En un mot : Tréta in extremis

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Dramane Aliou Koné
Dramane Aliou Koné

Le parti présidentiel a réussi à sauver son secrétaire général, empêtré dans le scandale de “l’engrais frelaté”. Bocary Tréta l’a échappé bel, notamment avec le soutien du Premier ministre, qui a adhéré aux arguments de barons du RPM sur les conséquences sur le parti du départ du ministre de Développement rural à 2 mois de cruciales élections municipales et régionales déterminantes pour le contrôle des régions et le maillage du pays.

Mais ce maintien in extremis de Tréta est quand même conditionné à des sanctions qui pourraient se traduire par sa dégringolade dans la préséance gouvernementale et surtout par la perte de son département stratégique en termes politiques et financiers.

Il se dit que l’homme fort du RPM, présenté par ses détracteurs comme un être hautain et surtout en froid avec beaucoup de proches du chef de l’Etat, sera rétrogradé ministre de l’Elevage et de la Pêche ou du Développement industriel, voire de l’Artisanat tout court.

Comme pour dire que même s’il a réussi à sauver sa tête contrairement à d’autres débarqués du gouvernement pour avoir été cités dans des scandales, Tréta sort affaibli de cette affaire et devient un cadre comme un autre dans le parti présidentiel au sein duquel sa petite déchéance pourrait aiguiser les appétits des uns et d’autres qui seraient tentés de l’affronter.

DAK  

 

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104 COMMENTAIRES

  1. Le président dans est en train de faire tout son possible pour éclaircir les choses, punir les coupables, lyncher le nom des innocents

  2. Je pense que si la justice cherche a sauvé Tréta peut être qu’il n’est pas coupable de tous ce dont on l’accuse

  3. Je fais confiance à IBK et sa façon de gérer les choses. S’il trouve que Tréta doit rester à son poste alors je respecte cette décision et les autres doivent faire pareil.

  4. Sans citer aucune personne, tous les responsables de l’affaire des engrais frelatés vont répondre de leurs actes. La commission en charge n’a pas encore dit ses derniers mots. C’est elle qu’on attend pour connaître les responsables. 😛 😛 😛

  5. Que Tréta reste n’est pas un problème mais qu’il sache que des gens comptent sur lui pour la réussite du mandat d’IBK. Qu’il fasse tout pour éviter un autre scandale faisant référence à lui.

  6. Tous les responsables des malversations seront punis conformément à l’esprit de la loi. Le parti RPM ne peut rien pour faire revenir le chef de l’Etat sur sa décision sans son consentement explicite. 😛 😛 😛 😛

  7. J’invite la population civile à ne pas céder à la panique. Cette affaire d’engrais frelatés, jusqu’à preuve de contraire reste une simple rumeur. Cela ne doit en aucun cas mettre terme à sa carrière politique. 😛 😛 😛

  8. Depuis l’enclenchement de cette affaire des engrais frelatés, on ne cesse de pointer du doigt le Ministre du développement territoriale. Mais on ne s’est jamais demandé si c’est lui qui a causé ce scandale. Alors que nous savons tous que cette affaire n’a pas débuté sous le régime d’IBK.

  9. On ne doit pas se précipiter aux conclusions. L’affaire des engrais frelatés est tellement profond qu’il est mieux pour nous d’attendre ce que les enquêtes nous révélerons comme suite.

  10. Treta est certes le Ministre à qui on attribue la responsabilité de cet esclandre. Mais on ne doit pas se permettre de l’accuser sans aucune preuve. 😀 😀 😀 😀

  11. Moi personnellement je respect quelque soit la décision du Présient de la République et celui de son gouvernement. Je leur fait énormément confiance. J’appelle tous les maliens à faire de même car la le Mali traverse l’une des plus dure épreuve de son existence.

  12. Si IBK a vraiment pris cette décision nous n’avons qu’à l’accepter. Mieux vaut être optimiste et se tromper que pessimiste et avoir raison.

  13. Si Treta est innocent alors pourquoi pas lui donner encore une chance dans le gouvernement?
    Le plus important est le bon fonctionnement du gouvernement et ce qui résumera forcement à la bonne gouvernance.

  14. A LIRE ABSOLUMENT SVP………………………………………………

    AFFAIRE ENGRAIS FRELATE

    L’avis d’appel d’offre en question était tout sauf juste et ouvert, car l’un des gros fournisseurs de la place, Djadié Ba, PDG de Gnoumani -sa, a été exclu du marché. Des consignes fermes auraient été données là où il faut pour empêcher Djadié Bah d’acquérir le dossier d’appel d’offre.
    En affaire, c’est comme à la guerre (il n’ya pas de pitié). Furieux de sa mise à l’écart d’un marché très juteux, on le sait, l’opérateur économique n’est pas resté assis en croisant les doigts, il a informé qui de droit et a mis ses relations en contribution jusqu’à l’extérieur du pays.
    Lorsque les premières commandes d’engrais, de pesticides et de semences sont arrivées sur le sol malien, Djadié Ba a passé le relais aux députés Bafotigui Diallo du Rpm, ensuite Bakary Koné de l’Adéma (un allié du Rpm). La suite est connue car, dès le vendredi 28 mai 2015, dans le N°167, votre bihebdomadaire préféré, Le Tjikan, a vu juste en titrant à sa une « le ministre Tréta bientôt dans un champ d’épines… »
    Les dessous politiques d’un scandale financier
    En interpelant le ministre du Développement Rural devant l’Assemblée Nationale pour qu’il s’explique des tenants et aboutissants de l’affaire d’engrais de mauvaise qualité importé, le député Bafotigui Diallo du Rpm attira l’attention de l’opinion sur les dessous politiques de cette affaire en ces termes : « quand il s’agit des intérêts du pays, le parti passe en second plan… » « Je ne veux pas que l’image de notre parti et du président IBK soient associées à des actions qui puissent les porter préjudice un jour… ».

