En un mot : Pression et inquiétude

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Depuis la révélation de l’existence d’une liste électorale parallèle, la température est montée dans le landerneau politique. Le chef de file de l’opposition est rejoint par des acteurs politiques majeurs comme Cheick Modibo Diarra et Modibo Sidibé. Ils exigent un minimum de conditions pour la tenue de la présidentielle de dimanche prochain.

Le discours ambivalant du gouvernement, tantôt conciliant, tantôt menaçant, les explications peu convaincantes de la Délégation générale aux élections ainsi que les “préoccupations” exprimées par la communauté internationale ne sont pas faits pour rassurer.

S’y ajoutent les dénonciations de l’achat massif des cartes d’électeur, l’établissement de procurations, notamment dans les rangs des FAMa. On devrait vite trouver les mots, les moyens pour restaurer un minimum de confiance entre les acteurs pour franchir le tournant du 29 juillet dans la paix et surtout la sérénité.

DAK

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4 COMMENTAIRES

  1. C’est dommage de voir qu’à quelques encablures du jour “j” les choses se corse comme çà, mais nous restions convaincu qu’il n’y a pas de fumée sans feu, car les hommes d’IBK voyant leur défaite pointée à l’horizon paniquent et gesticulent çà et là sans pouvoir convaincre le citoyen lambda dans la mesure où les faites sont têtus et indéniables. Il faut retenir qu’on est déjà dans une crise ante-électorale et cela est grave et très grave pour le pouvoir en place. Comment lancer cette élection maintenant après cette découverte macabre et honteuse? L’ignominie et l’indignité ont atteint leur points culminants; nous sommes dans l’œil du cyclone, que dirait-on à cette communauté internationale? Le Mali est devenu un pays de griots qui peuvent tout accepter sans baisser la tête et c’est leur position au sein de la société malienne qui les octroie ce comportement, car ils sont les gardiens de l’histoire du pays, les véritables dignes fils totalement affranchis du terroir (“horons”) n’acceptent pas des comportements indignes et éhontés.

  2. C’est dommage de voir qu’à quelques encablures du jour “j” les choses se corse comme çà, mais nous restions convaincu qu’il y a pas de feu sans fumée car les hommes d’IBK voyant leur défaite pointée à l’horizon paniquent et gesticules çà et là sans pouvoir convaincre le citoyen lambda dans la mesure où les faites sont têtus et indéniables. Il faut retenir qu’on est déjà dans une crise ante-électorale et cela est grave et très grave pour le pouvoir en place. Comment lancer cette élection maintenant après cette découverte macabre et honteuse? L’ignominie, l’indignité et ont atteint leur points culminants; nous sommes dans l’œil du cyclone, que dirait-on à cette communauté internationale? Le Mali est devenu un pays de griots qui peuvent tout accepter sans baisser la tête et c’est leur au sein de la société malienne qui les octroie ce comportement, car ils sont les gardiens de l’histoire du pays, les véritables dignes fils totalement affranchis dans le terroir (“horons”) n’acceptent pas des comportements indignes et éhontés.

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