Les prises de contacts enclenchées par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Me Mountaga Tall, se corsent sur la colline de Badala, à l’Université, avec la mobilisation des centaines de forces de l’ordre et de sécurité déployées en grand nombre pour contenir la colère des étudiants meurtris par leurs conditions de vie difficile.
Depuis plusieurs jours, le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Me Mountaga Tall est à la rencontre de ses services déconcentrés. Il était hier sur la colline de Badala, bastion de l’AEEM.
La remarque qu’on pouvait faire tout de suite était le degré de mobilisation des forces de l’ordre et de sécurité. Elles étaient une centaine déployée pour contenir la colère des élèves et étudiants meurtris par leurs conditions de vie et d’études difficiles.
Jusqu’à présent des étudiants courent derrière leurs trousseaux et bourses. Par contre, d’autres, mécontents de leur renvoi de l’université, s’attendaient à des explications avec le ministre à ce propos.
Cette situation démontre les difficultés de Me Mountaga Tall à aplanir les discordances dans cet ordre d’enseignement en panne depuis plusieurs années. En tout cas, le défi est grand, reconnait Me Tall. Il promet d’instaurer un dialogue fécond pour sortir le secteur du gouffre.
Ousmane Daou
critiques stériles à la limite irresponsable; critiquer pour critiquer est le propre des personnes attardées que l'autre appelle les nihilistes
critiques stériles à la limite irresponsable; critiquer pour critiquer est le propre des personnes attardées que l’autre appelle les nihilistes
Lui n’a aucune solution au problème de l’école malienne à l’image de son parti qui ne compte plus de militants. Et vous voulez que le pays bouge! Non!
Ah j’ai honte !!! Voyez que le Malien ne pense qu’à lui seul et que les autres peuvent mourir les bouches ouvertes. Au lieu d’interpeller le ministre sur la protection des députés du RPM qu’ils apportent à O.Mariko pour qu’il ne réponde pas au Juge d’instruction qui enquête su la mort d’un étudiant . Ok parler de vos conditions, mais où avez vous mis à la solidarité à l’égard d’un de vous mort dans des conditions mystérieuses. Cela pourrai arrivé à chacun de vous.
Les jaloux de Me Tall vont maigrir parce qu’il est en train de reussir là où tous ses prédécesseurs ont échoué. Il vient d’appliquer le protocole avec les enseignants et payer les bourses et trousseaux aux étudiants.
STP ce n est pas avec sa poche qu il a payé les trousseaux qu a meme un peu de retenu tu n es pas sérieux en affirmant cela
Quel protocole est appliqué?
– Les remboursement au titre de l’Amo étaient pour le mois de mars. A présent ce n’est pas fait,
– Les contractuels ne sont intégrés,
– Moustapha DICKO a fixé des conditions pour la nomination des assistants docteurs au rang de maitre-assistant, conditions qui n’étaient dans le protocole,
– Les heures supplémentaires du premier semestre ne pas payés alors que le protocole dit que leur paiement ne sera pas affecté par le paiement fractionnel des arriérés de 2010,2011,2012 et 2013.
Depuis quand tu vas nos cadres réfléchir sur les problèmes de la nation et faire de propositions concrètes, et de surcroit quand ton employeur “Pdt Rep” de demande de descendre sur le terrain pour s’enquérir des réalités ( seulement) bonjour les moi-tu-vu.
C’est vraiment dommage et c est le défaut du pilotage a vue chaque Ministre essai d’imprimer sa marque
En attendant c est le peuple qui fait les frais au nom de qui tout est planifié et tout es décidé
A quoi ça sert de faire une visite quand on n’a aucune solution à proposer,cela frise la provocation. Les ministres devraient s’asseoir dans leurs bureaux et réfléchir aux solutions des problèmes qui sont bien connus. Avec ces visites, ils font semblant de travailler.
Décidément la réflexion est en panne dans la classe dirigeante du Mali.
Il est campagne pour remembrer son parti. Sinon comment comprendre des visites aux structures ensevelies par des problèmes sans avoir aucune solution. Me Tall fait partie des hommes politiques comme Choguel K. Maïga Mamadou Lamine ou Oumar Mariko qui ont utilisé l’école comme instrument contre le pouvoir. Voilà que lui même a le pied dans l’étrier aujourd’hui.
Comments are closed.