    Il faut rappeler que lors des législatives de 2013, le Pdg de Nyumani-sa, Djadié Ba sous les couleurs de l’ADP-Maliba a été un candidat sérieux contre celui du Rpm dans la circonscription électorale de Nionon. Au second tour, le Rpm l’emporta après que la Cour Constitutionnelle ait annulé de nombreuses voix favorables à Djadié Ba pour cause d’irrégularités. Après cet 1er affrontement dans les urnes, le Rpm ne voudrait plus faire cadeau à Djadié Ba. Et, lui accordé un marché juteux comme celui des engrais, même s’il répond aux critères, équivaut à financer un adversaire politique.

    De tout ce qui précède, le ministre du Développement Rural apparait dans l’opinion publique, comme le principal suspect dans l’affaire d’importation à coût de milliards, d’engrais de mauvaise qualité et en grande quantité au titre de la campagne agricole 2015/2016. Va-t-il tomber seul ?

    Diadié Bah, opérateur économique, conseiller du président ATT et un présumé délinquant financier de classe exceptionnelle. Diadié Bah, est l’un de ceux qui se cache derrière ce statut d’opérateur économique et de conseiller à présidence pour mieux profiter de l’argent du pauvre contribuable. Le voilà depuis un certain temps réclamant à l’Etat 2 milliards 900 millions avec la complicité de la justice malienne.
    Usant de son influence de conseiller spécial à la présidence, cet opérateur économique ne recule devant rien. Il s’est longtemps joué de la justice malienne dans l’affaire des exonérations en s’octroyant les faveurs de certains juges contre espèces sonnantes et trébuchantes. L’on se rappelle de l’ascension fulgurante de sa société Nioumani.SA, qui s’est vu du jour au lendemain imposée sur le plan national comme l’une des plus grandes sociétés importatrices d’engrais au Mali. Il est d’ailleurs le seul opérateur ayant bénéficié de toutes les campagnes d’exonération et son quota du lot global. Qui pouvait refuser un marché au tout puissant conseiller spécial du président ATT et non moins membre du fameux Pdes ?

    Ainsi, Diadié Bah aidé de son influence de membre du Pdes a pu hisser sa société à un niveau incroyable avec un chiffre d’affaires important, un parc automobile des plus fournis après Gdcm, acquis en l’espace de quelques années.
    Ne reculant devant rien, il vient de réussir à l’aide de faux documents à faire condamner l’Etat à travers des agents du ministère de l’Agriculture à la dernière session de la cour d’assises, par l’arrêt n°192 du 13 décembre 2013 à lui payer la somme d’un milliards neuf cent douze mille cent trente-huit Francs CFA à titre de dommages et intérêts, car il accuse ces agents de faux en écriture, corruption et complicité. Nioumani.SA estime avoir été lésé par ces agents dans le cadre de leur fonction et que leurs actes lui auraient causé, tenez-vous bien, un préjudice moral.
    Sachant que l’Etat malien à travers le Ministère de l’Agriculture est civilement responsable des agents incriminés, il est le véritable condamné.

    Le rappel des faits sur les 3 milliard
    Les faits remontent aux années 2008 et 2009 où le gouvernement dans le cadre de l’initiative riz a décidé de subventionner les engrais et semences certifiées en les faisant parvenir aux producteurs agricoles à travers des opérateurs économiques sur la base de cautions techniques délivrées par les services compétents du Ministère de l’Agriculture.
    C’est ainsi que pour couvrir la campagne agricole 2010-2011, la société Nioumani.SA affirme avoir fourni aux producteurs de la région de Koulikoro des quantités d’intrants dont le montant s’est élevé à 3.431.065.251 FCFA, alors même que les besoins de la région en cette campagne sont estimés selon les structures d’Agriculture à 1.800 000 000 FCFA. A l’époque, les services techniques du ministère des finances et le ministre de l’agriculture en personne avaient condamné le montant hors norme de la Société Nioumani-SA.
    Selon les explications qui nous ont été fournies, les travailleurs de la société, qui devaient exécuter le marché de livraison d’engrais, étaient bien au courant que plus des deux tiers des cautions étaient fausses. Ils savaient aussi que les informations y figurant (superficies, tonnages d’engrais, d’urée…, dates de livraisons et de réceptions…) étaient incorrectes. Malgré cela, ces travailleurs ont acheminé les documents jusqu’à la Direction de Gnoumani SA. Laquelle n’a pas hésité à présenter les cautions aux ministères de l’Agriculture et des Finances pour être payée par le Trésor public. Pour résumer la thèse des techniciens, si certains agents des services agricoles ont fauté, c’est naturellement avec la complicité des travailleurs de Gnoumani SA, y compris la Direction.
    Mais le scandale financier a été évité à l’époque de justesse, grâce à la vigilance de la Direction nationale de l’agriculture, à quelques encablures de la tenue du Conseil Supérieur de l’Agriculture. Depuis, on sait que c’est sur le cercle de Kati que Diadié Bah et ses acolytes avaient jeté leur dévolu. D’ailleurs, c’est dans la même zone que la suspension de Gnoumani SA court toujours, pour ce qui concerne la livraison d’engrais.
    Appelé à la barre à l’audience de la cour d’appel du 05 mars 2013, Moussa Camara, Directeur national adjoint de l’agriculture a répliqué en soutenant qu’il ne connait pas cet employé de commerce encore moins le rencontrer pour traiter une quelconque affaire de cautions » On a constaté un surplus de production de cautions techniques en dehors des zones ciblées. La quantité d’engrais annoncée n’a pas été fournie. Nous sommes formels », a-t-il ajouté.
    Sur la même lancée, Daniel S. Kelema, Directeur National de l’agriculteur a indiqué qu’il « s’est rendu compte d’un dépassement de 175% de la facture de Gnoumani-SA de la subvention d’engrais de l’Etat. Selon lui, dans le rapport de mission portant sur 8 fournisseurs, des anomalies ont été décelées au niveau de la Société Gnoumani SA. » Le problème se situe au niveau de Kati avec 314 cautions qui sont fausses. Cependant, 143 cautions sont bonnes parce que la quantité d’engrais a été fournie. Le montant à payer est évalué à 121 Millions 700.000 FCFA. Les cautions sont délivrées en fonction de la superficie déterminée. Sur les 463 cautions, 314 ont été remises à qui de droit, a expliqué le Directeur national de l’agriculture.
    Le représentant du Contentieux de l’Etat a, pour sa part, demandé à la Cour de mettre l’Etat hors de cause dans cette affaire de surfacturation de consommation d’engrais. Pour lui, il s’agit d’une entreprise frauduleuse. Et que la moralité de la société Gnoumani SA reste douteuse.
    L’ultime démarche de l’opérateur économique-magouilleur fut en direction de Koulouba. Le Président de la République, Amadou Toumani Touré, très conciliateur, dont il était le conseiller, mais bien informé de la gravité du dossier, lui a fermé sa porte. Dans les jours qui suivirent cette rencontre avortée, ATT a démontré qu’il voulait faire jaillir la lumière dans cette sale affaire, en limogeant le Chef de la Brigade du Pôle économique et financier de Bamako. Celui-là même qui, selon nos sources, aurait tenu des propos «partiaux», lors des interrogatoires dans ce dossier. Il serait revenu aux oreilles du Chef de l’Etat que cet Officier – enquêteur voulait étouffer l’affaire, en faveur, bien sûr, de Diadié Bah.

