Rébellion: Mnla et menace contre l’unité nationale

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Le Mnla en patrouille (photo archives)
Le Mnla en patrouille (photo archives)

Au moment où le peuple malien célèbre le 53ème anniversaire de l’accession du pays à l’indépendance, le mouvement rebelle, le Mnla remet la question de l’autodétermination du peuple de l’Azawad. A quand la fin de ce jeu de diversion ?

 
Avec leur engagement à Bamako, d’aller dans le sens d’un Mali Un et Indivisible, les représentants des Mouvements nomades et sédentaires réunis en pré-concertation du 15 au 17 septembre ont donné une lueur d’espoir aux nombreux Maliens qui attendent l’unité retrouvée. Le discours des représentants des groupes armés a été très clairs en réaffirmant leur « attachement au principe de l’intangibilité des frontières tels que consacrés par l’acte constitutif de l’Union Africaine ». Ils se sont dit « soucieux de protéger l’unité nationale et l’intégrité territoriale de la République du Mali, déterminé à assurer un développement socio-économique équitable et équilibré de toutes les régions du Mali dans le respect de la diversité de ses communautés ». Les mêmes déclarations ont été faites après leur rencontre avec le président Ibrahim Boubacar Kéita dont ils ont suivi religieusement le message. Mais quelle ne fut la surprise des Maliens de voir les rebelles réaffirmer leur position antérieure qui est celle de la revendication de l’Azawad. « Le Peuple de l’Azawad, s’appuyant sur la charte des Nations Unies reconnaissant aux peuples le droit à disposer d’eux-mêmes, aspire à son autodétermination », selon une déclaration du Conseil Révolutionnaire du MNLA, à Kidal en date du 19 septembre. Ce après que le porte-parole du Mnla ait déclaré que le Mnla « ne négociera que sur l’autonomie », en réponse à IBK qui soutenait « tout sauf l’autonomie ».

 
Au fond le conseil révolutionnaire du Mnla s’inscrit en faux contre leurs représentants à Bamako, qui n’auraient pas eu mandat à prendre position pour l’unité nationale. Aussi considère-t-il que leurs membres qui étaient à Bamako pour une rencontre avec la Minusma ont outrepassé leur rôle. La rencontre avec le président n’était-elle pas prévue dans l’agenda des représentants des mouvements ? Leur a-t-on forcé la main une fois à Bamako? En tout cas le Conseil central du Mnla a parlé de « démarche particulière » et de « tentative de récupération des acquis du mouvement et du peuple de l’Azawad par l’État malien ». Et l’engagement de représentants du Mnla à Bamako a été considéré comme nul et non avenu. Ceci explique-il les attaques à Kidal à jets de projectiles contre les ministres de la République en mission ? Quand «est-ce que Kidal redeviendra-t-il malien ?

 
 B. Daou

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19 COMMENTAIRES

  1. IBk est une vraie honte, une déception sur toute la ligne.. Liberer 12 criminels du mnla… si le mnla voulait le developpement il n’allait pas saccager le peu d’infrascturctures de cette partie du pays, à l’exception de Kidal..

    Quand j’entends parler de plan de développement accéléré pour les regions du nord,c’est du déjà entendu… depuis AOK et ATT et cela n’a servi à rien…

    Bon Dieu quand est ce que ces gens tarés du gouvernement vont comprendre la mentalité des touareg? Ils viennet de tuer deux gardes à Kidal à la barbe des militaires maliens et etrangers complices

  2. C’est drôle que l’o parle de négociation alors que c’est la seule chose qui a été reprochée à ATT qui a échoué…

  3. Y a rien a faire que d’eliminer le MNLA. Le reste cest des faux detours. Toute initiative de reconciliation dans le Mali actuel est fausse! On ne reconcilie rien entre les traitres aggresseurs et leur victime. Je repete pour ceux qui ont une vision: le Mali est un cabri mort qui n’a plus aucun interet a avoir peur du couteau. Il faut s’affirmer et faire apprendre la leçon dure aux criminels du MNLA sinon on aura manqué une opportunite d’or pour la paix definitive.

  4. Le fait que le MNLA n’est présent qu’à Kidal coincé dans un petit coin de terre, en dit long sur son audience réelle au Nord du Mali. Doit-on perdre notre temps à écouter des voleurs et des imposteurs qui ne peuvent vivre que de crimes et d’indignités?

