Le syndicat national de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (Snesup) a entamé, depuis le 25 juillet dernier, une nouvelle grève générale illimitée. Ce central syndicat dénonce le non-respect des engagements pris par la partie gouvernementale de l’accord du 18 mai dernier. Les syndicalistes exigent la révocation du doyen de la faculté des sciences économiques et de gestion de Bamako (FSEG).
Les responsables syndicaux du supérieur sont très remontés contre le gouvernement malien. Afin de contraindre celui-ci à honorer ses engagements, le Snesup a lancé un nouveau mot d’ordre de grève générale illimitée, en vigueur depuis le 25 juin. Cette grève, selon le Snesup, est la conséquence du non-respect des engagements pris par le gouvernement dans le Protocole d’accord du 18 mai 2017, signé au terme d’une grève illimitée de 44 jours. Le syndicat du supérieur inscrit dans son cahier de doléances 10 points à satisfaire. Il s’agit de la révocation immédiate du Doyen de la Faculté des sciences économiques et de gestion (FSEG), Pr. Ousmane Papa Kanté de ses fonctions pour des pratiques anti pédagogiques; la restitution immédiate des cours aux enseignants permanents de la FSEG; le payement immédiat de deux mois d’heures supplémentaires effectuées par les enseignants permanents de la FSEG ; la mise en place d’une administration provisoire à la FSEG ; l’audit de la Gestion du Doyen et du Vice-doyen de la FSEG ; la prise immédiate d’une ordonnance pour l’application de la grille plancher 640 et plafond 1400 à compter du 1er juin 2017 et de la grille plancher 666 et plafond 1460 à compter du 1er janvier 2018; la mise en place immédiate de la commission bipartite d’examen des dossiers des 502 travailleurs contractuels pour leur test de recrutement prévu pour le mois d’août 2017; la signature immédiate des arrêtés de la hiérarchisation des omis du 16 juin 2015 et de la capitalisation des publications des chercheurs de l’IER recrutés en 2008 pour leur juste transposition ; l’adoption immédiate du nouveau statut «Enseignant-Chercheur» ; et enfin l’éradication de la violence dans l’espace universitaire.
« Au lieu de respecter ses engagements et appliqué le protocole d’accord, le gouvernement a plutôt brillé par son inaction en s’éloignant de l’accord conclu », déclare le secrétaire général du Snesup, Dr. Abdou Mallé que nous avons contacté. Il déplore l’indifférence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Pr. Assétou Founè Samaké Migan. « Face à l’indifférence du ministre, nous n’avons pas eu d’autre choix que de déclencher une grève illimitée. Par cette action, on veut obtenir la satisfaction de nos doléances, et surtout nettoyer la FSEG d’une administration pourrie et incompétente. Aujourd’hui, il faut assainir l’Ecole des pratiques anti-pédagogiques dangereuses», explique le Dr Mallé. Ainsi, le patron du Synesup fait de la révocation du doyen de la FSEG, un préalable pour le dénouement de la crise actuelle. Ainsi, M Mallé appelle les autorités à prendre leurs responsabilités : «Nous demandons au gouvernement de satisfaire nos revendications, sinon nous risquons d’avoir une année blanche. Nous ne sommes pas en train de demander une augmentation, mais nous voulons chasser les affairistes du milieu universitaire et cela pour le bonheur de la nation», précise-t-il.
Dans cette crise, Mallé regrette surtout l’attitude du ministre de l’Enseignement supérieur qui refuse d’assumer ses responsabilités. Ainsi, « elle est devenue un point de blocage pour la résolution de la crise », selon le leader syndical.
Mémé Sanogo
Slt. Ces enseignants grevistes veulent nous donner l impression qu’ils se soucient du pays. N’importe quoi !
Oui, le gouvernement ne joue pas le rôle qui est le sien mais ces grévistes en illimité sont pire que le gouvernement.
Oui, le gouvernement est peut être injuste à votre endroit mais vous êtes plus injustes envers ces milliers d étudiants qui ne demandent qu’ a être formés comme vous vous avez eu la chance de l être. Comment pouvez-vous sacrifier la formation de tous ces jeunes pour l amélioration de vos conditions ?
Comment ce pays peut il avancé avec de telles attitudes?
Qu’ ALLAH veille sur nous.
FARAFIN
TU es idiot, égoiste et con.
Dans ce pays tout le monde se bat pour son mieux etre. Si tu ne peux pas faire la grève tu fermes ta grande gueule pourrie. Personne ne t a rien demandé. reste chez toi et attends les dividendes financiers de la grève. Si tu n a pas le culot et les couilles nécessaires, va chier. Tu connais les gens qui n ont aucune considération pour l’éducation au mali et tu ne peux rien leur dire car tu es un lache. Les enseignants grévistes sont des hommes, ils ne sont pas des P D comme toi. Ce pays avancera tant qu’il y a des hommes pour rappeler le gouvernement à l’ordre mais pas avec des laches comme toi.
tu es une ordure. Que la foudre s’abatte sur toi. Que la follie et la galère s’battent sur toi. Que la malédiction te prenne. Tu as attaqué des personnes qui ne t ont rien fait que le malheur, la honte et l humiliation t attaquent. Que tu chies au marché. AMINE.
Je me demande si ce Mallé a des enfants. Il est entrain de mettre l’avenir de nos enfants dans la boue en défendant ses intérêts personnels et égoïstes.
Oh djouratié. Tout le monde te connait pour ta lacheté.
Tu n as jamais suivi une seule grève et pourtant c’est toi qui prend une calculatrice pour calculer ce que le syndicat a obtenu comme augmentation pour vous .
Mallé a des enfants et il ne veut pas que l avenir de ses enfants soit hypothequé par des enseignants comme toi qui ne regardent que les heures supp et qui s enfoutent des cours. Mallé veut chasser des doyens affairistes et commerçants de notes comme le doyen ousmane papa kanté de la fseg et celui de la fast fana le chien tangara. tu es un idiot, un con et un lache donc laisses Mallé et les autres faire la grève pour toi et ferme ta sale gueule de singe en attendant les augmentations de salaires. BILAKORO FORO BOSSOLEN. AN BI I KAYA TIGUE. DAKASSA BOLEN. DANGA DEN KORO. ALLAH KA I TORO , A KA I MALO; WOULOU DEN; ZA KOGO LEN NI.
Comments are closed.