poche de personne ; elles serviront plutôt à rendre la vie des étudiants plus facile et plus conviviale. Qu’il me soit donc permis, au nom de la Coordination, de présenter nos sincères excuses au CENOU pour le désagrément causé par Le Peulh», a-t-il laissé entendre.
En guise de conclusion, il dira que les étudiants doivent rester unis et qu’ils doivent faire entièrement confiance à l’Aeem qui fera tout son possible pour défendre leurs intérêts.
KANTAO Drissa
Faculté d’Histoire et Géo : la deuxième session commence ce lundi matin
Aujourd’hui, la Faculté d’histoire et de géographie (FHG) mérite d’être saluée parmi tant d’autres .En effet, ladite faculté se caractérise des autres par une stabilité hors du commun, qui ne saurait en être autrement malgré les petits problèmes.
Premièrement, elle aura été la première à pouvoir surmonter tous les déboires qui minent tout le temps des Facultés.Deuxièmement, c’est la structure qui a su entamer les cours avec une vitesse incalculable grâce à la bonne volonté du corps enseignant. Tous ces exploits ont permis aux étudiants de bénéficier de la clémence d’une année qui ne doit sont salut qu’aux administrateurs de cette même Faculté qui ont fait preuve d’une compétence administrative.
Ces performances ont abouti à la proclamation du résultat de la première session, dont on j’ignore les pourcentages.Mais, selon Secrétaire général de la FHG, Zakaria Diarra dit Major, «malgré une année réussie, le résultat de la première session n’est pas été à la hauteur de nos attente, mais il y a l’espoir pour la deuxième session qui commence ce lundi. On va surmonter les épreuves de la première session».
Il a également invité l’administration universitaire à trouver une solution à leurs doléances, principalement celles de leurs camarades étudiants de Gao qui sont confrontés à des problèmes de transport. Ce qui risque de les empêcher de venir faire la deuxième session qui est programmée ce lundi 12 octobre 2015. «Il y a aussi le problème du mémoire de fin cycle, car on a adressé des lettres à l’administration de la Faculté et également au Rectorat depuis la rentrée, mais jusqu’à présent pas de réponse. Nous espérons une réponse favorable», a ajouté Zakaria Diarra dit Major.
Samba KEÏTA