Grace au partenariat ‘’l’éducation internationale’’ au Canada et les établissements Sanou Sarr, les élèves maliens sénégalais, ivoiriens et burkinabé peuvent désormais bénéficier d’une formation à court terme dans plusieurs domaines au Canada. Le lancement officielle les activités de recrutement d’élèves internationaux au sud du Sahara désireux d’étudier et avec possibilité de travailler au Canada a eu lieu la semaine dernière dans les locaux du Chambres de commerce et d’industrie du Mali.
Ce premier vague de recrutement se déroulera jusqu’au 15 Avril prochain. Il va concerner vingt-trois programmes pour un maximum de deux cent quinze élèves répartis entre quatre pays (Mali, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Sénégal).
A cet effet, les critères de sélection sont simples, le candidat doit avoir au moins le niveau première année du lycée, être excellent, avoir un âge minimum 16 ans.
Ce programme de recrutement a été confié à deux établissements en Afrique, un au Maroc qui s’occupe du Maghreb et les établissements Sanou Sarr s’occuperont de l’Afrique au sud du Sahara.
En plus de la formule payante ‘’l’éducation internationale’’ offre également des bourses d’étude chaque année selon deux formules : la bourse d’excellence qui prend les charges de l’élève en dehors du billet d’avion et des frais des dossiers ; la bourse d’exemption des frais de scolarité qui prend en charge les frais de scolarité de l’élève.
Selon le promoteur des établissements Sanou Sarr, ce vaste chantier au-delà des études, crée un climat de jumelage entre l’Afrique et le Canada. « Les études et la formation professionnelle au Canada sont parmi les meilleures du monde » a-t-il noté.
Yacouba Doumbia
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je soutiens totalement sory,je ne dirai pas que vous êtes les plus mauvais de la sous région mais il est très important de vous relire avant .
Vous n’avez rien donné comme renseignements si on était interesser par ces bourses pour nos enfants . Comment faire ? Et l’adresse des établissements Sanou Sarr?
@ Journaliste: SVP faites lire et relire vos articles a plusieurs personnes autour de vous, pour eviter le trop plein de fautes que l’on observe chaque fois que vous balancez une info. C’est vraiment decevant les journalistes maliens sont les plus nuls de la sous-region! Pourquoi? Vous nous faites honte! Cordialement.
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