    C’est au cours d’une inspection de routine portant sur les subventions de l’Etat que la société Gnoumani SA de Diadié Bah a été épinglée par les services techniques du Ministère de l’Agriculture qui ont découvert une importante fraude en procédant au recoupement des factures concernant les subventions. Ils ont découvert que « Gnoumani-Sa » du puissant conseiller du président ATT, Diadié Bah a produit deux factures d’un montant total de 2.223.754.443 CFA pour la seule Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) de Koulikoro. Or il se trouve que l’ensemble des besoins de cette région ne dépasse pas 1, 8 Milliard CFA. Alors que plusieurs sociétés ont livré pour couvrir les besoins de la Région de Koulikoro, notamment : Somadeco, Société Mali Paysans sarl, Toguna, Smci sarl et « Gnoumani-Sa » de Diadié Bah qui réclame 2,2 milliards. Pendant qu’il n’a pas livré plus de 20% des engrais dans la région de Koulikoro.
    Sur la base des informations qu’il a publiées, « Gnoumani-Sa » a plutôt livré dans les régions de Sikasso et Ségou. Et l’Etat, selon Diadié Bah, lui doit la somme de 3,4 milliards CFA. Si pour Sikasso et Ségou, les services techniques du ministère de l’Agriculture n’ont pas décelé d’anomalies à la date d’aujourd’hui, ce n’est pas le cas pour la région de Koulikoro. Ce qui fait dire aux autres fournisseurs que Diadié Bah monte les enchères en parlant de boycott afin de faire oublier ses fraudes dans la région de Koulikoro. Et si l’on sait que dans ce milieu tout le monde se connaît, c’est une peine perdue pour lui.

    Avec ce scandale financier dont il est le seul à avoir le secret, notre fameux opérateur économique n’est pas à son premier coup d’essai. L’on se rappelle volontiers les démêlées du même Diadié Bah dans les affaires du Paccem à Ségou et même du Pasaop. Dans ces deux affaires, il a toujours réclamé quelque chose qui ne lui est pas dû à tel point que sa société est mise sur la sellette de ces projets et programmes. Après ces affaires sulfureuses Paccem, Pasaop, c’est autour de l’Etat de se faire plumer par les soins de Diadié Bah.

    Ne se limitant pas aux scandales financiers qui risquent de le bouffer avec sa société, Diadié Bah a longtemps été aussi cité dans l’affaire de l’assassinat de Moriba Yattassaye. Un jeune opérateur économique de Niono dont le corps a été retrouvé à quelques encablures des bureaux du sous préfet de la ville l’année dernière. Même si sa culpabilité n’a pas encore été établie, nombreux sont ceux qui voient sa main derrière cette ignominie.
    Cet homme a tellement de casseroles qu’il traine, qu’il a tout fait pour s’arroger une immunité parlementaire heureusement que les 9 sages de la cour constitutionnelle n’ont pas perdu le sens du devoir comme certains l’ont fait.
    IBK a dit que nul ne serait au-dessus de la loi, qu’il en soit ainsi, afin que nul ne s’enrichisse plus impunément sur le dos de l’Etat.

    • Jugé quelqu’un sous la base des rumeurs n’est pas logique. C’est vrai que les engrais ont été frelaté, mais qui est à la base de ce scandale ? Personne ne connait la vérité dans cette affaire, donc laissons nos gouvernants s’en chargé à leur manière.

