A l’occasion de la dite journée qui s’est tenu le samedi 6 juillet dernier. Sous l’agropole de la FAST. Le ministre des mines le parrain, Boiacar Coulibaly président de REERRSS, le Dr Mamadou Fanta Simaga, le représentant du ministre de l’administration territoriale, le président de l’association des jeunes pour le développement de Ségou M. Baboye Kane et plusieurs personnalités de marque avaient répondu à l’appel.
Selon Coulibaly Boiacar étudiant en licence au niveau de la FSEG non moins président du Réseau des Elèves et Etudiants Ressortissant de la Région de Ségou et Sympathisant (REERRSS) ‘’Nous sommes très nombreux à Bamako, les seuls membres du bureau font 842 personnes. Le thème qui porte sur les valeurs sociales et culturelles de la région de Ségou n’est pas un fait de hasard. Il s’agit de mettre la lumière sur la culture et la société dont nous sommes issues (je veux dire Ségou). C’est pourquoi d’éminentes personnalités évoqueront la question au cours de la journée’’ Après les mots du président du REERRSS, ce fut le tour de M. Kane Baboye d’abondé dans le même sens. ‘’La journée de cette année est marqué par la grande crise que notre cher patrie a connu et dont nous avons tous souffert. Le thème choisi nous permettra également d’évoquer l’importance de la culture dans la société. La région de Ségou faudra-t-il le dire est dotée d’une riche culture qui ne souffre d’aucune contestation. Après, il à parler de l’importance de l’office du Niger pour le Mali. Avant de dire en guise de dernier mot qu’il n’y a pas un Malien heureux sans un Mali heureux.
Le ministre des mines pour sa part, c’est dit très heureux d’avoir été choisi comme parrain de la journée. Il a profité de l’occasion, pour donner des sages conseils aux élèves et étudiants Maliens en générale et à ceux de la région de Ségou en particulier.
Le conférencier du jour M. Mamadou Fanta Simaga a fait une très bonne communication sur le thème de la semaine. Pendant laquelle, les uns et les autres ont été largement édifié sur la culture de la région de Ségou.
Hamady Diallo