Ainsi donc c’est le Mouvement Sabati-2012 qui décide de ce que doit être adopté ou non par l’Assemblée nationale du Mali. L’aveu de puissance a été fait par son président mercredi dernier au cours d’un point de point.
Moussa Bah, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a avoué que son organisation a demandé et obtenu le report du vote du projet de loi instituant des mesures de promotion du genre dans les fonctions nominatives et électives à la session extraordinaire afin de trouver un consensus autour d’une formule commune. Il a justifié cette démarche par le fait que le peuple malien, dans son grande majorité, estime que le genre n’est pas une nécessité pour le confort de la démocratie malienne.
C’est dire que quand Bah, ses camarades et ses mentors toussent, c’est la République tout entière qui éternue, voire tremble. Reste à savoir si on ne finira pas par renoncer tout bonnement au projet, car personne ne veut prendre le risque de s’attirer les foudres des leaders musulmans. Quitte à provoquer l’ire des organisations féminines et de certains partenaires financiers et techniques. Sabati est puissant.
DAK
Les vrais maliens ne connait même pas Sabati. DAK!!! le mali suit la politique internationale et non Sabati de Bah. Que ce que Sabati peut donne au mali, tandis que le mali n'est pas souverain. Cri pour ne rien dire; On n'est pays comment??? on mange comment??? comment on na de l'eau??? On fabrique Quoi??? Répond les question, avant la religion !!! la vie d’abord.
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