On pouvait croire que la solution allait venir de la multiplication des forces, mais c’est là que le bât blesse avec l’absence d’opérations conjointes de la Minusma, de Barkhane, des FAMa, voire des groupes armés signataires de l’accord pour la paix. C’est du moins l’analyse de Didier Dakouo (à ne pas confondre avec le général de division Didier Dakouo, commandant de la Force conjointe du G5-Sahel).
En dehors des réunions de coordinations entre les états-majors de la Minusma, Barkhane et FAMa, les trois forces, selon le spécialiste dans une tribune dont la presse s’est fait l’écho, ne mènent pas d’interventions courantes conjointes sur le terrain, diversité de mandat oblige.
Il lève le voile sur les interventions de la force onusienne au Mali. La Minusma, dit-il, s’accroche à son mandat de protection de civils et d’accompagnement du processus politique. Quid de Barkhane avec quelques milliers d’hommes qui prétend lutter contre le terrorisme dans le Sahel ?
Pour M. Dakouo, le Mali n’est pas la seule priorité de Barkhane alors que les FAMa jouent plusieurs rôles (protection des civils contre les violences, lutte contre le terrorisme et gestion des conséquences dégénératives des conflits intercommunautaires en cas de besoin).
Selon M. Dakouo, tout compte fait, l’incohérence des forces en présence au nord est la cause de la situation de ni paix ni guerre. Autrement dit, le bout du tunnel n’est pas pour demain.
DAK
On s’en fout de l’auteur de l’analyse. Il est clair que depuis le début de cette sale guerre, les choses n’ont pas été bien précisées. C’est la France la première, qui nous fait un bébé dans le dos, en allant pactiser avec les rebelles. Sa mission n’était pas de s’unir avec les rebelles, elle était au Mali pour aider à combattre l’invasion djihadiste, pas pour protéger des enfoirés de Touaregs qui se sont soulevés contre l’autorité centrale légale. Les Français devaient les tenir loin d’eux, en attendant que reprennent les négociations. La Minusma, si elle avait pour mission la sécurité des populations, avait également celle d’empêcher les libres déplacements de rebelles dans certaines zones bien précises. Ces forces étrangères devaient aider les Famas à se repositionner et à se cantonner à Kidal comme initialement prévu par les accords de Ouagadougou. Puisque nous avons un gouvernement de pédés et de cancres, aucune voix ne s’est élevée pour protester contre les agissements des Français qui ont outrepassé leur mission. Ce sont les deux facteurs, c’est à dire l’alliance avec les rebelles et l’éloignement des Famas des informations qu’ils détiennent, qui ont contribuer à l’aggravation de la situation au nord. Ni Barkhane, ni la Minusma ne jouent franc jeu avec le Mali. Les derniers affrontements entre la CMA et le Gatia ont été révélateurs de la combine des Français. Ils ont laissé des djihadistes foncer en direction de Kidal, pour venir en aide à la CMA en difficulté, alors qu’ils pouvaient les stopper puisque c’était l’objet de leur présence sur le terrain, mais ils ont fermé les yeux, et le tout, après avoir soulagé le Gatia de ses armes lourdes. Aucune protestation n’est venue de Bamako. Les djihadistes ont accompagné les CMA jusqu’à Ménaka, au nez et à la barbe de Barkhane. Que Barkhane nous dise s’il est au Mali pour défendre les rebelles ou pour des intérêts inavoués. La Minusma elle, n’est composée que de pédés qui comme les Famas sous-équipés, se font buter chaque matin comme des pigeons par les djihadistes. Il est grand temps que les états majors des trois corps mutualisent leurs forces et unifient les mission, afin que les choses se passent dans la transparence la plus totale, même si la Minusma a une partie d’humanitaire dans son agenda. Malheureusement, le Mali n’a pas de dirigeants responsables ayant des couilles. Même le minable Président a peur de frustrer les Français, alors que ceux-ci nous niquent chaque jour au profit des enfants