La sécurité du Sahel et la lutte contre le terrorisme ne concernent pas que cette seule région, mais l’ensemble de la communauté internationale”. Ce message de la conférence sur la sécurité à Munich (RFA), rapporté par RFI, conforte l’idée que “le Mali est une digue. Si elle rompt, l’Europe sera submergée”.
En un mot : l’opérationnalisation de la Force conjointe du G5-Sahel s’avère d’une ardente obligation pour le monde civilisé, car aucune armée seule au Sahel aux frontières poreuses ne peut contenir la horde de terroristes et trafiquants.
La balle est donc dans le camp des donateurs, appelés à mettre la main à la poche à la table ronde de financement de G5-Sahel ce vendredi à Bruxelles. L’heure ne doit plus être aux hésitations parce que les ennemis de la paix sont inlassables. Les règles du jeu sont simples : financer la FC-G5 à hauteur des ambitions et impulser le développement des Etats du Sahel pour réduire, sinon enrayer l’influence de plus en plus grandissante des terroristes sur des populations de plus en plus esseulées pour un monde plus libre et sûr.
DAK
Menac€uropéennes surtout…
L’insécurité au Mali devenu un brasier du Sahel préoccupe l’Europe et la communauté internationale.
L’Europe y a ses menaces dont la plus palpable est l’émigration du Sahel vers ses pays (européens) comme l’attestent les flux migratoires et les nombreux drames de traversée vers l’Italie.
L’extrémisme islamiste est aussi une menace directe des intérêts occidentaux dont l’Afrique est un marché.
Ils peut avoir d’autres intérêts (économiques, militaires et stratégiques) mais je pense qu’à ce stade, la communauté internationale est plus préoccupée à éradiquer l’insécurité qu’à voler des ressources au Mali.
Les différents acteurs sont également dans une logique de positionnement à travers un rôle à afficher sur le terrain pour légitimer ses relations et sa position futures avec cette région africaine.
De toutes les façons, le Mali n’a pas de ressources exploitable à voler en ce moment et même s’il en a, il faut vaincre l’insécurité pour le faire.
Le problème du Mali, je reviens dessus, c’est sa représentativité à travers son président qui est complètement effacé à l’échelle internationale.
La promotion du putschiste Dahirou Dembelé a renforcé le manque de repère démocratique et moral d’IBK et le manque de sérieux du Peuple même.
Tout est possible au Mali.
« La sécurité du Sahel et la lutte contre le terrorisme ne concernent pas que cette région, mais l’ensemble de la communauté internationale.”
Si je comprends bien, ces soldats Français, Suédois, Néerlandais, Allemands, Tchadiens, Burkinabé ou Espagnols ont autres objectifs que voler nos ressources de Kidal. 😛😛😛
Tant que le Mali aura un président incompétent et effacé, l’image du Mali ne sera pas rehaussée et le Mali subira tous les arrangements internationaux et sous-régionaux.
Le Mali est l’épicentre du problème sécuritaire au Sahel mais le président malien est le dernier de la sous-région alors que chaque pays est représenté et traité à la hauteur de son chef.
Les maliens doivent le changer ou continuer à subir.
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