  5. C’est donc non conscient du mensonge permanent dans lequel ils ont été bercés depuis le début de l’occupation française que les maliens ont fêtés hier l’accession de leur pays à l’indépendance le 22 Septembre 1960.
    Seulement, contrairement aux maliens, tout le monde n’a pas été bercé dans un mensonge permanent. Les azawadiens, qui n’ont jamais pu être pacifiés par la France colonisatrice, n’ont jamais non plus permis que leur histoire soit falsifiée. Ils se rappellent bien que les clefs de leur liberté ne leurs ont plus appartenu depuis le début de la pénétration française à la fin du 19ème siècle.
    Contrairement aux maliens, les azawadiens se souviennent que le 22 Septembre 1960, une colonisation brutale (française) a été remplacé par une autre (malienne).
    C’est donc pour commémorer le début de la colonisation malienne que de nombreuses manifestations ont été organisées dans plusieurs villes de l’Azawad. Les réfugiés azawadiens ont été également au rendez-vous.
    A Kidal, des centaines de personnes en majorité des femmes, piliers de la société Touareg, ont manifesté pour rappeler à qui veut l’entendre que l’Azawad contrairement au Mali ne fête pas son indépendance du 22 Septembre 1960, il fête plutôt le début de la deuxième colonisation de son histoire.

