Les grands devoirs des étudiants de la Faculté des sciences économiques et de gestion (Fseg) ont pris fin hier mercredi dans l’après midi. Il reste maintenant la tenue des examens de fin d’année. Ceux-ci sont programmés du 22 au 27 novembre 2010.
Soulignons que ce jeudi dans l’enceinte de ladite faculté, aura lieu le lancement des formations en DESS par le premier ministre Modibo Sidibé. Ce sera en présence des ministres de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mme Siby Ginette Bellegarde ; de l’éducation, de l’alphabétisation et des langues nationales, Pr Salikou Sanogo ; de l’économie et des finances, Sanoussi Touré et du Vérificateur général, Sidi Sosso Diarra.
FLASH : Les examens auront-ils lieu ?
Les examens auront-ils lieu à la Faculté des lettres, langues, arts et sciences humaines (Flash)? C’est la principale question que les gens ne cessent de se poser aujourd’hui à 48 heures du démarrage des épreuves.
L’administration de la Flash a décidé, cette année, de faire une session unique au lieu de deux sessions. Les épreuves doivent commencer le samedi 13 novembre 2010. Cette décision du décanat de la Flash n’est pas acceptée par les étudiants. Ces derniers veulent l’organisation de deux sessions qui leur donnera plus de chances de passer en classe supérieure qu’une session qui ne les favorisera pas avec le système d’unités de valeur qui prévaut chez eux. Pour leur énième protestation contre cette mesure de l’administration, le comité Aeem de la Flash, conduit par Aly Cissé, a décrété une grève lundi dernier et cela jusqu’à lundi prochain. C’est dire que les étudiants sont convoqués à la faculté lundi prochain pour connaître la suite de leur lutte. Mais d’ici là, les épreuves d’examens sont prévues ce samedi. Les étudiants répondront ils présents pour se faire évaluer ? L’on ne saurait l’affirmer. Mais il faut souligner que l’administration a déjà affiché les calendriers des examens. En tout cas, il est dans l’intérêt des différentes parties de trouver vite un terrain d’entente avant que la situation ne s’envenime. Cela pour le bonheur tant des étudiants que de l’administration.
ENSUP : Démarrage de la journée de l’élève professeur ce jeudi
Comme on le dit, après la pluie, c’est le beau temps. Après la tenue des examens des étudiants des deuxièmes années de l’Ecole Normale Supérieure (ENSUP), c’est la journée de l’élève professeur qui commence ce jeudi 11 novembre 2010 dans l’enceinte de l’ENSUP. Au programme de ce jeudi, après l’ouverture officielle de la journée par les autorités universitaires, il y aura une conférence débat dont le thème est : «l’Ensup, de sa création à nos jours», un jeu de culture générale, la nuit culturelle à l’acropole de la Fast parrainée par le secrétaire général de la coordination de l’Aeem, Hamadoun Traoré. Demain vendredi, on aura encore une conférence débat avec comme sujet «Quelle nouvelle génération d’enseignants pour les cinquante années à venir ?». La journée sera bouclée par un match de football qui opposera les étudiants de l’Ensup à ceux de la FLASH.
Rappelons que les examens des premières années sont prévus pour le 3 janvier 2010.
FAST: les examens en cours
Les examens du premier semestre des étudiants du système LMD de la Faculté des sciences et techniques (Fast), commencés le lundi dernier, se poursuivent et doivent prendre fin cette semaine. Juste après le premier semestre, ils vont enchaîner directement les études du deuxième semestre qui sera probablement validé en mars 2011.
Soulignons que la deuxième session des étudiants de l’ancien système est aussi en cours.
CESB : Les examens prévus en décembre prochain
Les étudiants du Centre d’enseignement supérieur de Bamako (CESB) continuent les cours. Là, ils sont convoqués au mois de décembre 2010 pour les évaluations des examens de fin d’année.
FMPOS/ENI/ FSJP/ IUG: Les résultats des examens attendus
Après la tenue de leurs examens, les étudiants de la Faculté de médecine, de pharmacie et d’odontostomatologie (Fmpos), de l’Ecole nationale d’ingénieurs (ENI), de la Faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP) et de l’Institut universitaire de gestion (IUG) n’attendent plus que leurs résultats pour être fixés sur leur sort.
Hadama B. Fofana
