Au Sahel, les vues et les visées des puissances ne sont pas identiques même s’il leur arrive de se rencontrer. Les évaluations qui sont faites en Franceprésentent la situation au Sahel comme une menace directe et urgente. Il serait incompréhensible de laisser le «Sahel en déshérence», a déclarérécemment le chef d’état-major de l’armée de terre, le général Bertrand Ract-Madoux.
La dégradation de la situation dans une zone d’influence traditionnelle pousse à l’interventionnisme même si on martèle que la France ne «sera pas en première ligne». La question est donc qui ira au charbon ? Elle se pose malgré la disponibilité théorique apparente – mais encore non effective – des 3.300 soldats de la Cédéao. Cela signifie, sans faire des grosses tournures de phrases, qu’on ne croit pas vraiment à leur capacité à «traiter» le problème qui se pose au nord du Mali. Il faudrait des soldats autrement plus motivés, des Maliens par exemple ayant le sentiment qu’ils accomplissent un devoir national pour le faire. Mais cette option raisonnable ne peut être mise en œuvre rapidement. Elle suppose une patiente reconstruction de l’armée malienne et un travail ardu de réconciliation avec les rébellions du Nord afin de les impliquer dans la reprise en main du Nord. La «reconquête» du nord du Mali n’aurait pas de sens sans cette implication des Maliens du Nord.
Il y a donc, même dans l’optique d’une action militaire au Nord, des conditions politiques préalables à réunir. Et il est évident que cela ne se fera pas du jour au lendemain. Cela prendra du temps, plusieurs mois dans le cas où le processus de dialogue politique inter-malien est vraiment engagé. Cela n’est pas le cas actuellement. Les pays de la Cédéao et une partie des politiciens maliens se sont mis dans «l’urgence» française. Ils concèdent à l’idée de discuter avec le MNLA – au fond parce qu’il ne pèse presque plus rien – et refusent de le faire avec Ançar Eddine. Or, si rien n’est fait pour amener Ançar Eddine sur un terrain politique et à le pousser, y compris en lui faisant comprendre qu’il a beaucoup à perdre, une intervention militaire sera problématique. Et c’est bien parce qu’elle est hasardeuse qu’il y a de la «friction» entre Paris et Alger.
LE REFUS DE L’ALGERIE DE S’ENGAGER MILITAIREMENT AU NORD DU MALI – ET LA MAURITANIE SEMBLE PARTAGER SES FORTES RESERVES – CREE UNE SITUATION SIMPLE. L’ARMEE MALIENNE MEME SOUTENUE AVEC LES 3.300 HOMMES VIRTUELS DE LA CEDEAO N’EST PAS EN MESURE DE «TRAITER» LE SUJET. IL REVIENDRA DONC A L’ARMEE FRANÇAISE DE SE RETROUVER «EN PREMIERE LIGNE» MALGRE LES DENEGATIONS OFFICIELLES. LES AMERICAINS QUI PARAIT-IL ENVISAGENT, AU PLAN THEORIQUE, LA POSSIBILITE D’INTERVENIR UNILATERALEMENT AU NORD DU MALI, N’ONT PAS PEU CONTRIBUE A L’EMBARRAS DE LA FRANCE. ILS NE SONT PAS CONTRE UNE RECHERCHE D’UNE SOLUTION POLITIQUE ET CE N’EST PAS EUX QUI TROUVERONT DES REMONTRANCES A FAIRE AUX ALGERIENS S’ILS DISCUTENT AVEC ANÇAR EDDINE. ILS NE SONT PAS NON PLUS CONTRE UNE INTERVENTION MILITAIRE QUI FINIRA PAR AVOIR LIEU «A UN MOMENT OU A UN AUTRE». MAIS ILS NE SONT PAS PRESSES. PARIS DEVRA SE FAIRE UNE RAISON OU ACCEPTER, AVEC LES RISQUES QUE CELA COMPORTE, D’ALLER AU CHARBON.
par M. Saadoune
Le Quotidien d’Oran, Algérie, édition du 3 octobre 2012
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Je me dis que le pays est en guerre ces choses peuvent et doivent attendre,il nous faut finir les deux missions du gouvernement: libérer le Nord du pays et faire des élections limpides,le reste en cette période va nous diviser.C’est au pouvoir qui va être légitime de nous régler ce problème.Le ministre actuel doit seulement garder le ministère faire éventuellement des recommandations au ministre qui sera là quand le gouvernement légitime sera en place.Pour le moment je pense que l’assemblée nationale doit déclarer après être consulter l’état d’urgence,pour que le Mali puisse entré en guerre,sinon la vie normale que le pays cherche à vivre nous maintient dans une situation de ni guerre ni paix.Voilà ce que je crois.beffodougou@gmail.com
L’Algérie se prend pour le centre du monde. Ce pays a la mémoire courte. Advienne que pourra, nous allons faire cette guerre et la gagner. Je suggère que le Mali revoit sa coopération dans les domaines avec ce pays. Pourquoi ne pas privélégier notre coopération avec le Maroc au dépend de l’Algérie. BOYCOTTER AVEC L’ALGERIE.