  6. France
    Quand l’ambassadeur du Mali vole ses employés
    Un montage financier hasardeux aurait-il permis au chef de la diplomatie malienne à Paris de détourner l’argent de certains de ses employés ? Les faits semblent le corroborer. Enquête.
    Tout est parti de la lettre de la Banque Malienne de Solidarité (BMS S.A.) en date du 15 avril 2013 adressée à trois employés du Consulat du Mali en France leur expliquant qu’ils sont en retard de plusieurs mensualités sur le remboursement de leurs créances. Ces crédits avaient été contractés pour l’achat des maisons de la Sopromac-Immobilière S.A. sous la garantie de l’ambassadeur du Mali à Paris, Boubacar Sidiki Touré. Dans sa missive, la banque indique : « Veuillez noter que nous allons procéder au déclassement de votre créance dans nos livres et nous n’avons d’autre choix que d’engager les actions de recouvrement, soit à l’amiable ce que nous souhaitons pour éviter des frais de recouvrement forcé ou à défaut, par voie judiciaire avec une majoration de 25% du montant de la créance conformément à la lettre de notification du prêt que vous avez signé » Incompréhension, stupéfaction, incertitude… Les trois agents Ibrahima Katilé (régisseur adjoint), Mme Mariam Tangara (secrétaire) et Salah Dicko (informaticien) n’en revenaient pas. D’autant plus que tous les mois depuis le 28 juillet 2011 leurs salaires sont délestés de 373 euros (254 000 FCFA), sans justificatifs, pour le remboursement des crédits contractés auprès de la BMS S.A.
    Aveu de culpabilité
    En effet, après avoir assuré le versement des premières mensualités à la BMS SA, l’ambassadeur qui retient les prélèvements à la source sur les salaires aurait gardé les sommes par devers lui, soit l’équivalent de 7 000 euros (4, 5 millions de francs CFA) par agents, malgré les divers relances et avertissements de l’institution financière. En déclassant leurs crédits, la banque réclame aux agents concernés le remboursement immédiat de la somme de 25 951 677 FCFA, à défaut la transmission de leurs dossiers aux autorités judicaires.
    Abasourdis par cette situation, les agents consulaires ont demandé à voir l’ambassadeur pour des explications. La rencontre qui a eu lieu le 19 juillet 2013, fut tout sauf cordiale. Boubacar Sidiki Touré qui n’a presque laissé personne parler a tout assumé non sans accuser ses services comptables de n’avoir pas fait le travail. Pour lui, l’argent qui n’a pas été versé à la BMS SA se trouve bel et bien à l’Ambassade, mais dans un compte. Il a promis dès le lendemain de faire un chèque à la banque pour régler définitivement cette affaire qui concerne aussi d’autres agents au niveau de l’Ambassade. Notamment Baya Sylla (chauffeur) et Mme Fatim Diawara (ex-agent consulaire actuellement à l’Unesco). Les sommes détournées seraient de 47 000 euros. Le chef de la diplomatie malienne à Paris ne fera rien malgré sa promesse ferme.
    La situation est restée bloquée. Le 30 août dernier, les agents consulaires ont été obligés de lui rappeler ses propos dans une correspondance dont la teneur est sans équivoque. « Nous venons par la présente lettre, demander la restitution des sommes correspondantes aux échéances retenues sur nos salaires, mais qui n’ont pas été versées à la BMS SA… Suite à notre rencontre du vendredi 19 juillet 2013 à 11h00, heure française, vous nous avez informé de la disponibilité dans vos comptes du montant des échéances en question. Et la responsabilité incomberait à vos services, qui n’ont pas assuré les versements réguliers des sommes retenues pour honorer les contrats de crédit immobilier auprès de la BMS SA », écrivent-ils.
    Selon nos informations, la situation n’est pas aussi simple qu’il y parait. L’ambassadeur serait à couteaux tirés avec son comptable Ibrahima Tandia sur la gestion du compte qui est censé abriter les sommes détournées. L’agent comptable ne comprends pas pourquoi des sommes destinées à la BMS SA dans le cadre de la gestion des crédits privés se sont retrouvés dans les comptes de l’Etat malien. Et pour cette raison il refuse d’apposer sa signature sur tout chèque qui servirait à sortir de l’argent des caisses de l’Etat pour des motifs inavoués.
    Imbroglio financier
    Pour comprendre l’imbroglio financier dans lequel ces agents sont empêtrés, il faut remonter à l’année 2010. Dans la ferveur de la cession des logements sociaux au Mali, les agents consulaires avaient démarché l’ambassadeur Boubacar Sidiki Touré pour en bénéficier. Profitant de l’occasion ce dernier leur a expliqué que les critères d’attribution des logements sociaux sont beaucoup plus contraignants et que par contre il peut les amener des promoteurs immobiliers à des conditions plus avantageuses. C’est ainsi que sans appel d’offres ou autre forme de concurrence des contrats individuels furent signés le 11 octobre 2010 entre la Sopromac-Immobilière-SA et une trentaine d’agents de l’Ambassade et du Consulat. Selon les termes de l’accord, la Sopromac-Immobilière SA s’engage à construire des logements de type F4 à Yirimadio sur des superficies allant de 250 à 300m2 dans un délai de six mois. Les bénéficiaires contractent des prêts immobiliers d’un montant minimum de 17,4 millions de FCFA (26 527 euros) sur dix ans auprès de la BMS SA qui est le partenaire financier. Cependant, ils doivent rembourser plus de 29 millions de FCFA (44 754 euros) dont plus de 10 millions d’intérêts pour la Banque Malienne de Solidarité. Ce montage financier ne tardera pas à être dénoncé par certains agents.
    Selon une correspondance de la BMS SA, les travaux ont commence le 13 avril 2011 et la livraison des logements étaient prévue en septembre de la même année. Premier couac : en octobre 2012 soit seize mois après la date supposée de finition des travaux les clés n’étaient toujours pas remises aux agents. Pis, la Sopromac-Immobilière SA réclame aux bénéficiaires des logements le paiement d’un surplus de 1 360 971 FCFA sous prétexte d’une augmentation de la surface des toilettes qui passe de 2,5 à 3m2. Des fissures et des malfaçons sont observées partout dans les bâtiments par ceux qui les visitent, les bénéficiaires ont le sentiment d’être grugés. Pendant ce temps, les prélèvements sont effectués à la source sur les salaires des agents qui ont demandé en vain des justificatifs à l’ambassadeur.
    Excédés par cette situation, huit agents du Consulat dont Ibrahima Katilé, Mme Sy Kadidia Haidara (secrétaire particulière du consul), Abdoulaye Traoré (chauffeur), Mme Mariam Tangara, Sidy Fofana (huissier), Mamadou Diarra (informaticien), Amadou Soumaoro (guichetier) et Salah Dicko introduisent une requête au tribunal de Kati pour l’annulation de leurs contrats. Après avoir été débouté par le tribunal de Kati (verdict du 14 juin 2013), les requérants ont interjeté appel. Mais cette première action judiciaire a permis aux agents consulaires d’obtenir un compromis avec la Sopromac-Immobilière SA et la BMS SA. Il a été décidé de vendre les maisons et de rembourser ceux qui contestent leurs contrats. Malgré cela, les prélèvements continuent encore sur leurs salaires au niveau de l’Ambassade à l’exception des trois agents qui ont eu leurs sous détournés. Mais qui paiera leur argent volé qui n’est jamais arrivé dans les comptes de la BMS SA ?
    R. Autra, Paris France