  15. Le scandale des engrais frelatés est une affaire de tous. Le Ministre du développement rural, Bocary Treta et son département n’ont pas pu contourner le danger des engrais hors norme, comme l’ fait certains pays voisins, à savoir : Côte d’Ivoire et Burkina Faso. Selon une source, il me semble qu’un Ministre ivoirien avait mis Treta en garde contre la présence de ces engrais. 😆 😆
    Un jour, en feuilletant sur un site d’information, les paysans disaient qu’il n’existe d’engrais frelatés dans notre pays. Que cette histoire est un complot de l’opposition contre le régime en place. Car le Mali est un pays agro-pastoral, si va dans le secteur agricole, ça dans le pays, et si ça va dans le pays, le bilan du président de la république en exercice sera bon. Ce qui déplaise aux détracteurs. Treta lui-même, interpellé plusieurs fois sur la question pas nos honorables députés, a affirmé qu’il n’y a pas d’engrais frelatés au Mali. Finalement on ne sait plus à quelle source d’information donner raison. Mais une chose est sure, une commission ad-hoc a été mise en place pour enquêter sur le sujet de ces engrais. 😆 😆 😆
    Pour le moment, attendons que cette commission présente les conclusions de son enquête pour pouvoir incriminer les responsables de ce scandale. S’il ressort de ces conclusions que Treta est responsable, dit donc il va répondre de son acte. Car nul n’est au-dessus de la loi.
    Le Mali est un pays laïc et démocratique. On ne peut être incarcéré et emprisonné qu’en fonction de ce qu’on a fait.
    J’appelle tous les maliens à faire preuve de patience dans cette affaire. Elle doit être traitée avec minutie. Afin qu’aucune personne ne soit assujettie à des injustices.

  16. A LIRE ABSOLUMENT SVP………………………………………………

    AFFAIRE ENGRAIS FRELATE

    L’avis d’appel d’offre en question était tout sauf juste et ouvert, car l’un des gros fournisseurs de la place, Djadié Ba, PDG de Gnoumani -sa, a été exclu du marché. Des consignes fermes auraient été données là où il faut pour empêcher Djadié Bah d’acquérir le dossier d’appel d’offre.
    En affaire, c’est comme à la guerre (il n’ya pas de pitié). Furieux de sa mise à l’écart d’un marché très juteux, on le sait, l’opérateur économique n’est pas resté assis en croisant les doigts, il a informé qui de droit et a mis ses relations en contribution jusqu’à l’extérieur du pays.
    Lorsque les premières commandes d’engrais, de pesticides et de semences sont arrivées sur le sol malien, Djadié Ba a passé le relais aux députés Bafotigui Diallo du Rpm, ensuite Bakary Koné de l’Adéma (un allié du Rpm). La suite est connue car, dès le vendredi 28 mai 2015, dans le N°167, votre bihebdomadaire préféré, Le Tjikan, a vu juste en titrant à sa une « le ministre Tréta bientôt dans un champ d’épines… »
    Les dessous politiques d’un scandale financier
    En interpelant le ministre du Développement Rural devant l’Assemblée Nationale pour qu’il s’explique des tenants et aboutissants de l’affaire d’engrais de mauvaise qualité importé, le député Bafotigui Diallo du Rpm attira l’attention de l’opinion sur les dessous politiques de cette affaire en ces termes : « quand il s’agit des intérêts du pays, le parti passe en second plan… » « Je ne veux pas que l’image de notre parti et du président IBK soient associées à des actions qui puissent les porter préjudice un jour… ».

    Il faut rappeler que lors des législatives de 2013, le Pdg de Nyumani-sa, Djadié Ba sous les couleurs de l’ADP-Maliba a été un candidat sérieux contre celui du Rpm dans la circonscription électorale de Nionon. Au second tour, le Rpm l’emporta après que la Cour Constitutionnelle ait annulé de nombreuses voix favorables à Djadié Ba pour cause d’irrégularités. Après cet 1er affrontement dans les urnes, le Rpm ne voudrait plus faire cadeau à Djadié Ba. Et, lui accordé un marché juteux comme celui des engrais, même s’il répond aux critères, équivaut à financer un adversaire politique.

    De tout ce qui précède, le ministre du Développement Rural apparait dans l’opinion publique, comme le principal suspect dans l’affaire d’importation à coût de milliards, d’engrais de mauvaise qualité et en grande quantité au titre de la campagne agricole 2015/2016. Va-t-il tomber seul ?

    Diadié Bah, opérateur économique, conseiller du président ATT et un présumé délinquant financier de classe exceptionnelle. Diadié Bah, est l’un de ceux qui se cache derrière ce statut d’opérateur économique et de conseiller à présidence pour mieux profiter de l’argent du pauvre contribuable. Le voilà depuis un certain temps réclamant à l’Etat 2 milliards 900 millions avec la complicité de la justice malienne.
    Usant de son influence de conseiller spécial à la présidence, cet opérateur économique ne recule devant rien. Il s’est longtemps joué de la justice malienne dans l’affaire des exonérations en s’octroyant les faveurs de certains juges contre espèces sonnantes et trébuchantes. L’on se rappelle de l’ascension fulgurante de sa société Nioumani.SA, qui s’est vu du jour au lendemain imposée sur le plan national comme l’une des plus grandes sociétés importatrices d’engrais au Mali. Il est d’ailleurs le seul opérateur ayant bénéficié de toutes les campagnes d’exonération et son quota du lot global. Qui pouvait refuser un marché au tout puissant conseiller spécial du président ATT et non moins membre du fameux Pdes ?

    Ainsi, Diadié Bah aidé de son influence de membre du Pdes a pu hisser sa société à un niveau incroyable avec un chiffre d’affaires important, un parc automobile des plus fournis après Gdcm, acquis en l’espace de quelques années.
    Ne reculant devant rien, il vient de réussir à l’aide de faux documents à faire condamner l’Etat à travers des agents du ministère de l’Agriculture à la dernière session de la cour d’assises, par l’arrêt n°192 du 13 décembre 2013 à lui payer la somme d’un milliards neuf cent douze mille cent trente-huit Francs CFA à titre de dommages et intérêts, car il accuse ces agents de faux en écriture, corruption et complicité. Nioumani.SA estime avoir été lésé par ces agents dans le cadre de leur fonction et que leurs actes lui auraient causé, tenez-vous bien, un préjudice moral.
    Sachant que l’Etat malien à travers le Ministère de l’Agriculture est civilement responsable des agents incriminés, il est le véritable condamné.

