CGS du second cycle de Ouenzzindougou : Passation bloquée entre l’ancien et le nouveau bureau

0

Depuis le moment où le choix a été porté sur des hommes et des femmes pour remplacer valablement l’ancien bureau du Comité de  gestion scolaire (CGS) du second cycle de Ouenzzindougou, un épais  brouillard plane et cache mal des réalités.

Au sujet du Comité de gestion scolaire du second cycle de Ouenzzindougou, des phénomènes se passent au point où on risque de tomber en syncope. L’ancien bureau du Comité de gestion scolaire se mêle toujours aux affaires car il n’a pas pu ou voulu passer le témoin au nouveau bureau. Celui-ci reste sans information souvent du fait de l’entretien du doute sur certains aspects de la gestion des choses. Ils sont restés patients pour sauver ensemble la situation et que la maison commune ne brûle.

Faut-il le rappeler, il fut un moment où la disparition miraculeuse des ordinateurs offerts par l’ONG ‘’Agir’’ a défrayé la chronique. Et dans les précédentes parutions, le journal ‘’ Le Prétoire’’ avait levé le lièvre sur cette question des ordinateurs disparus.

Pour calmer le tollé soulevé, il a été raconté de façon laconique, que les ordinateurs n’ont pas disparu, mais qu’on les a transportés dans un autre lieu pour les sécuriser. C’est une très bonne initiative qui est d’ailleurs à saluer, mais les élèves étaient de retour à l’école un moment, les ordinateurs sont restés sans nouvelle. Ce, devant l’Eternel. Où sont-ils sécurisés ? C’est la question que l’on se pose enfin. Jusque-là aucune réponse n’a été trouvée à cette question. Ils ont été tellement sécurisés au point où  il est facile de boire la mer que de les retrouver.

S’il est vrai que ces outils sont sécurisés et s’ils existent pour la formation des enfants, ils doivent occuper leur emplacement initial au plus tard le 4 janvier, date de la reprise de la nouvelle année scolaire. A quand donc la passation de service entre l’ancien  et le nouveau bureau du Comité de gestion scolaire du second cycle de Ouenzzindougou ?

Dieu veille !

Bazoumana KANE

 

 

Commentaires via Facebook :