de putes de rebelles. Le Mali ne doit plus accepter cette confusion entretenue par les Français. Barkhane n’est pas Serval. S’il est établi que Serval avait utilisé les rebelles pour la traque des fondamentalistes, ce n’est pas le cas de Barkhane. Cette force, en attendant la mise en place de celles du G5 devra contribuer à mieux sécuriser le nord en le débarrassant de tous les bandits qui y circulent en toute quiétude. Les trafiquants de drogue, les rebelles, les djihadistes et les bandits de tout acabit devraient être combattus dans les règles militaires normales définies dans leur cahier de charge. Les Français sont seuls à disposer de drones, mais ils ne partagent pas l’information avec les Famas, pourquoi? Dès lors, l’incapable Président doit avoir comme priorité, l’achat de drones d’écoutes, de surveillance et de frappe. D’hélicoptères d’attaque et de transport de troupes. D’avions de chasse et de surveillance. Mais le connard au lieu de cela, va chercher des vieux appareils d’occasion n’ayant aucune utilité dans la situation présente, et il a le culot de réunir le tout Bamako pour célébrer la livraison de ces vielles carcasses. Seule la Russie a livré deux bons appareils bien que d’occasion. IBK n’est pas sérieux, cet homme est un véritable enfoiré. Au lieu d’assigner les prédateurs du budget de la défense pour mieux équiper l’armée, il accepte cet argent détourné pour le financement de sa campagne. Qu’allez-vous comprendre dans cette affaire? Tant que IBK restera à la tête de ce pays, la situation ira de mal en pire, ça c’est certain. L’homme a menti aux Maliens. Il avait été élu pour dit-il enrayer l’insécurité, la pauvreté, la misère, l’analphabétisme et les autres maux qui minaient le pays. A l’arrivée, il s’est avéré n’être qu’un vulgaire voleur, un corrompu, un incapable, un inconscient et un insouciant de la pire espèce. Cet homme a mis le pays par terre et aspire encore à un second mandat. Si IBK, par la fraude essaye de se maintenir au pouvoir, il entraînera le pays dans une violence plus morbide que celle que vivent en ce moment les populations. La majorité de Maliens prie pour le départ de IBK du pouvoir. Il déçu leurs attentes, il a tout simplement tué l’espoir. Le Nord est hors de portée, le Sud est impraticable et le Centre inaccessible aux autorités et aux forces de sécurité. Qui donc pour voler au secours de ces populations abandonnées aux mains des djihadistes, et autres bandits de tout acabit. Ce n’est pas tant que l’état est absent de ces zones, il a cessé de penser à eux, ou du moins, ne les comptent plus parmi les Maliens. Aucune campagne électorale ne saurait s’y tenir. Et dire que cette vieille corrompue de Manaîssa voulait divertir les Maliens en niant perfidement l’existence d’occupants de cette partie du Mali!!! Que ne fera pas IBK pour arriver à ses fins. Pervertir une si brave Dame comme Manaîssa relève de quelqu’un qui est guidé par l’esprit du diable, et IBK est le diable en personne cet enfoiré. On verra bien à quoi serviraient ses deux avions d’occasion mutés à l’armée.
L occupation est un dragon a plusieures tetes(soufflant chaud et froid)!
“Didier Dakouo (à ne pas confondre avec le général de division Didier Dakouo, commandant de la Force conjointe du G5-Sahel).”
LE CONTRAIRE M’AURAIT ETONNE, NON PAS PARCE QUE GENERAL N’A PAS CETTE CAPACITE D’ANALYSE, (AU CONTRAIRE, PUISQU’IL A ETE CHOISIT COMME cem DE LA FORCE CONJOINTE), MAIS PARCE QU’UN MILITAIRE EN ACTIVITE NE PEUT PAS ECRIRE UNE TRIBINE LIBRE ET NE PEUT DONNER SON OPINION SANS L’AVAL DE SON OU SES SUPERIEURS…
Mais, mais, mais DAK l’incohérence des forces en présence, doit être gérée par les chefferies en présence en faisant de propositions concrètes à ces chefferies afin de les convaincre d’être ensemble est la seule condition d’une victoire certaine.
Merci de nous avoir édifié sur l’auteur de l’analyse.
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