    Le rappel des faits sur les 3 milliard
    Les faits remontent aux années 2008 et 2009 où le gouvernement dans le cadre de l’initiative riz a décidé de subventionner les engrais et semences certifiées en les faisant parvenir aux producteurs agricoles à travers des opérateurs économiques sur la base de cautions techniques délivrées par les services compétents du Ministère de l’Agriculture.
    C’est ainsi que pour couvrir la campagne agricole 2010-2011, la société Nioumani.SA affirme avoir fourni aux producteurs de la région de Koulikoro des quantités d’intrants dont le montant s’est élevé à 3.431.065.251 FCFA, alors même que les besoins de la région en cette campagne sont estimés selon les structures d’Agriculture à 1.800 000 000 FCFA. A l’époque, les services techniques du ministère des finances et le ministre de l’agriculture en personne avaient condamné le montant hors norme de la Société Nioumani-SA.
    Selon les explications qui nous ont été fournies, les travailleurs de la société, qui devaient exécuter le marché de livraison d’engrais, étaient bien au courant que plus des deux tiers des cautions étaient fausses. Ils savaient aussi que les informations y figurant (superficies, tonnages d’engrais, d’urée…, dates de livraisons et de réceptions…) étaient incorrectes. Malgré cela, ces travailleurs ont acheminé les documents jusqu’à la Direction de Gnoumani SA. Laquelle n’a pas hésité à présenter les cautions aux ministères de l’Agriculture et des Finances pour être payée par le Trésor public. Pour résumer la thèse des techniciens, si certains agents des services agricoles ont fauté, c’est naturellement avec la complicité des travailleurs de Gnoumani SA, y compris la Direction.
    Mais le scandale financier a été évité à l’époque de justesse, grâce à la vigilance de la Direction nationale de l’agriculture, à quelques encablures de la tenue du Conseil Supérieur de l’Agriculture. Depuis, on sait que c’est sur le cercle de Kati que Diadié Bah et ses acolytes avaient jeté leur dévolu. D’ailleurs, c’est dans la même zone que la suspension de Gnoumani SA court toujours, pour ce qui concerne la livraison d’engrais.
    Appelé à la barre à l’audience de la cour d’appel du 05 mars 2013, Moussa Camara, Directeur national adjoint de l’agriculture a répliqué en soutenant qu’il ne connait pas cet employé de commerce encore moins le rencontrer pour traiter une quelconque affaire de cautions » On a constaté un surplus de production de cautions techniques en dehors des zones ciblées. La quantité d’engrais annoncée n’a pas été fournie. Nous sommes formels », a-t-il ajouté.
    Sur la même lancée, Daniel S. Kelema, Directeur National de l’agriculteur a indiqué qu’il « s’est rendu compte d’un dépassement de 175% de la facture de Gnoumani-SA de la subvention d’engrais de l’Etat. Selon lui, dans le rapport de mission portant sur 8 fournisseurs, des anomalies ont été décelées au niveau de la Société Gnoumani SA. » Le problème se situe au niveau de Kati avec 314 cautions qui sont fausses. Cependant, 143 cautions sont bonnes parce que la quantité d’engrais a été fournie. Le montant à payer est évalué à 121 Millions 700.000 FCFA. Les cautions sont délivrées en fonction de la superficie déterminée. Sur les 463 cautions, 314 ont été remises à qui de droit, a expliqué le Directeur national de l’agriculture.
    Le représentant du Contentieux de l’Etat a, pour sa part, demandé à la Cour de mettre l’Etat hors de cause dans cette affaire de surfacturation de consommation d’engrais. Pour lui, il s’agit d’une entreprise frauduleuse. Et que la moralité de la société Gnoumani SA reste douteuse.
    L’ultime démarche de l’opérateur économique-magouilleur fut en direction de Koulouba. Le Président de la République, Amadou Toumani Touré, très conciliateur, dont il était le conseiller, mais bien informé de la gravité du dossier, lui a fermé sa porte. Dans les jours qui suivirent cette rencontre avortée, ATT a démontré qu’il voulait faire jaillir la lumière dans cette sale affaire, en limogeant le Chef de la Brigade du Pôle économique et financier de Bamako. Celui-là même qui, selon nos sources, aurait tenu des propos «partiaux», lors des interrogatoires dans ce dossier. Il serait revenu aux oreilles du Chef de l’Etat que cet Officier – enquêteur voulait étouffer l’affaire, en faveur, bien sûr, de Diadié Bah.

    C’est au cours d’une inspection de routine portant sur les subventions de l’Etat que la société Gnoumani SA de Diadié Bah a été épinglée par les services techniques du Ministère de l’Agriculture qui ont découvert une importante fraude en procédant au recoupement des factures concernant les subventions. Ils ont découvert que « Gnoumani-Sa » du puissant conseiller du président ATT, Diadié Bah a produit deux factures d’un montant total de 2.223.754.443 CFA pour la seule Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) de Koulikoro. Or il se trouve que l’ensemble des besoins de cette région ne dépasse pas 1, 8 Milliard CFA. Alors que plusieurs sociétés ont livré pour couvrir les besoins de la Région de Koulikoro, notamment : Somadeco, Société Mali Paysans sarl, Toguna, Smci sarl et « Gnoumani-Sa » de Diadié Bah qui réclame 2,2 milliards. Pendant qu’il n’a pas livré plus de 20% des engrais dans la région de Koulikoro.
    Sur la base des informations qu’il a publiées, « Gnoumani-Sa » a plutôt livré dans les régions de Sikasso et Ségou. Et l’Etat, selon Diadié Bah, lui doit la somme de 3,4 milliards CFA. Si pour Sikasso et Ségou, les services techniques du ministère de l’Agriculture n’ont pas décelé d’anomalies à la date d’aujourd’hui, ce n’est pas le cas pour la région de Koulikoro. Ce qui fait dire aux autres fournisseurs que Diadié Bah monte les enchères en parlant de boycott afin de faire oublier ses fraudes dans la région de Koulikoro. Et si l’on sait que dans ce milieu tout le monde se connaît, c’est une peine perdue pour lui.