sale journaleux algerien vos generaux sont a la base de tout ce qui se passent au nord du mali …tot ou tard le mali renvoyera tout ces colis encombrant vers alger inchalla…..les generaux algerien sont plus corrompus que les generaux birmane…tous des fils de pute anti democratique….
1. NUIRE POUR SE FAIRE ENTENDRE ET OBTENIR AINSI UN POSTE, DE L’ARGENT ET QUE SAIS-JE ENCORE. IL N’Y A AU FONDS AUCUNE DIFFÉRENCIE ENTRE UN HAMEY, un MARIKO, UN CNDERRIERE, LE MNLA, ANE SARDINE, BOKO HARAM, MUJAO. RIEN QUE DES DIFFÉRENCES DE NOM OU DE FORME.
2. La triste réalité est que notre sort est désormais aux NU qui prend tout son temps temps pour financer notre guerre. Les USA semblent se moquer pour le moment de nos coups de fouets, viols, profanations et autres assassinats. Mais ils doivent sûrement craindre un autre 11 septembre. Quant à nous, nous n’avons rien. Nous ne pouvons rien.
La crise du Mali est comme un système de 3 équations à 3 inconnues et heureusement au 1 er degré que seuls les mathématiciens doués et les fins stratèges peuvent résoudre:
MALI :
(x)= Booter les islamistes et alliés
(y) =Résoudre la crise politique
(z)= répondre aux indépendantistes
PAYS DU CHAMP :
(x) éviter une explosion ou une entrée des islamistes du mali chez eux,
(y) préserver les intérêts stratégiques de leurs nations
(z) défendre les intérêts de leurs partenaires
LE RESTE DU MONDE:
(x) préserver les intérêts géostratégiques
(y) se défendre contre l’avancée du terrorisme et de l’extrémisme religieux
(z) défendre les intérêts des minorités exclues du système de distribution des revenus nationaux
Aujourd’hui avec la cohabitation et le concours du trio Dioncounda, PM et Sanogo je regrette qu’ils prennent tout ce temps à nous faire apparaitre un résultat pour ce système d’équation assez simple que même les élèves du prytanée militaire doivent résoudre sans difficultés.
Je suis surpris que le matheux, l’astrophysicien et le stratège en recul tactique ne donnent pas la solution.
Qu’ils retournent à leur école respective sinon la donne risque de se compliquer avec le HCI (x), les politiques(y) et le front social(z)
Merci aux bonnes volontés d’apporter leur concours à la résolution de ce système d’équation
coco=blanche neige= sanene ba kulé fa kulé den kulé itakou bakou ❓ 😆
adam sacko a raison unissone nous et chassons ces bandits de grands chemin de notre territoire.
je dis tout simplememt aux maliens de nous ressaisir.sortons de l arrogance et de l ignorance.l heure n est pas a l improvision mais a autre chose.unissons nous c est le secret de la solution de nos problemes.le mônde entier nous faisait confiance.travaillons pourque plus jamais ça au mali. Que Dieu sauve le mali
Comme la France de Sarko a fait le champion en mettant la merde en Lybie et consequemment dans le Sahel, celle du président normal va normaliser les choses en allant au charbon
VOUS FAITES VOTRE TRAVAIL EN ESSAYANT DE SABOTER TOUTE INTERVENTION DANS LE NORD DU MALI. VOUS DEFENDEZ L’INTERET DE VOTRE PAYS, CAR CHASSES DE CHEZ NOUS, LES TERRORISTES RETOURNERONT CHEZ EUX. OU??? EN ALGERIE.
NOTRE INTERET A NOUS MALIENS, C’EST DE REUNIR TOUTES LES BONNES VOLONTES DU MONDE, TOUS CEUX QUI VEULENET NOUS AIDER A NOUS DEBARASSER DE VOTRE CANCER.
ET DE GRACES, LAISSSER NOUS NOUS OCCUPER DE NOS “REBELLIONS” Mr. Saadoune, de la maniere dont elles doivent etre “traiter”.
Haaaaaaaaaa merci mon frère. j’avis la même pensée
il faut raser tout les salafiste careùment
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