Après une année blanche pour, disait-on, rétablir l’ordre afin d’uniformiser l’année scolaire et universitaire, l’enseignement supérieur est actuellement dans une crise qui ne dit pas son nom. C’est cette situation qui inquiète le malien qu’il soit de la ville comme de la campagne. Ce qui est plus inquiétant, c’est que le Ministre Madame Siby Ginette BELLEGARDE, en charge du département donne l’impression de ne rien maîtriser dans son département. Les problèmes sont nombreux. Entre l’équipement de l’Université en infrastructures adéquates, la scission de l’Université en quatre entités, et l’urgence de la rentrée universitaire 2011-2012, Madame le Ministre tergiverse. Pis, elle se permet souvent de donner la date de la rentrée qui ne sera pas respectée.
Ayons le courage de l’avouer, l’enseignement en général et celui du supérieur en particulier échappe au gouvernement actuel. On se rappelle la grève qui vient de secouer l’enseignement primaire et secondaire. Même si le Président de
Le Ministre de l’Education est-il là pour gérer l’école publique ou l’école privée ? Nous nous contenterons de poser la question.
Le Ministre de l’Education, de l’Alphabétisation et des Langues Nationales, avec bien sûr le soutien de chefs de quartiers , les leaders des confessions religieuses et d’autres personnes ressources, arrive jusque-là à avoir un dénouement heureux de la crise. Mais son homologue de l’Enseignement Supérieur et de
Rappelons que l’année universitaire 2010-
En mi-décembre, encore sous le pressing des journalistes elle annonçait sur les antennes de l’ORTM que : " la rentrée aura lieu en fin Décembre 2011 "
Madame le Ministre, avec tout le respect que nous vous devons, permettez-nous de vous rappeler que nous sommes vendredi 13 Janvier
Abou BOLOZOGOLA
Stagiaire