    Avec ce scandale financier dont il est le seul à avoir le secret, notre fameux opérateur économique n’est pas à son premier coup d’essai. L’on se rappelle volontiers les démêlées du même Diadié Bah dans les affaires du Paccem à Ségou et même du Pasaop. Dans ces deux affaires, il a toujours réclamé quelque chose qui ne lui est pas dû à tel point que sa société est mise sur la sellette de ces projets et programmes. Après ces affaires sulfureuses Paccem, Pasaop, c’est autour de l’Etat de se faire plumer par les soins de Diadié Bah.

    Ne se limitant pas aux scandales financiers qui risquent de le bouffer avec sa société, Diadié Bah a longtemps été aussi cité dans l’affaire de l’assassinat de Moriba Yattassaye. Un jeune opérateur économique de Niono dont le corps a été retrouvé à quelques encablures des bureaux du sous préfet de la ville l’année dernière. Même si sa culpabilité n’a pas encore été établie, nombreux sont ceux qui voient sa main derrière cette ignominie.
    Cet homme a tellement de casseroles qu’il traine, qu’il a tout fait pour s’arroger une immunité parlementaire heureusement que les 9 sages de la cour constitutionnelle n’ont pas perdu le sens du devoir comme certains l’ont fait.
    IBK a dit que nul ne serait au-dessus de la loi, qu’il en soit ainsi, afin que nul ne s’enrichisse plus impunément sur le dos de l’Etat.

  17. Est-ce que Tréta est-il réellement coupable ? C’est la question qu’on se pose par finir, car depuis son accusation jusqu’à aujourd’hui, on a aucune preuve contre lui !!!

  18. Ne jugeons pas les choses à l’envers, peut être que Bacary Treta n’est pas coupable dans cette affaire. Tout ce qui a été n’est que des suppositions, sans le résultat de l’enquête ouvert sur ce dossier ne l’index pas. Personne ne peut le juger pour quoi que ce soit.

  19. IBK et son Ministre sont les plus « SAINT » dans cette affaire d’engrais. Mais certains sont en train de mener depuis un certain temps, une campagne d’acharnement. Ces aigris ont pour chef TIEBILE, qui est en coalition avec certains ingrats et ignorants, qui se font passé pour des partisans d’IBK, comme le député du RPM qui a soulevé l’affaire.

  20. Le MALI est un Etat de droit alors tant que la justice malienne n’inculpe pas Treta Bocari dans l’affaire des engrais frelatés alors moi je ne vois pas de problème si IBK veut maintenir Ministre. Arrêtons les préjugés et baissons nous sur les concrets, la justice est en cour alors soyons patient car la patience est un chemin d’or.

  21. REVELATION, SKYPE 😆 😆 😆 😆
    Toutes les vérités ne sont pas bonne à dire sinon on connait l’histoire depuis sous ATT… BOLT.
    donc ce que je peux dire c’est de laisser TRETA en dehors de cette affaire.

  22. Ce scandale d’engrais frelaté est l’œuvre des ennemis d’IBK et de son Ministre TRETA. Ce sont les partisans de l’ancien régime qui n’ont pas digéré leur défaite et qui emploient tous les moyens pour les nuire.
    ATT et son fidèle fournisseur DIDJE BAH, fessaient entré au Mali depuis 2000, des engrais de mauvaise qualité. C’est grâce à ATT que DIADJE BAH a fait fortune, car son entreprise n’était qu’une baraque avant qu’ATT ne commence à lui attribuer les marchés. ATT et ce dernier se partageaient le gâteau. Comme cette année, il a été exclu du marché, vu son mauvais comportement sur la fourniture des engrais, il s’est alors allié aux ennemis d’IBK pour porter atteinte à IBK et son Ministre TRETA.

  23. Personne ne conteste le fait que Tréta répondra de ses actes si jamais il est reconnu coupable, mais tant qu’il ne l’est pas d’abord, rien ne peut-être fait contre lui !!! Il nous faut les preuves de ces accusation !!!

  24. Cet article à l’ère plus humoristique que journalistique. Mon frère DAK tu as intérêt à chercher une autre chose dans la vie sinon tu risques de passer ta vie dans la galère. En ce moment ce n’est pas ton cousin que tu vas accuser.

  25. À l’heure de mensonge : Clash entre les malheureux journalistes du Mali ?
    Les uns mentent et les autres contestent et les autres disent vrai et les uns contestent.
    Les uns calomnient et les autres appuient.
    ALLAH KA TCHIEN DAIMAI !!!

  26. C’est Bafotigui et certains complices qui veulent faire partir TRETA sinon depuis quand l’enquête a été mené et jusqu’à présent aucune preuve.

  27. La population doit faire confiance à IBK et en son gouvernement, car l’avenir du pays repose entre ses mains. Les maliens doivent rester mobiliser derrière ses dirigeants comme on le dit si bien la l’union fait la force.

  28. Ce n’est pas surprenant que TRETA soit innocenté de toutes les diffamations sur lui par les journalistes ou par ses propres frères du parti RPM. IBK connait la potentialité de TRETA depuis longtemps ils sont ensemble.

  29. Que Dieu aide vraiment le Mali de sortir de son gouffre par tous les moyens. Mais avant nous devons tous se donner la main pour rentrer et sortir par la porte.
    QU’ALLAH BENISSE LE MALI !!!!!!!!!!!!!!!!

  30. Ce monsieur est innocent, on l’incrimine pour rien, tout ces complots sont des jeux politiques contre lui et par les jaloux du parti.

