Dans l’assassinat des journalistes de RFI, la piste algérienne revient avec insistance. Le site “Le Monde Afrique” a fait remarquer que le dossier judiciaire des deux journalistes assassinés au Mali a commencé à livrer quelques pistes troublantes qui mèneraient, pour certaines, vers les services algériens du célèbre général Toufik.
Dans une enquête, les investigations judiciaires ont permis de cibler six suspects. Qu’il s’agisse des quatre membres du commando ayant enlevé et exécuté les deux Français en reportage à Kidal ou des deux possibles commanditaires. Le premier commanditaire serait Abdelkrim le Touareg, un émir lié à Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi), “neutralisé” depuis par la DGSE, c’est-à-dire abattu par un commando ou un drone. Le second serait le patron d’Ançar Eddine, Iyad Ag Ghaly, le supérieur d’Abdelkrim le Touareg.
Il s’est avéré que le fondateur d’Ançar Eddine, Iyad Ag Ghaly, mis en cause dans l’assassinat des deux journalistes, a toujours été en contact étroit avec les services algériens. Au point qu’il semble bien, d’après des sources sérieuses, que ce chef terroriste a pu échapper aux forces françaises en 2013 grâce à une intervention d’Alger auprès de Paris, un épisode dont personne ne parle volontiers.
Pour mémoire, en 2014 alors qu’elle avait Iyad Ag Ghaly, chef du mouvement djihadiste malien Ançar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre l’avis d’Alger avant d’agir, plutôt que de le “neutraliser” ou de le “capturer vivant”.
De là l’hypothèse, non confirmée à ce jour, que l’assassinat des deux journalistes aurait pu être un message clair des services algériens à Paris sur la présence peu souhaitée des Français au nord du Mali.
DAK
De toutes les façons les faux jeux des deux pays les tomberaient sur la tête, car on ne se lie pas à un malfaiteur et faire du succès sur le dos des innocents; tôt ou tard les conséquences rattraperons les complices que sont la France et l’Algérie. Comment peut-on mener sa sécurité sur le dos des innocents? C’est dommage et très dommage de la part de ces deux pays irresponsables, inconscients et insouciants pour l’avenir de la sous région. Couvrir un bandit de grand chemin au nom de la paix est un comportement éhonté et indigne de la part de ces deux pays dont l’histoire du monde jugerait sans pardon et sans équivoque. Nous restions sidérés face à ce comportement de ces deux pays qui sont les réels bourreaux de ce qui se passe actuellement au Sahel, car ils jouent à deux visages face au monde qui les entoure. Mais qu’ils sachent que chaque bêtise a une fin et la fin de cette bêtise de couvrir un bandit de grand chemin est dans sa phase terminale.
Que le MALI soit placé au centre du débat est plus bénéfique à l’instauration de la sécurité que la focalisation sur l’assassinat des deux journalistes.
Plusieurs milliers de maliens sont morts par la présence des jihadistes sur notre sol et continuent de mourir presque quotidiennement.
Les deux journalistes font partie du lot.Des victimes du terrorisme autant que des milliers de maliens.
COMMENT METTRE FIN AU TERRORISME DOIT ÊTRE NOTRE PRÉOCCUPATION CAR ÇA SEMBLE PAS ÊTRE CELLE NI DE LA FRANCE,NI DE L’ALGÉRIE.
Que les maliens prennent en main leurs destins est la seule solution à la lutte contre le terrorisme.
La France et l’Algérie défendent leurs intérêts sur notre sol.
Leurs dirigeants se préoccupent des intérêts de leurs pays respectifs pendant que les nôtres pensent à leurs intérêts personnels .
Le MALI n’est pas défendu,il a été laissé entre les mains de la France qui réfléchit et élabore les décisions en fonction de ses intérêts.
Les autorités algériennes ont compris que le MALI n’est pas à côté d’eux ,mais la France.
SE SERVIR DES GROUPES TERRORISTES POUR DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DE SON PAYS TOUTES LES GRANDES PUISSANCES LE FONT,SANS EXCEPTION.
Que l’Algérie le fasse est tout à fait dans la normalité.
Les États-Unis ont travaillé avec BEN LADEN en Afghanistan contre l’URSS avant qu’ il ne se retourne contre eux .
La France travaille avec AL NOSTRA en Syrie,avec certains en Libye.
C’est au Mali de prendre en main son destin.
LES ÉTATS N’ONT PAS D’AMIS,MAIS DES INTÉRÊTS.
Le président qu’on pense être élu alors qu’ il s’est imposé aux maliens depuis 2013 n’a jamais incarné sa fonction,il est toujours resté le chef d’un CLAN.
Il défend les intérêts de ce CLAN,c’est pourquoi il est inféodé à la France.
La France s’est substituée à L’ÉTAT malien car son président n’a pas voulu défendre son pays.
Ce qui gêne la France,ce sont les résistances qui se mènent dans la société malienne notamment certains partis politiques,associations,même au niveau de l’assemblée nationale où certains pourtant de la majorité présidentielle ont amendé les parties du projet de la constitution qui faisaient respecter l’accord d’Alger constatant que c’est contre l’intérêt du MALI.
L’Algérie défend ses intérêts,la France de même,le MALI n’existe pas.
OSER LUTTER ,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue .
Où est la réponse des algériens ?
Comme Arnaud Montebourg qui n’est pas 100% Made in France mais fils Leïla Ould Cadi, née à Oran en 1939, universitaire, professeure d’espagnol et essayiste, issue par son père, Khermiche Ould Cadi, d’une famille arabe de walis d’Algérie…
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