Les prochains accords de paix prévoiront encore comme tous les autres pour la énième fois l’intégration des anciens combattants rebelles dans la Fonction publique notamment au sein des Forces armées et de sécurité. Au Mali faut-il le rappeler, l’intégration dans la Fonction publique est régie par des lois au terme desquelles on ne devient fonctionnaire que lorsqu’on a un diplôme et qu’on est admis à un concours d’intégration de la Fonction publique. Pendant que les jeunes noirs des autres régions du Mali sont obligés de passer par cette épreuve haletante, pour bien des cas les jeunes touareg et arabes, surtout ceux issus des mouvements rebelles, sont recyclés puis déversés après chaque accord de paix sans aucune forme de procès dans la Fonction publique. Donc au départ des cerveaux sales issus de la rébellion, du narco trafic et du crime organisé qui ont pris des armes, sapé les fondements de l’État, endeuillés des familles innocentes sont blanchis plus tard dans l’Administration où ils deviennent des fonctionnaires modèles comme les autres. Combien de têtes blanchies avons-nous aujourd’hui dans l’Administration d’ État. Et à quand la fin de cette nouvelle forme de blanchiment.
Si le monde entier est aujourd’hui uni pour combattre le blanchiment d’argent et de capitaux pourquoi ne pas aussi criminaliser le blanchiment de cerveaux dans le cadre de la lutte globale contre le terrorisme. Les services nationaux en charge de la lutte contre ce fléau au Mali et au Niger devraient promouvoir à souhait ce concept pour que le groupe d’action financière (GAFI), organisme intergouvernemental créé lors du sommet du G7 de Paris en 1989, et qui est chargé de traquer les “blanchisseurs“ de capitaux puisse juridiquement consacrer ce nouveau concept. Parce que comme Al
Capone, célèbre gangster américain des années 1920 à qui remonte l’expression « blanchir de l’argent », qui pour pouvoir réutiliser l’argent de ses crimes, utilisait un réseau de blanchisseries, aujourd’hui sous nos cieux les rebellions touareg sont devenues de véritables officines d’une autre forme de blanchiment, celui de blanchiment de cerveaux. Vivement une cellule TraKCerv de lutte contre le blanchiment de cerveau au Mali et au Niger.
O’BAMBA
LA PLUPART DES PROJETS DU NORD ONT ETE PILOTE PAR DES TOUAREGS CEUX QUI ACUSENT LES GOUVERNENTS NE SONT PAS HONNETES AVEC EUX MEMES.LE COLONEL GAMOU A EU A LE DIRE………..A PLUSIEURS REPRISES
CHER LAlia VOUS ETES DE CES GENS……….MALHEUREUSEMENT VOS PROJETS N’ABOUTIRONT JAMAIS………..LE MALI EST INDIVISIBLE DE PAR SON HISTOIRE…………………..
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LA PLUPART DES PROJETS DU NORD ONT ETE PILOTE PAR DES TOUAREGS CEUX QUI ACUSENET LES GOUVERNENTS NE SONT PAS HOONETES AVEC EUX MEMES.LE COLONEL GAMOU A EU A LE DIRE………..A PLUSIEURS REPRISES
CHER LAlia VOUS ETES DE CES GENS……….MALHEUREUSEMENT VOS PROJETS N ABOUTIRONT JAMAIS………..LE MALI EST INDIVISIBLE DE PAR SON HISTOIRE…………………..
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A LAlia et f16,
C’est sûr que tous les touaregs ne sont pas pareils. C’est pourquoi il y a un général El Hadj Ag Gamou, dont une partie de la famille a été massacrée par les gens du MNLA.
Mais historiquement les touaregs, surtout la frange de Kidal,ont écrit à De Gaulle qu’ils ne voulaient pas être administrés par des noirs. Le document existe. Donc rien d’étonnant avec ce qui se passe maintenant à Kidal.
C’est sûr que la corruption, le népotisme, les détournements de biens publics pénalisent les couches moins bien placées et particulièrement ceux vivant loin de la capitale y compris les touaregs. A part Modibo Kéïta qui envoyait des instituteurs suivre les nomades et leurs troupeaux dans le désert pour scolariser les enfants plus rien de sérieux n’a été fait après.