  31. En vérité le vrai problème des engrais vient de l’ONG NIOUMANIE S.A dont le PDG c’est Diadié BAH.

    • ha, oui mon frère c’est bien vrai ce que tu dis mais fais attention car cet homme est capable de te faire disparaître du jour au lendemain. TRETA n’a rien a voir avec l’histoire des engrais au Mali

  32. Les résultats de la commission d’enquête ne sont pas jusqu’alors apparus donc je ne vois pas où se situe sa culpabilité. Alors dans cette situation, il carrément libre d’exécuter la tâche que l’Etat l’attribue pour la bonne marche et continue du Mali.

  33. La justice ne peut inculper personne sans preuve, jamais de la vie !!! S’il s’avère qu’il est reconnu coupable, forcement de ses actes, mais si tel n’est pas le cas il continuera dans ses fonctions !!!

  34. Il y a toujours des cons voyous dans la masse qui ne font que dire du mal des autres. On a besoin d’avancer des arguments au lieu poser bêtement des critiques bidons. La culpabilité de Treta n’est jamais établie et même si c’était le cas, dans la mesure où l’Etat aurait besoin de lui, la justice devra attendre

  35. TRETA est là depuis quand pourquoi on ne l’inculpe pas ❓ ❓ ❓ Il est innocent et il a toujours été 😀 😀 😀

  36. on a toujours confiance aux choie que nous font le gouvernement, elle est la mieux placé pour nous diriger. Dans la vie lorqu’il s’agit de faire des chois l’erreur se présent de plus près, un humain reste toujours humain ça veut dire qu’un humain reste toujours imparfait.
    VIVE LE MALI
    VIVE LE GOUVERNEMENT

  37. S’il est vrai qu’IBK a décidé de laisser le ministre Tréta de continuer après tout ce dont on l’accuse, il a forcément ses raisons. Je pense que les maliens doivent respecter cette décision qui serait mûrement réfléchi. 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉

  38. Ne venez pas nous raconter encore des bobards, le ministre Tréta est toujours innocent dans cette affaire. Les vrais coupables se trouvent dans la nature et la commission d’enquête fera la lumière sur ce dossier

  39. Le gouvernement n’est ni contre une personne ni en train de soutenir quelqu’un, ce sont les résultats des recherches et des analyses qui ferons d’une personne coupable ou innocent s’il avère que tréta est innocent sue cet affaire rient ne lui empêchera de continuer son travail dans le gouvernement.

  40. Je ne suis pas contre le fait qu’il soit relevé de ses fonctions et par mesures politiques qu’il soit replacé ailleurs. Mais que ce soit demain ou l’année prochaine, Tréta doit s’expliquer à propos des engrais frelatés devant un juge.

  41. cette polémique de l’affaire tréta ne doit pas être aussi importante jusqu’à aller créé compartiment, des plans de recherche sont en pratique et les résultats nous seront communiqué.

  42. Il est très important de garder à ses côtés quelqu’un que l’on soupçonne de trahison. C’est seulement ainsi que l’on peut réellement savoir si la personne est loyale ou pas.

  43. Le Ministre Tréta a peut être trahi la confiance d’IBK mais je crois qu’il a droit à une seconde chance pour se racheter. Il est possible qu’il ait commis une erreur qu’il regrette aujourd’hui. Comme nous le savons tous, l’erreur est humaine et elle nous fait faire des choses qu’on ne veut pas.

  44. Je pense qu’il est préférable pour nous de pas tirer de conclusion hâtive concernant Tréta. Il est vrai qu’il est accusé d’être responsable de l’affaire des engrais frelatés mais il faut qu’on attend le résultat des enquêtes pour mieux apprendre de la situation.

  45. Treta toujours dans le gouvernement ? J’ai une grande considération pour IBK et son PM donc je leurs fait énormément confiance. Il savent ce qui font, le plus important est la bonne gouvernance du pays. Qu’il gère bien comme ils l’ont toujours fait.

  46. Est-ce qu’il vraiment vraiment responsable de cette affaire ? A-t-il été piégé ? Autant chercher à connaitre la vérité que de critiquer le fait qu’il reste dans le gouvernement !!!

  47. S’il s’avère que Tréta est le coupable de cette affaire, forcement il répondra de ses actes!!! Mais jusqu’à preuve de contraire il n’a pas encore été déclaré coupable, donc il peut continuer à servir la nation !!!

  48. IBK a été toujours la solution a nos problèmes, Si TRETA reste cela trouve qu’il est innocent.
    La population sait réellement qu’IBK est l’homme que nous voulons, tous ceux qu’il fait sont bonne.

  49. Si IBK et son PM ont décidés de garder Bocari Treta, je pense que la population doit s’y faire car ils ont des raisons bien valable. Ce que les maliens doivent s’y entendre est la bonne gouvernance. Tous les maliens doivent soutenir leurs leaders quelque soit leurs décisions, pour le bien n’être du pays.

  50. Il n’est pas facile de laisser tomber des personnalités comme TRETA, car il fait partis des personnalités le plus important dans le gouvernement du Mali.

  51. Si le premier ministre défend TRETA, cela trouve qu’il n’est pas totalement impliqué dans l’affaire.
    Tous les reproches faire par les journalistes concernant l’histoire de l’engrais frelaté sont loin de la réalité car TRETA est un homme sensible.
    Bien qu’il soit le ministre en charge du développement rurale, on ne devrait pas dire que tous les conflits au sein ministère n’est pas totalement sa faute. Alors prenons les choses telles qu’elles sont.

  52. Ici la question qui doit se posée est de savoir si réellement l’histoire de trois milliards FCFA qui à bloquer par le par le ministre du développement rural dans la campagne agricole 2010-2011 sont en rapport avec celui de 2015 ?
    La réponse à cette question va nous permettre de savoir la réalité concrète concernant l’histoire de l’engrais frelaté.
    Tout cela montre que l’histoire de l’engrais frelaté est plus compliquer et difficile, cela ne vaut pas dire que TRETA n’est pas totalement impliqué dans l’histoire de l’engrais.

