Affaire Ispric Le feuilleton judiciaire prend une allure vertigineuse

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ISPRICL’Institut des sciences politiques relations internationales et de communication (Ispric), du tout-puissant Mohamed Gakou, a du fil à retordre, après son refus de rencontrer l’huissier des victimes de la promotion DEA 8.

 

En effet, ces derniers entendent lui faire comprendre que la sommation interpellative n’est qu’une phase préliminaire de la procédure et que même, au cas où il refuserait de rencontrer l’huissier sur ladite question , ce denier fera mention de son refus de rencontrer un officier judicaire pour formalisation d’acte et fera mention dans son procès-verbal, qui sera déposé dans ladite procédure pour montrer la mauvaise foi du Directeur général de l’Ispric.

 

Il est évident qu’il ne saurait ni disconvenir, ni ignorer avoir organisé des examens de la 2ème session, le petit oral, le grand oral et les soutenances, quelques heures après la proclamation des résultats de la 1ère session ; et  qu’aucun calendrier n’était établi afin que les étudiants puissent se préparer. Aussi, que les étudiants ont été évalués par des professeurs outre que leurs directeurs de mémoire, en leur absence.

Mais hélas, ce que le directeur de l’Ispric oublie, c’est que sa fuite en avant, ne saurait prospérer, car cela ne fait que réconforter davantage sa mauvaise foi.

Seyni TOURE

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2 COMMENTAIRES

  1. Bande de nulards continuez de vous plaindre parce que vous n’avez pas été admis
    Ceux qui ont travaillé ont leur diplome bien vrai que c’est une école privée le diplôme de l’ispric se mérite
    Donc ce n’est pas à vendre.

  2. Bonsoir.
    Chers innocents, l’école aujourd’hui est un outil générateur de revenu peu importe les voies pour y parvenir. c’est ce qu’a voulu l’ex chef d’État Alpha et sa Clique en soustrayant des missions régaliennes de l’État l’éducation, la formation et avec tout ce que cela peut saboter d’avantage comme support pédagogiques inappropriés et aussi bien que personnel d’encadrement. Comment voulez vous obtenir de la qualité dans un décor médiocre sans aucune expérience professionnelle. Il faut fermer tout simplement ces écoles plutôt ces outils générateurs de revenus. “l’insécurité dans un État sécurisé fort est à préférer que la quiétude dans un état non stable”.
    Donnez à ce pays son image d’antan. Merci.

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