Avec la politique de décentralisation adoptée par le Mali, il a été décidé de créer une fonction publique des collectivités parallèlement à celle de l’État. Ainsi, des agents de tous corps sont recrutés comme fonctionnaires des collectivités.
Depuis, un certain temps, les agents chargés du traitement des salaires de ces fonctionnaires se sont illustrés par leur lenteur. Alors que les fonctionnaires de l’État reçoivent leurs salaires le 25 de chaque mois, ceux des collectivités attendent jusqu’au 7 ou 8 du mois suivant. Après plusieurs plaintes, la situation a continué. Ainsi, le jeudi 6 février 20104, les enseignants des collectivités de Bamako n’ayant pas encore perçu leur salaire du mois de janvier ont décidé de taper du poing sur la table. Depuis, le vendredi 7 février, ils observent un arrêt de travail. Le travail ne reprendra que lorsqu’il sera constaté le payement de tous les enseignants. Selon Tièmoko Dao, secrétaire général du comité syndical des enseignants des collectivités du District que nous avons rencontré, face à cette situation récurrente, son syndicat avait entrepris toutes les démarches auprès des autorités pour décrier cette situation. Le secrétaire général pointe du doigt les agents de traitement de la mairie du District. Selon Dao, la direction du budget finit le traitement t des salaires avant tous les 15 du mois avant de transmettre les états au niveau de la de la mairie pour le traitement final. « C’est au niveau de la mairie que tout traine », dénonce Dao. Il estime que cette traduit le peu de crédit que les autorités accordent à l’école. Pour preuve, il déclare que sur un besoin exprimé de 12 000 enseignants, l’État n’a recruté que 2000 cette année. « Le comble est que c’est 2000 enseignants n’ont pas encore pris fonction du seul fait des lenteurs administratifs » martèle Dao. Pour l’instant, au moment où nous mettions sous presse, les enseignants fonctionnaires des collectivités n’avaient encore perçus leur salaire du mois de janvier et la paralysie dans les établissements continue.
savent-ils que leurs collègues des régions de Kidal,Gao, Tombouctou et certains communes de la région de Mopti n’ont pas reçu un copec depuis le 1er janvier 2014 ?
bien fait pour eux. C est pas vous qui avez elu un nullard a la tete du pays?
La remise officielle des clés des logements sociaux de Kolokani était initialement prévue le jeudi 19 décembre 2013 mais avait été reportée sine die. Il est à signaler que le Conseil de cabinet tenu le mercredi 04 décembre 2013 et présidé par le PM avait, à son point 4, entendu une Communication du ministre du Logement relative à l’organisation des cérémonies de remise de clés des logements sociaux à San, Koutiala, Dioïla, Kolokani et Niono.
Du coup, les heureux bénéficiaires se posent la question à savoir pourquoi cet énième report intervenu juste la veille du jour J? Qu’est-ce qui se manigance du côté du Département en charge du logement? Est ce un mépris pour le vaillant peuple bamanan du Bélédougou si l’on sait que ce projet a été lancé depuis 2010 et que l’inauguration des logements sociaux de San, de Koutiala et de Doïla a été effective depuis le mois dernier?
Monsieur le Directeur Général de l’OMH que faites vous des liens (amicaux et parentaux) qui vous unissent à cette ville et qui datent de plus de 30 ans ?
Son Excellence Monsieur le Ministre du Logement, pourquoi ce silence injustifié ?
Combien de km sépare Kolokani de Bamako pour laisser dégrader ces maisons et leurs peintures intégralement refaites ? Et cela sur le dos du contribuable malien ?
N’étiez vous pas sur le chantier des 1500 logements sociaux de Tabacoro voilà deux semaines , celui de Missala- Gouana l’autre jour seulement et celui de Sebenicoro aujourd’hui m?
A quand finalement la reprogrammation de cet événement quand on sait que le Président de la Commission d’attribution jure la main sur le cœur que vous lui avez promis de le faire courant janvier 2014 ? Il urge car nous sommes le 10 Février aujourd’hui.
Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, vous êtes également interpellé pour le suivi de la bonne exécution des résultats issus dudit Conseil de Cabinet.
Son Excellence Monsieur le Président de la République, répondez aux cris de détresse de la population du Bélédougou.
NB : La semaine prochaine je mettrai sur la toile la liste des vingt (20) « malheureux » bénéficiaires qui ont unanimement décidé d’alléger leur souffrance en renonçant à devenir propriétaires s’ils ne sont pas en possession de leurs clés d’ici la fin de ce mois de février.
La remise officielle des clés des logements sociaux de Kolokani était initialement prévue le jeudi 19 décembre 2013 mais avait été reportée sine die. Il est à signaler que le Conseil de cabinet tenu le mercredi 04 décembre 2013 et présidé par le PM avait, à son point 4, entendu une Communication du ministre du Logement relative à l’organisation des cérémonies de remise de clés des logements sociaux à San, Koutiala, Dioïla, Kolokani et Niono.
Du coup, les heureux bénéficiaires se posent la question à savoir pourquoi cet énième report intervenu juste la veille du jour J? Qu’est-ce qui se manigance du côté du Département en charge du logement? Est ce un mépris pour le vaillant peuple bamanan du Bélédougou si l’on sait que ce projet a été lancé depuis 2010 et que l’inauguration des logements sociaux de San, de Koutiala et de Doïla a été effective depuis le mois dernier?
Monsieur le Directeur Général de l’OMH que faites vous des liens (amicaux et parentaux) qui vous unissent à cette ville et qui datent de plus de 30 ans ?
Son Excellence Monsieur le Ministre du Logement, pourquoi ce silence injustifié ?
Combien de km sépare Kolokani de Bamako pour laisser dégrader ces maisons et leurs peintures intégralement refaites ? Et cela sur le dos du contribuable malien ?
N’étiez vous pas sur le chantier des 1500 logements sociaux de Tabacoro voilà deux semaines , celui de Missala- Gouana l’autre jour seulement et celui de Sebenicoro aujourd’hui m?
A quand finalement la reprogrammation de cet événement quand on sait que le Président de la Commission d’attribution jure la main sur le cœur que vous lui avez promis de le faire courant janvier 2014 ? Il urge car nous sommes le 10 Février aujourd’hui.
Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, vous êtes également interpellé pour le suivi de la bonne exécution des résultats issus dudit Conseil de Cabinet.
Son Excellence Monsieur le Président de la République, répondez aux cris de détresse de la population du Bélédougou.
Comments are closed.