  53. Nous sommes convaincus qu’IBK est l’homme de la situation, alors il fera de toute en sorte que son pays puisse avoir la paix et la tranquillité.
    Si l’enquête que TRETA est innocent ou coupable, la justice fera son travail.
    La loi est faite pour protéger les innocents et punis les coupables, alors la justice fera son travail.

  54. C’est bien que le département du ministère de développement rural est concerné dans l’histoire de l’engrais frelaté, cela ne peut-il pas dit que TRETA est responsable de cela.
    Mais de tout compte fait la justice Malienne fera tout son possible pour être rendu.
    En rendant la justice si TRETA est coupable, il sera traduit devant la justice, au cas contraire, il continuera son exercice.

  55. cet sikasso est lun des fils batart de l’ançien ministre de la fonction publique qui etait de l’urd il a raison d’aboiye comme un chien arrangé

  56. IBK à intérêt à s’entourer des hommes intègres , honnêtes et travailleurs, qui aiment réellement le Mali, et lutter FAROUCHEMENT contre la corruption dont il à fait promesse au peuple… pendant qu’il est encore temps. car c’est la corruption qui est à la base de tout ses problèmes, ses scandales etc qu’il se sépare de tout parents ou ami à problème SANS PITIÉ…car il fut élu par le peuple et non ses amis ou parents ….. à mon avis jusqu’à présent les fenêtrés lui sont encore ouvertes pour se rattraper . C’est mon petit conseil pour lui …

    • Crétin, Tréta n’est en complicité avec personne, il n’a même pas été reconnu coupable d’abord, donc attendons d’abord !!!

    • Les bah-niègo vous êtes là encore ??? S’il y a de la tempête dans vos cœurs, n’attendez pas que le beau temps revienne. Vous feriez mieux d’apprendre à danser sous la pluie. La vie avance à un pas de géant.

  57. “sera rétrogradé ministre de l’Elevage et de la Pêche ou du Développement industriel, voire de l’Artisanat tout court.”

    Rétrogradé… 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

    Voilà l’illustration même d’une REPUBLIQUE BANANIERE AU 21eme siècle! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    Dans N’IMPORTE QUEL PAYS SERIEUX sur la planète, Tréta aurait non seulement été IMMEDIATEMENT relevé de ses fonctions et placé devant un juge d’instruction!
    Au Mali d’Ibk (mais au Mali d’ATT c’était déjà comme ça!), on le…………..RETROGRADE! 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳

    Une arnaque qui d’une part coûte 25 MILLIARDS à l’état (!!!…) et d’autre part, qui met en péril tout le secteur agricole du pays (!!!…), et on le………..RETROGRADE! 🙄 🙄 🙄 🙄

    PS: Mais c’est vrai qu’Ibk nous l’a bien dit il y a quelques jours: Désormais, IL SERAIT IMPITOYABLE!
    D’ailleurs, de sources sures, il paraîtrait qu’il lui en a EN PLUS réduit ses bons d’essence!
    Alors…

    • “…Au Mali d’Ibk (mais au Mali d’ATT c’était déjà comme ça!)…” 😯 😯 😯 Dans ce cas, peux-tu me donner un exemple de “RETROGRADATION D’UN MINISTRE D’ETAT” au temps du president ATT suite a un SCANDALE de cette ampleur Sans-Pisser? 😉

    • Quel honte Noir charbon !!! Tu te glorifie d’avoir battu le record d’insultes, que tu es idiot. Espèce de sarakaden.

  58. Monsieur le journaliste, c’est connu que vous faites parti de ceux qui détestent Tréta, sans même le connaitre. La raison est simple : M. Tréta, contrairement à beaucoup d’autres, ne paie pas les journaleux et ne cherche même pas à les rencontrer. Par conséquent, vous ne le connaissez pas.

    Vous nous dites que M. Tréta est décrit par ses détracteurs comme “hautain” ? Avez-vous demandé vous à vos détracteurs ce qu’ils pensent de vous ? Non ! Et bien moi j’en suis un. Voulez mon avis sur vous ? Eh bien je pense que vous êtes plutôt un scribouillard de merde. Je vous défie de nous produire un diplôme de journaliste.

    Et, soit dit en passant, l’expression “Bocary Tréta l’a échappé bel” devrait s’écrire “Bocary Tréta l’a échappé belle” Belle non belle. Vous pouvez désinformer mais de grâce faites le dans un français correcte. Déjà c’est connu que vous parler mal si en plus vous vous mettez à écrire comme un pied, ça serait grave.

    • Ouhn, cette langue, quelque soit notre niveau d’instruction, n’est pas la nôtre.

      Quand vous dites: “… faites le dans un français correcte”, vous ne pensez pas que correct sans e sied mieux qu’avec e?

      Critiquez-les, c’est normal, mais ne cherchez pas la petite “bête”

      Cordialement!

  59. Je ne sais pas d’où vous trouviez ces informations qui me semblent inventées de toute pièce; cet homme dont vous faite allusion n’est pas un petit morceau que IBK pourra lâcher comme çà sans vergogne. Cet hommes est un homme fort du parti au pouvoir et il mérite d’être là car il a aider IBK dans toute sa marche politique. Il ne peut pas être abandonné par IBK pour le bonheur politique de IBK lui même. Il faut être raisonnable.

    • Merci YACOUBA ce n’est pas en se basant sur les rumeurs de la ville qu’on doit juger la relation des gens. Tout le monde dénonce TRETA mais personne n’apporte de preuve pour l’incriminer. Ce monsieur est innocent de tout ce qu’on dénonce de lui.

      • Treta est le garant de son département ministériel donc il est responsable de toute les magouilles

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