Ce qu’ont doit reprocher aux gens du MNLA et compagnies c’est de s’être alliés à des djihadistes et trafiquants de drogues pour détruire leur pays. Il y a aussi le fait les viols des filles et des femmes et Aguelhoc.
vous comprenez pas que les touareg ne veulent plus de votre administration corrompue qu’ils connaissent , pour en etre degoutes déjà.ils veulent leur independance car de nature c’est des hommes libres (amachagh) . vous analysez toujours le probleme autrement.il est temps qu’ils soient autonomes .et croyez moi si il en serait autrement c’est bientôt vous qui la leur demenderait.l’intengibilite des frontières est une arme du colon,celle de la destabilisation.au meme titre que leurs autres armes comme les institutions financieres(armes de chantage)ou les droits de l’hommes(arme d’ingerence).ces frontieres arbitraires ont crée des états illégitimes dans les quels on s’est arrange a faire cohabiter le loup et l’agneau en permanence pour de futures ingérences au cas ou.le salut de l’Afrique passe par sa desintegration en revenant aux anciennes frontieres ancestrales et seulement aller vers son itegration mais cette fois ci celle des peuples.
je ne suis pas touareg. Je vous monsieur de chercher à connaitre les touareg vous n allez plus écrire “rébellion touareg” Des touaregs ont refusé de suivre la France de de Gaulle et ont aidé le 1er président Modibo Keita dans la lutte de l indépendance du Mali. A présent c est eux qui peuvent se battent pour le Mali et c est ce qu ils sont entrain de faire actuellement au nord car la France avec l aide du PNUD empêche les soldats d avance sur le terrain. Donc les touaregs sont plus patriote que vous. Évidemment il y a une minorité qui est la branche armée de la France qui lui a instruit de venir réclamer leur indépendance. Le touareg seul n a jamais pensé qu’on pouvais même parler de division du Mali. Ils ont perçu leur armes des mains des français.
Cherchez pourtant monsieur sur internet ces articles= la politique française en Afrique, l’affaire ELF l’argent roi , le Cfa et le développement de l Afrique
Tant que les gens regardent faire, les autres ont raison de venir “caser” qui ils veulent dans la fonction publique malienne. Par QUI il faut entendre des voleurs, des dealers, des escrocs et de toute nationalité car parmi ces “rebelles” il y’a des sahraouis, des mauritaniens, des algériens et que sais-je encore. C’est leur droit du moment que les militaires maiens, qui seront les premiers égorgés lors de la prochaine rébellion par leurs “compagnons d’arme”, ont toujours accepté cette imposition comme si les rebelles sont les seuls à détenir des armes, un fait qui montre déjà le manque de “combativité” des FAMA.
IL SERAIT INJUSTE DE PARLER DE RÉBELLION TOUAREG , LA MAJEURE PARTIE DES TOUAREGS VEULENT LA PAIX …………..NOUS FAISONS PLUTÔT FACE A UN GROUPUSCULE CRIMINEL MAFIEUX / MNLA RÊVANT DE FASCISME DE TRIBALISME ET DE SECTARISME……..CE GROUPUSCULE NE PEUT PAS REPRESENTER LES BRAVES ET HONNETES TOUAREGS MAJORITAIRES………….
IL EST IMPORTANAT QUE LES JOURNALISTES SACHENT FORMULER LES ARTICLES ET TITRES DES EDITIONS DE LEURS JOURNAUX………….
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Le courage a un prix
La lâcheté aussi
Le noir est lâche
Ce que vous dites s’appelle la PRIME à la REBELLION.
La conséquence logique est un éternel recommencement.
Depuis la chute de ATT jusqu’à ce jour c’est la même histoire, le même cinéma.
On ne sait même pas que les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Quel pays!!!!
C’est vrai qu’au Mali beaucoup de dirigeants ont une mémoire de poule, et un très faible niveau de conscience.
Regardez la manière dont IBK est arrivé au pouvoir, les PROMESSES qu’il faisait: Le MALI d’ABORD, Pour l’HONNEUR du MALI, la LUTTE contre la CORRUPTION, la bonne personne à la bonne place…
AUJOURD’HUI qu’est-ce qu’on voit: le FMI, la BM qui humilient un pays pour mal gouvernance, marché entaché d’anomalie, surfacturation des équipements destinés à la défense de l’existence même du pays…La FAMILLE d’ABORD pour finir, avec des conseillers sans scrupules ou de connivence avec le chef de l’Etat et jouant les lampistes qu’on sacrifie sur l’autel de la corruption permanente.
Pire encore, certains qui n’ont rien à voir avec la rébellion seraient entrain de négocier des places à la fonction publique avec ces rebelles. En tout cas l’intégration après la rébellion est un système injuste. L’injustice à la longue mène immanquablement à la révolte. Il est grand temps que les autorités trouvent une formule appropriée dans l’équité pour qu’il n y ait pas de frustration et qu’il n y ait pas de révolte.
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