« Pour moi, le mouvement démocratique a atteint ses limites. Il est même mort. Il faut applaudir à sa mort. Je vois des gens dire que le mouvement démocratique doit se retrouver. Je prie Dieu qu’il ne se retrouve jamais. Parce que s’il se retrouve, tel que les gens se sont comportés, ce n’est pas pour le bonheur du Mali. Je prie Dieu pour qu’il y ait un mouvement révolutionnaire qui se mette en place et qui puisse mettre fin à la troisième république de la démocratie et engager le Mali vers une 4ème république avec des vertus basées sur le collectivisme, la reconnaissance du mérite et la sanction de la faute.» L’auteur de ces propos publiés par notre confrère ‘’Le Pouce’’ du vendredi 5 février 2016 n’est autre que l’honorable Oumar Mariko, Président de la SADI, ancien leader estudiantin, acteur des événements de mars 1991 qui ont abouti à la chute du Général Moussa TRAORE. En parlant ainsi, l’honorable Mariko, connu pour n’avoir pas la langue dans sa poche, jette un pavé dans la marre des mouvements démocratiques avec qui il n’a pas été tendre.
L’échec des démocrates sincères et des patriotes convaincus à mettre le pays sur les rails du progrès dont les fruits devaient bénéficier à tous les citoyens, a conduit les nostalgiques à regretter les années de plombs du Comité National de Libération du Mali (CNLM) et l’Union Démocratique du Peuple Malien (UDPM) de Moussa TRAORE. Le dictateur dont les 23 ans de règne ont détruit les fondements de la jeune République, est aujourd’hui plus aimé que ses tombeurs, placés devant le tribunal de leur propre conscience mais aussi celui de l’histoire. L’Etat dans lequel se trouve le pays est suffisamment révélateur de cet échec de la classe politique dans son ensemble qui porte l’entière responsabilité de la tragédie nationale avec son corollaire de honte et d’humiliation.
En 2009, soit trois ans avant les événements tragiques de mars 2012, votre bi-hebdomadaire préféré “Le Challenger” avait posé à Mme Sy Kadiatou Sow, figure emblématique de la lutte pour l’avènement d’un Mali démocratique, cette question : « Aujourd’hui, il y a des gens, qui se disent déçus par le comportement de beaucoup d’acteurs du 26 mars 91, en prédisant une autre révolution. Que pensez-vous de cela ? ». Mme Sy a répondu que « Chacun a la liberté de penser ce qu’il veut. S’il y a des gens qui pensent un autre 26 mars, ce 26 mars va se faire contre qui et contre quoi. C’est cela la question. En tout cas, je ne suis pas en train de préparer un autre 26 mars parce que moi, j’avance. Je ne suis pas seule. On considère ce qu’on a fait pour le 26 mars comme des des erreurs, des faiblesses. On avance. On est dans cet état d’esprit. Mais on ne peut pas avancer si acquis. Et on travaille pour consolider les acquis. On corrige ce que les gens considèrent comme les principaux acteurs du Mouvement démocratique ne se retrouvent pas et ne disent pas que la mission n’est pas terminée. C’est juste ça. Il peut y avoir une autre révolution mais elle ne sera jamais comme le 26 mars 91 ».
Pr Issa N’Diaye, homme politique et philosophe, dans une contribution intitulée “Faut-il désespérer du Mali d’IBK’’ parue sur le site de Médiapart en mai 2014, a déclaré qu’il « est illusoire de croire que le Mali est dans une situation pré révolutionnaire même si les conditions objectives semblent favorables. Les conditions subjectives sont loin d’être réunies. L’état de préparation politique, idéologique et organisationnel est plus qu’insuffisant. Le risque d’agitations sociales incontrôlées nous conduira certainement vers un autre coup d’État. Or l’histoire nous montre largement que les coups d’État ne sont pas une solution. Ils finissent par se retourner toujours contre les forces sociales qui les ont soutenus ».
Selon un penseur, « les philosophes préparent la révolution, les fous l’exécutent et les lâches prennent le pouvoir ».
Chiaka Doumbia
Nous avons besoin d'un Mali apaisé et non d'une révolution.Ce propos est vraiment lamentable.Que Dieu assiste le Mali dans le combat démocratique.Amen!
Nous avons besoin d'un Mali apaisé et non d'une révolution.Ce propos est vraiment lamentable.Que Dieu assiste le Mali dans le combat démocratique.Amen!
OUMAR A RAISON. LE MALI A URGEMMENT BESOIN DUN MOUVEMENT POPULAIRE A LA BURKINABE.
SI LES MINISTRES CONTINUENT A VIOLER GRIEVEMENT LA LOI COMME CELLE DE LA SANTE MARIE MADELEINE TOGO EN NOMMANT UN SEGAL QUI EST EN CONGE DE FORMATION ET QUI FUT UN ENNEMI JURE DE SON MENTOR IBK PDT LA CAMPAGNE.
Je constate que kassim fait partie des éléments qui ont participé activement à l’avènement du 26mars.
Pourquoi ces acteurs dit du mouvement démocratique ont ils accepté de s’asseoir sur le même band de gouvernement ceux qu’ils ont combattu hier?
Accepter de travailler avec certaines personnes sans qu’elles ne demandent le pardon du peuple malien a été l’heure fatale qu’a commis certains membres du mouvement démocratique.
Le peuple ne voyait plus la différence entre les deux composantes.Tous contribuant à sucer le sang du peuple.
QU’ALLAH SAUVE LE MALI!