  7. Il y a 53 ans, la France, seule puissance qui avait pu coloniser les Touareg et l’Azawad par extension, quittait l’Azawad. Au lieu de remettre les clefs de la nation à ses propriétaires auxquelles elle l’avait brutalement et machiavéliquement arraché, la France créait de toutes pièces un semblant d’état pour continuer son œuvre de colonisation et d’occupation. Ce semblant d’état n’est autre que le Mali d’aujourd’hui. Pour ôter de l’imaginaire des maliens la création de toutes pièces de leur etat, la France a intelligemment choisi comme nom du pays un ancien empire Bambara fondé en 1235 par Soundjata Keïta, un handicapé qui aurait arraché à lui tout seul un baobab.
    Dès lors, le plan machiavélique de la France a marché car pour le commun des maliens, l’Azawad est un territoire que leur aurait légué leur ancêtre Soundjata Keïta, par conséquent, ils ne sauraient accepter qu’une partie de leur héritage leur soit ôter, entendez par là l’indépendance de l’Azawad. Pour améliorer encore plus la qualité de la mélodie mensongère dans laquelle ils sont bercés, la France prévoyant déjà les conflits entre l’Azawad et le Mali, leur a donné comme devise nationale «Un Peuple, Un But, Une Foi».
    De même que les maliens croient dur comme fer que leur ancêtre Soundjata Keïta aurait arraché un baobab à lui tout seul, de même les maliens ne se rendent pas compte que l’Azawad n’a jamais partagé aucune histoire avec leurs empires, royaumes et organisations sociopolitiques. Tout différencie l’Azawad du Mali, absolument tout.

    • On dirait que l’histoire de Soundjata la te pique hein 😆 :mrgreen:. Au lieu de detruire le peu que nous nous avons au Mali, pourquoi ne fais-tu pas comprendre a tes freres egares de faire comme les autres maliens, je veux dire travailler et si ca ne marche pas aller ailleurs. Mais pourquoi detruire nos maigres ressources, le peu qu’on a au Mali et qui a ete majoritairement injecte dans les projets de developpement du nord? Tu es au Niger et a ce que je sache les touaregs y sont plus nombreux qu’au Mali, pourquoi ne demandez-vous pas a vos freres qui ne veulent pas du Mali de vous y rejoindre pour avoir enfin votre etat, comme c’est ton objectif en te lisant, et laisser finalement en paix notre pays?

      C’est par extension que les maliens se referent a Soundjata comme leur ancetre, sinon biologiquement c’est peu probable que meme 10% des maliens soient descendants de Soundjata. Si vous ne voulez pas de cela, de grace laissez-nous notre pays.

      • moi meme vous etes minoritaires a demander votre independance ,nous majoritaire touaregs nous sommes Malien fiers de l,etre 😀 😆 😀 vous etes jaloux de nous et de la multicultures et couleurs du Mali,vous etes libyens ,vous verez le general gamou et des milliers de touaregs et songhoi militaire du nord du Mali en face .de quelle histoire tu nous parle,les noirs ont ete quand jusqu,a devenir Americain et barak obama noir et est l,homme le plus important du monde,27 familles reunient a kidal et 342 libyen ne peuvent demander l,indepance de notre Mali car GHADAFI est mort …..c,est pourquoi nous touaregs fiers d,etre Malien sommes deriere notre general elhadji gamou ,pour liberer Kidal .a bientot on se retrouve a kidal….si vous demander l,indepance de nos terre vous parter en libye ou vous demander l,sazil … 😆 😀

    • ça ne sert à rien de mentir comme tu es entrain de le faire.
      tu parle du Mali de Soundjata ; mais idiot parle aussi du Mali(empire Songhoî)de Sonni Ali Ber de Askia Mohamed ; mais dans l’histoire du Nord Mali tu n’a jamais enten du un pays nommé Azawad ou royaume touaregs; çà n’existe nul part donc votre azamerde est a jété dans l’eau bandes de vauriens

  8. L’armée Malienne n’est pas tout à fait prête. Donnons les un peu de temps encore. Pendant que nous discutons, je crois que nos autorité en profitent pour équiper notre armée! “Qui veut la paix…..”! Je pense que bientôt le MNLA metra de l’eau dans son vin quand ils veront ce qu’ils ont en face……..

