Le lundi, 26 juillet 2021, c’était le lancement des épreuves de l’examen du certificat d’aptitude professionnelle sur toute l’étendue du territoire national. Pour les observateurs et les responsables des établissements, les épreuves se déroulent bien malgré la situation sur le front social entre les autorités et les syndicats d’enseignants qui prétendent boycotter ses examens.
Au début de la semaine, les premières épreuves de l’examen du Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP) ont commencé dans toutes les localités du Mali. Les épreuves se poursuivent normalement, mais avec l’absence des enseignants signataires dans plusieurs localités.
Pour le Directeur du Centre d’Animation Pédagogique de Yorosso, les épreuves de l’examen ont bien démarré dans son cap. Les candidats et surveillants sont tous dans la logique du respect des consignes. Il ajoute qu’une bonne partie des candidats sont dans les écoles privées.
« J’espère que ceci est un début pour tous les examens de fin d’année au Mali; les syndicats et le gouvernement doivent tout mettre en œuvre pour avoir un terrain d’attente parce qu’il ne s’agit plus de nous, mais de l’avenir des enfants qui est en jeu avec cette situation de l’école.
Et il serait bien que rien n’interrompe ces examens après les six mois de travail parce que nous sommes en plein préparatif pour les autres examens à venir », a-t-il indiqué.
Coulibaly Moussa, parent d’élève : « Nous demandons aux deux parties de penser à l’avenir de nos enfants. Nous, les pauvres, nous ne pouvons pas envoyer nos enfants à l’extérieur pour peur de ces grèves des enseignants. Nous avons choisi les privés et s’il faut boycotter les examens, je crois que cela va être difficile à digérer. Nous espérons qu’ils mettent l’intérêt de nos enfants au-dessus de tout pour arriver à un point d’attente pour la bonne tenue de ses examens de fin d’année».
Du côté de la Synergie des syndicats d’enseignants signataires du 15 octobre, leur absence à cet examen est motivée par un préavis de grève de 12 jours allant du 26 juillet au 09 août. En plus, un meeting était prévu hier pour défendre leur droit. « C’est à l’État de garantir le droit de chacun, de tout un chacun à la fois, afin de garantir le droit des enfants à l’éducation qui n’est autre que l’application de la loi », ajoute Ousmane Almoudou, le porte-parole des enseignants.
T.M
Source : Plume Libre
almoudou le BA-TARD va au diable tu verra les examens vont se faire sans toi et tes cliques tu preferes bafouer l’avenir de tes enfants a cause de l’argent je me demande meme si tu en as
Ce problème de boycott dépend de la population car en 1991 l’hors des évènements de Mars la populations comme un seul homme s’était levée contre les militaires logés dans les quartiers en les chassant, aujourd’hui j’appelle cette même population à se soulever contre ces apatrides assoiffés d’argent à les chasser partout où ils se trouvent à aller en brousse avec leur famille. Ce Almoudou n’a même pas de famille au nord il vient faire le faux défenseur des droits ici il faut l’abattre avec tous ces faux types appliquons l’article 220 comme cela on parlera plus de l’article 39
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