Diola Konaté lors du lancement des activités sportives et culturelles du CENOU : ” L’espace universitaire ne doit plus être un espace de violence et de grève “

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Un esprit sain dans un corps sain “. Pour traduire dans les faits cette assertion, les responsables du Centre national des œuvres universitaires (CENOU) ont procédé, le samedi dernier dans l’Amphi de la Faculté des Lettes et des arts, au lancement des activités sportives et culturelles de l’Université des lettres et des sciences humaines de Bamako (ULSHB).

 

 

La cérémonie était présidée par le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Diola Konaté.  Prenant la parole, le Recteur de l’Université des lettres et des sciences humaines, Macki Samaké a déclaré que son département adhère entièrement à cette initiative. Il a aussi invité les étudiants à pratiquer plus d’activités sportives. Car, selon lui, la pratique du sport permet de préserver la santé physique et mentale. Il a précisé que la troupe théâtrale est constituée de jeunes étudiants talentueux, tous issus de son université. Quant au chef de service sport, art et culture du Centre national des œuvres universitaires, Mama Ibrahim Touré, il a dévoilé les objectifs de sa structure.

 

Selon lui, le CENOU est un centre qui accompagne les étudiants à travers les activités sportives et culturelles pour assurer le développement de leur corps et de leur esprit. A ses dires, pour cette édition, en plus du football et du basketball, son service a décidé d’associer d’autres disciplines telles que : l’athlétisme, le judo, le taekwondo. Selon lui, la première édition a été un succès. Et, la pratique du sport permet aux étudiants de s’épanouir. “ Notre ambition est de pouvoir participer à toutes les compétitions sportives et culturelles dans la sous-région ” a-t-il déclaré.

 

Le représentant du ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Diola Konaté a invité l’assistance à suivre avec intérêt les pièces de théâtre présentées par les troupes de l’Université. Aux étudiants, il dira que l’espace universitaire ne doit plus être un espace de violence et de grève.

       Boubacar PAÏTAO

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