Le résultat du concours d’entrée à l’Ecole nationale de l’administration (ENA), session décembre 2017 et le résultat des épreuves écrites du concours de recrutement des auditeurs de justice, session de janvier 2018, sont parus, le vendredi 16 février 2018. Rappelons que pour le concours de l’ENA il y avait 19.000 candidats pour 46 postes et quant à celui de la magistrature il y avait 6.750 candidats pour l’ordre judicaire, et 3.171 candidats pour l’ordre administratif pour 40 postes dont 30 pour l’ordre judicaire et 10 pour l’ordre administratif.
Les résultats de l’Ecole nationale d’administration (ENA) est paru et les 46 postes ont été occupés par les admis. Pour le résultat des auditeurs de justice 131 candidats ont été retenus au niveau de l’ordre judicaire pour passer à la phase orale et au niveau de l’ordre administratif ils sont 114 candidats retenus pour la phase orale, prévue le lundi 25 février prochain à l’Institut national de formation judiciaire (INFJ) à Banankabougou.
En effet, le résultat de l’ENA a suscité des constats; il s’agit du fait que la plupart des admis sont nés hors du Mali notamment en Coté d’Ivoire. Ce qui veut dire que ces admis ont fréquenté d’autres écoles avant qu’ils ne soient au Mali. D’où, leur niveau élevé comparativement à leurs camarades qui ont suivi leur étude et formés ici au pays. Le deuxième constat, est relatif à l’absence des femmes car, il est à noter que c’est une seule femme qui a été admise à ce concours, et mieux, elle est née en République de Coté d’Ivoire.
Ainsi, on peut analyser avec objectivité que la transparence et la recherche des meilleurs candidats ont été les synonymes de ce concours. « Je peux affirmer que les concours ont été faits dans la transparence. Mais ce que je souligne et je déplore ce que nous n’avons pas de niveau intellectuellement. Et cela interpelle forcement les autorités qui d’ailleurs sont les coupables de la dégradation du système éducatif depuis deux décennies. Alors, en réalité, elles doivent revoir leur système éducatif », nous a livré MS, candidat malheureux à la magistrature. Un autre à la personne SK qui a fait les deux concours a soutenu qu’il y a la rigueur dans ces concours surtout celui de l’ENA, mais il a ainsi sollicité les autorités à augmenter le nombre de quotas et aussi faire en sorte que chaque année, il ait un concours de l’ENA et de la magistrature.
M.L. KONE
Source: LE FONDEMENT
Tumbouctou, c’est ton père qui perd son TESTICULE….
@Je ne vous insulte pas, car mon edication ne me le permet, vous etes pas plus sauvin que moi, vous avez insulte un veiux de plus de 94 ans, vous n’etes plus malien que moi, vous avez mal compris mon opinion, l’amour que je porte pour mon pays est plus fort que vos imaginations. Merci!
La remarque du journaliste est correcte ,il faut se remettre en cause. Nous aimons tous ce pays ,mais tout malien conscient doit savoir que le niveau de l’école malienne est très bas actuellement. Avant 1991,les étudiants maliens étaient parmi les meilleurs de la sous région et dépassaient souvent de loin ceux formés à l’hexagone. Mr Alpha Oumar Konaré a préparé ce coup contre les fils de ce pays sans qu’ils ne s’en rendent compte. Formation au rabais depuis l’école fondamentale, politisation de l’école, des programmes inadaptés, des manuels imaginés sans grande réflexion, voilà le résultat. Le but politique essentiel de sa démarche est la création d’un bétail électoral pour les jours à venir, avec des jeunes gens sans analyse, facilement manipulables. A ce coup dur sont venus se greffer le manque de conscience des concernés eux-mêmes(les élèves), et le manque du sens de devoir de beaucoup d’encadreurs( enseignants)
je suis désolé de la petitesse de ton analyse, le fait d’être né à l’extérieur n’est pas synonyme d’y avoir fait une partie de ses études. En tant que journaliste ‘certainement formé au Mali” il aurait fallu creuser mieux pour expliquer clairement le parcours des différents candidats, aussi, vous aurez chercher à connaitre le nombre de filles candidates?. Cela me semble plus respectueux que de bâtir toute ta thèse sur la lecture d’une simple liste. C’est très dommage ces journalistes “formés au Mali”
((Ce qui veut dire que ces admis ont fréquenté d’autres écoles avant qu’ils ne soient au Mali. D’où, leur niveau élevé comparativement à leurs camarades qui ont suivi leur étude et formés ici au pays))…… Quelle honte, quelle honte! L’éléphant s’est métamorphosé en crapaud, quelle mauvaise gouvernance, quelle honte pour nos dirigeant, quel honte pour ce système éducatif, quelle honte, quelle honte, pauvre nous. Puisque la conscience professionnelle est morte, malheureusement que les enseignent ont transformé les écoles en des lieux des business. Quelle honte, le premier est devenu le dernier. Le mali était une référence en matière des études. Quelle honte, Le Mali se classe dernière dans tout sauf dans la corruption, Il est meme sur le point de perdre son testicule ( KIDAL)
En réalité le Mali n’a jamais été une référence sur le plan intellectuel. Ceux qui gèrent le pays aujourd’hui et qui ont mis en place ce système sans tête ni queue ont été formés dans la période que les anciens considèrent comme l’époque de la bonne école malienne. Le pire est que les maliens formés à l’étranger ne semble pas échapper à la règle car l’enseignement supérieur du Mali qui est le moins bien structuré de la sous région est animé par des professeurs formés à l’étranger pour la presque totalité. En regardant les filières et les modules de formation de l’ensemble des facultés et des universités du Mali, on a l’impression que ceux qui élaborent ces programmes n’ont pas fait l’université or beaucoup sont diplômés dit-on des plus grandes universités d’occident ou du Maghreb.
((Le niveau élevé comparativement à leurs camarades qui ont suivi leur étude et formés ici au pays))) Quelle honte, quelle honte! L’éléphant s’est métamorphosé en crapaud, quelle mauvaise gouvernance, quelle honte pour nos dirigeant, quel honte pour ce système éducatif, quelle honte, quelle honte, pauvre nous. Puisque la conscience professionnelle est morte, malheureusement que les enseignent ont transformé les écoles en des lieux des business. Quelle honte, le premier est devenu le dernier. Le mali était une référence en matière des études. Quelle honte, Le Mali se classe dernière dans tout sauf dans la corruption, Il est meme sur le point de perdre son testicule ( KIDAL)
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