  9. Je demande respectueusement aux uns et autres de m’informer sur certains points :
    1- Pourqoi certains en veulent à Blaise ou à la France dans le cadre de l’execution des mandats d’arret quand Bamako reçoi les memes criminels ?
    2- Pourqoi cet acharnement à rendre justice pour les crimes commis au Nord du pays sans vouloir rendre les torturés , les morts des évènements du 22 mars dans leur droit ?
    3- Comment juger AOK , ATT en laissant leur premier Ministre IBK ; Ils ont tous leur part de responsabilité dans la gestion du pays ?
    3- IBK se moque t-il de l’ADVR ?
    4- La justice Africaine oui l’Africain surtout noir !
    Avons nous peur des rebelles pour rejeter la responsabilité sur les citoyens du sud dans le cadre perpétuel des reglements de compte ?

  10. IBK promet d equiper l armee malienne et le metre operationelle avant de prendre le dossier MNLA.. ca va peter a kidal…

  11. Monsieur le Président IBK,
    Demandez au Président Blaise de chasser ces malpropres rebelles de son pays et la guerre au Nord du Mali prendra fin.
    C`est parce qu`ils sont bien nourris et bien entretenus qu`ils veulent s`éterniser au Burkina.
    Si Blaise ne s`exécute pas , il faut créer une opposition armée Burkinabe au Mali .Le moment est propice.

    ce message d,UN INTERVENANT EST CLAIRE ET NET CAR JE CONSTATE QUE BLAISE EST MERCENAIRE ET APPUIS OBSCURANTISTE DE CES REBELLES INDEPENDANTISTES.IBK prend votre responsabilite et tous les maliens vont vous suivre.Moi satan je suis tjous prs a me battre contre les rebelles et la seule solution pour ces rebelles est la reponse par la violence.

  12. “Ceci explique-il les attaques à Kidal à jets de projectiles contre les ministres de la République en mission ? ”

    Et qu’avons-nous fait suite à ce caillassage public du “pouvoir de Bamako”? Le même “pouvoir de Bamako” a courtoisement “invité” les mêmes groupes armés du nord pour “débattre” avec eux de la question dans les salons feutrés de Koulouba! 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

    Souhaitons au moins qu’ils ont apprécié la clim’ et la pause café, et qu’ils ont été reçus avec tous les honneurs!…

    Et là, qu’on ne vienne pas dire que c’est la Minusma ou Serval qui a mené le bal! 👿 👿 👿 👿 C’est bien nous!

    • @NFP , chaque chose en son temps . Nous continuerons à les recevoir dans les salons feutrés de koulouba si c’est cela le prix de la paix . Cela ne veut pas pourtant dire que nous-nous mettions en position de faiblesse , au contraire nous prenons la communauté nationale et internationale de notre volonté de résoudre le problème par des voies pacifiques . Et cela ne fera que nous mettre en position de force à la fois vis-à-vis de la communauté internationale et des bandits armés qui soufflent à la fois le chaud et le froid .

      • Aliouc9

        Peut-être as-tu raison… Mais je n’ai aucune foi en une résolution de type pacifique avec des types qui eux, ne connaissent depuis des décennies que le langage des armes!

        Mais souhaitons que tu ais raison! 😉 😉

  13. Monsieur le Président IBK,
    Demandez au Président Blaise de chasser ces malpropres rebelles de son pays et la guerre au Nord du Mali prendra fin.
    C`est parce qu`ils sont bien nourris et bien entretenus qu`ils veulent s`éterniser au Burkina.
    Si Blaise ne s`exécute pas , il faut créer une opposition armée Burkinabe au Mali . Le moment est propice.

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