Pour bon nombre de Maliens, la situation actuelle de crise du pays intensifie l’agitation autour de la révision constitutionnelle. La vie chère, l’insécurité, la situation humanitaire sont des raisons fondamentales qui font sortir de leurs gonds les partisans du non.
Sinon le prétexte de la défense stricto sensu de la Constitution de 1992 ne résiste pas beaucoup à l’analyse. La Constitution du 25 février 1992 a été maintes fois violée par les régimes successifs sans pour autant susciter l’émoi et la colère qui prévalent aujourd’hui. La Constitution du 25 février 1992 a été suspendue par l’ex-junte militaire de Kati de façon flagrante en 2012 pendant que beaucoup de contestataires aujourd’hui se tenaient à carreau.
La mobilisation et le débat entre partisans du oui et du non ne sont en fait que la face visible de la colère du peuple. Au Mali, les vrais problèmes sont connus. Et c’est là que la mobilisation du peuple et la nécessité pour le pouvoir de rectifier le tir, sont vivement attendues pour redonner à notre pays ses lettres de noblesse.
DAK
Toi aussi DAK, comment tu peux etre si bete? “Sinon le prétexte de la défense stricto sensu de la Constitution de 1992 ne résiste pas beaucoup à l’analyse.”. Personne ne t’a dit que la Constitution de 1992 ne peut etre change, mais le CONTENU du texte qui va le remplacer et le MOMENT choisi pour le faire
Le débat est effectivement ailleurs.
C’est la gouvernance d’Ibk qui est contestée.
Il n’est plus crédible de procéder à aucune réforme.
Un soupçon pèse sur chacun des actes posés.
C’est le résultat d’une gestion familiale et irresponsable des affaires de l’ ÉTAT.
Il faut dire que le soupçon est justifié.
Ibk a posé des actes qu’ aucun de ses prédécesseurs n’avait encore fait.
D’abord investir largement dans sa concession privée des millions de deniers publics .
Ensuite placer les membres de la famille dans les structures étatiques avec un choix judicieux pour son fils renforçant davantage le soupçon de succession familiale.
Ses liens avec les familles BONGO et EYADEMA exprimés par une visite de recueillement sur leurs tombes après son élection renforcent la certitude des maliens à un plan visant à une succession similaire des BONGO et EYADEMA.
Il faut ajouter aussi l’ attitude humiliante d’Ibk face aux français.
Cela aussi renforce le soupçon d’une laison de la subordination d’Ibk aux desideratas des français à l’ affaire TOMI .
Ce peuple FIER et indépendant ne peut pas tolérer ces humiliations.
IBRAHIM BOUBACAR KEITA n’a plus la confiance des maliens pour procéder à la révision de la constitution.
Il faut convoquer une conférence nationale souveraine pour pouvoir procéder à une révision constitutionnelle sous Ibk.
Sinon c’est un pouvoir issu de l’ l’alternance qui doit s’en occuper.
DAK,
Comment tu peux être aussi nul? Et tu prétend exercer la profession de journalisme?
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