Le mouvement démocratique a pour l’essentiel de ses membres été une déception et la plupart des politiciens issus des formations politiques post 26 mars ont été des voleurs et des incompétents notoires.
Mais attention, ce n’est pas le mouvement démocratique de mars 1991 qui dirige aujourd’hui le Mali et ce n’est pas ses membres qui nous volent nos milliards aujourd’hui par camions entiers.
L’ibk le chef des gangs des voleurs de nos milliards n’est pas du mouvement démocratique c’est un opportuniste copté par Alpha Oumar Konaré comme conseiller à Koulouba puis ambassadeur en côte d’ivoire avant de devenir ministre des affaires étrangères, premier ministre et chef des partis ADEMA PASJ et puis RPM après s’être fait éjecté de l’Adema.
Même Alpha Oumar n’était pas leader de l’Adema quand il combattait le régime de Moussa Traoré, c’est à la suite de la mort du leader que Alpha à émergé.
Choguel Kokala Maïga, est du MPR et s’est toujours réclamé de l’UDPM et était contre le mouvement démocratique de mars 1991 et aujourd’hui il est ministre de communication porte parole du gouvernement et voit le “soleil” “apparaître” quand le voleur IBK part à Paris.
Le premier ministre Modibo Keita et ses ministres pour leur quasi totalité ne sont pas du mouvement démocratique de mars 1991 à part Mountaga Tall qui a vaillamment combattu le régime inutile de Moussa Traoré avant de créer le CNID association et il était au parti CNID Faso Yiriwa Ton avec Oumar Mariko (qui a créé après le parti SADI), Tiebilé Dramé et Hamidou Diabaté (qui sont partis ensuite créé le PARENA).
Les voleurs de l’ère IBK comme Fily Bouaré, Ben Barka, Igor, Djimé Diallo, Baby, Boubou Cissé, Camara, Diawara des mines, Blaise Sangaré, Kassoum Tapo, etc en plus d’ibk même n’ont jamais été du mouvement démocratique du Mali.
Ce sont des opportunistes qui ne faisaient même pas de la politique du temps de l’udpm de Moussa Traoré au mieux ils étaient dans l’UNJM (union nationale des jeunes du Mali) ou leurs femmes étaient dans l’UNFM (union nationale des femmes du Mali).
Donc ce n’est pas le mouvement démocratique de mars 1991 qui est le problème aujourd’hui du Mali.
Le problème d’aujourd’hui du Mali c’est qu’une nouvelle race de voleurs, vole nos milliards par centaines et a déjà voler 300 milliards en 2 petites années de pouvoirs à Koulouba.
Avec ces 300 milliards on aurait pu acheter des hélicoptères de combat et avions de reconnaissance et de transport de troupes pour l’armée malienne et être plus outillé pour combattre les terroristes du nord et les voyous de la CMA.
Mais IBK préfère nous voler les milliards et laisser l’armée malienne sans moyen de surveillance aérienne et c’est pourquoi nos soldats tombent dans des embuscades chaque jour au nord de notre pays et chaque jour ce sont des morts de soldats maliens qu’on observe au nord de notre pays.
Non seulement IBK n’équipe pas les soldats de notre armée mais aussi il les fait croire qu’il y a la paix maintenant au Mali avec un accord de paix bidon dont il a fait signer le 15 mai et le 20 juin 2015 à Bamako.
Le problème du Mali vient de la, on n’a pas une armée qui peut combattre et rien n’est fait pour équiper cette armée et l’argent qui devrait nous permettre de le faire est voler par la coalition voleuse “Ma famille D’abord”.
Aucun membre de cette famille n’a combattu le régime inutile de Moussa Traoré en 1991 et aucun de ces voleurs de milliards n’a fait partie du mouvement démocratique de mars 1991.
Si Oumar Mariko, le fou qui voulait nous imposé l’idiot capitaine Sanogo et sa soldatesque ivrogne de Kati, vient nous parler de mouvement démocratique alors qu’il appartient à la même majorité politique que les voleurs de la coalition “Ma famille d’abord”, ce qu’il fait diversion et essaie de se faire voir car il a échoué de devenir premier ministre du Mali en apportant son soutien sans faille aux soldats fuyards des combats et pilleurs à Bamako en mars 2012, c’est à dire, Sano De Gaulles et ses spadassins drogués de Kati.
Même Soumaila Cissé, l’opposant aujourd’hui d’ibk, qui déjà volé des milliards à la Cmdt, à l’Aci, au ministère des finances et au ministre des équipements du Mali n’a jamais été du mouvement démocratique du Mali.
Il était dans le clan Cmdt et était un protégé de Dr Boubacar Sada Sy, le frère de Ousmane Sy mari de Mme Sy Kadiatou Sow ancienne gouverneur et ministre de l’urbanisme aujourd’hui représentante du mouvement démocratique du Mali.
Donc qu’Oumar Mariko nous laisse tranquille sinon nous allons lui dire comment on lui a contraint de quitter le CTSP (comité transitoire pour le salut du peuple après la chute de Moussa Traoré) quand il était leader de l’Aeem en 1991.
Nous avons été devant les soldats et les BRDM de Moussa Traoré les lundi 21 et mardi 22 janvier 1991 et les vendredi 22, samedi 23, et lundi 25 mars 1991 à Bamako et nous savons exactement qui combattait Moussa Traoré et qui le combattait pas ces jours là.
J’en ai marre des menteurs et des voleurs de ce pays!
Allah bonnima!
Salute
Merci KASSIN pour cette autre analyse sans complaisance ni passion.
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