Concours de débat interuniversitaire : SUP-IGA célèbre ses champions

C’est dans une ambiance festive que la direction de Sup-IGA a fêté sa victoire à la 2ème édition du concours de débat interuniversitaire, le samedi 12 novembre dernier dans l’enceinte de l’université.

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C’est dans une ambiance festive que la direction de Sup-IGA a fêté sa victoire à la 2ème édition du concours de débat interuniversitaire, le samedi 12 novembre dernier dans l’enceinte de l’université.

L’ambiance était bon enfant, la joie se lisait sur tous  les visages, parents d’élèves, corps professoral et étudiants ne voulaient manquer pour rien au monde cet événement historique.

Pour le représentant des promoteurs, Moustaph Sarr, c’est avec joie, reconnaissance et responsabilité qu’ils félicitent leurs lauréats. Il estime que c’est le fruit d’un travail de plus de 6 mois. M. Sarr a salué l’esprit d’équipe qui a prévalu au sein du groupe, car l’exercice n’était pas facile surtout quant il s’agissait de parler en public.

Parlant de l’historique de Sup-IGA, il a soutenu que l’idée est venue du fait que l’ensemble des cadres du pays viennent de l’extérieur. C’est pour renverser cette tendance que Sup-IGA est né avec comme créneau la culture de l’excellence, affirme-t-il. Le promoteur dira que cela passe par la formation des formateurs qui nécessite beaucoup de sacrifice. C’est pour cette raison que de sa création à nos jours aucun actionnaire n’a perçu un centime de dividende.

L’orateur conclut que l’avenir c’est Sup-IGA, avant d’appeler les étudiants à n’avoir aucun complexe devant les autres étudiants du pays.

Mounabeh Saïda épouse Traoré, directrice de l’école, estime qu’on a de la qualité, laquelle servira le Mali demain. Elle estime que Sup-IGA a été à un endroit où on ne les attendait pas et ils ne le regrettent pas.

Le corps professoral représenté par Mahamadoun Karembé pense que ce résultat, c’est d’abord grâce aux étudiants avant l’encadrement. Il soutient que c’est à eux de se mettre en valeur pour être considérés par les autres. « Certes il n’y a pas assez d’étudiants, mais le peu qu’il y a c’est de la qualité ». Il terminera par demander à la direction de mettre un accent particulier sur la communication pour vulgariser les succès de l’école.

La cérémonie a pris fin par des pas de danse et des repas copieux. Vivement la prochaine édition.

Harber MAIGA

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