Un des objectifs visés par la privatisation du secteur de l’éducation au Mali, consiste au décongestionnement des écoles publiques qui n’arrivaient plus à répondre aux demandes socio-éducatives. Ainsi,les initiatives de création d’établissements scolaires privés furent encouragées par l’Etat non seulement par l’attribution de nombreux arrêtés ministériels de création mais aussi par l’octroi de subventions annuelles aux écoles privées recevant des élèves au compte de l’Etat.
Certes, faut-il le reconnaître, certains promoteurs donnent le bon exemple. Cependant, la part de ceux qui n’arrivent pas à prendre en charge leurs personnels notamment enseignent est la plus importante et parmi lesquels nous citer en exemple M. Madou Mariko Promoteur du groupe scolaire Michel Allaire.
Sur le cas de Mariko, il est important d’attirer l’attention des uns et autres sur les graves difficultés qui prévalent aujourd’hui du groupe scolaire Michel notamment en ce concerne le paiement des salaires du personnel.
Pour preuve, encore en ce jour, les salaires du mois d’Août ne sont pas payés et les agents de M. Madou Mariko n’ont droit à aucune information digne de ce nom, relative aux raisons de ce retard de paiement contraire aux dispositions du code de travail en République du Mali.
A cela, Il faut ajouter que pendant l’année scolaire écoulée, le même personnel du groupe scolaire Michel aurait fait 3 mois consécutifs sans salaire partant de mars à mai 2013.
Et M. Mariko n’hésitait pas à menacer de punition par des mutations ou autres, ses agents qui exprimaient leur désaccord avec cette situation au niveau de son site de Bamako notamment.
Face à cet état de fait, il faut se poser la question comment ces écoles à l’instar du groupe scolaire Michel Allaire reçoivent encore des orientations d’élèves admis au DEF dont l’avenir devient incertain au regard des conditions difficiles qui y prévalent.
Faudrait-il dire que l’Etat malien n’est pas soucieux de l’avenir de ces jeunes filles et garçons qui sont d’ailleurs considérés comme la relève de demain ?
En tout cas, aujourd’hui, au vu de la gravité de la situation dans les écoles privées au Mali, un audit sérieux de la part de l’Etat doit y être fait, afin de fermer celles qui ne répondent plus aux critères de continuation.
Le renouveau sous lequel, le Président IBK place son premier quinquennat, appelle l’actuel ministre Togalo Jacqueline à ce devoir de contrôle de l’enseignement privé au Mali en l’occurrence dans le but de prendre les décisions qui s’y imposent.
La Rédaction
Article de merde. Je pense qu’au Mali,l’Etat doit censurer des journaux qui publient des articles diffamatoires éceits par des analphabètes qui n’ont eu, au préalable aucune formation en la matière.
Article minable et trop de fautes. Corrigez vous avant de critiquer les autres.
TOGOLA et non Togalo
Enseignant et non Enseignent
enseignants!enseignant!enseignante!enseignantes! SVP!
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