Education non formelle : Le bilan passé en peigne-fin

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Le sous secteur de l’éducation non formelle se trouve aujourd’hui à un tournant où tous les acteurs devraient s’arrêter un moment pour porter un regard critique sur les actions menées au cours des quatre dernières années dans la mise en œuvre du programme vigoureux d’alphabétisation. Cela,  en vue d’apprécier les efforts accomplis, mais aussi de  tirer les enseignements nécessaires pour améliorer les actions futures.

Pour le DG du CNR-ENF Nouhoum Diakité, il s’agit d’une part de la réintégration de l’alphabétisation dans les projets et programmes de développement, et d’autre part de l’ouverture d’une passerelle vers les structures de formation professionnelle et le sous secteur formel.

Selon le ministre Togo, ce séminaire national est un exercice traditionnel depuis le temps de l’ex-DNAFLA. Donc, un exercice au cours duquel on passe en revue l’ensemble des actions menées sans occulter les faiblesses et les contraintes.  Il s’agit  aussi de proposer des solutions concrètes aux maux qui minent le sous-secteur de l’éducation non formelle. Selon lui, c’est suite à la conférence régionale Africaine sur l’Alphabétisation tenue à Bamako en septembre 2007 sous l’égide de l’UNESCO que notre pays s’est doté d’une politique nationale d’éducation non formelle et d’un dispositif national dénommé programme vigoureux d’Alphabétisation (PVA).

Durant trois jours, les participants venus des différents CAP et Académie du Mali se sont planchés sur le bilan des activités menées au cours des quatre dernières années en termes de nombre et de pourcentage d’auditeurs et d’auditrices alphabétisés et de néo-alphabètes formés par an et par académie d’enseignement.

Coulou

 

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  1. L état doit mise sur L’orthographe le grammaire la lecture et le calcul mental et suprême le chant la récitation et le dessin en premier cycle

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