Malgré les critiques et les accusations d’illégitimité auxquelles elle a dû faire face, l’École Supérieure d’Ingénierie, d’Architecture et d’Urbanisme (ESIAU) s’affirme aujourd’hui comme un établissement de référence. Longtemps accusée de ne pas respecter les normes requises pour une institution de formation digne de ce nom, l’ESIAU prouve désormais que le temps finit par donner raison à ceux qui persistent dans l’excellence. En témoigne l’admission de deux de ses diplômés au prestigieux concours de la fonction publique malienne, ce qui explique la reconnaissance de la qualité de sa formation.
Fondée sur des valeurs solides de transmission du savoir, l’ESIAU a su surmonter les doutes et les obstacles qui se sont dressés sur son chemin. À sa tête, M. Abdoulaye Déyogo, Directeur général de l’établissement, n’a jamais baissé les bras.
Face aux attaques qui mettaient en cause la légitimité de son école, il a fait preuve d’un courage et d’une détermination exemplaires. Son engagement envers la jeune génération, sa volonté de leur offrir des opportunités d’avenir et de faire d’eux des acteurs clés dans le développement de leur pays, se sont avérés plus forts que les critiques. Pourtant, les débuts de l’ESIAU n’étaient pas sans difficulté. Dans un contexte où la conformité aux normes académiques est strictement surveillée, l’établissement a dû se battre pour démontrer la qualité de son enseignement et la compétence de ses diplômés. Mais, loin de se laisser abattre, M. Déyogo a redoublé d’efforts pour rehausser le niveau de formation, attirant des experts reconnus dans les domaines de l’ingénierie, de l’architecture et de l’urbanisme. Ses initiatives audacieuses ont contribué à la reconnaissance progressive de l’école, malgré les allégations et les doutes initiaux.
L’admission de deux diplômées de l’ESIAU au récent concours de la fonction publique dont les résultats sont publiés il y’a quelques jours, symbolise le succès de cette vision à long terme. Ces deux sortantes de l’ESIAU et détentrices d’un master en architecture sont, respectivement, 1ère et 2ère nationale du concours de la fonction publique dans la catégorie architecture. Parmi elles, l’une est inscrite au tableau de l’ordre des architectes du Mali.
Toutefois, ce résultat obtenu au concours de la fonction publique est la preuve que la formation reçue au sein de l’ESIAU répond aux exigences du marché du travail et aux attentes des institutions publiques. Il témoigne également de la justesse du combat mené par M. Déyogo pour légitimer son établissement aux yeux des autorités académiques et professionnelles.
Aujourd’hui, l’ESIAU se tourne résolument vers l’avenir, prête à relever de nouveaux défis. Forte de cette reconnaissance, elle continue à former des professionnels de haut niveau, armés de compétences solides et d’une éthique irréprochable.
Le courage, la ténacité et la vision de M. Abdoulaye Déyogo, alliés à la qualité des formations dispensées, placent désormais l’ESIAU parmi les écoles qui comptent dans le paysage éducatif malien.
Adama Coulibaly
N’importe quoi ! Qu’est-ce que cette tricherie à ciel ouvert a de prestigieux ? Même KinGON_le_CON a fini par lâcher prise à un âge bien avancé et abandonner le misérable salaire de cette
pour aller écumer les couloirs des agences internationales et autres ONG, seul alternative pour lui de sortir de la misère à laquelle il était condamné…—
Pensées rebelles.