La signature d’une feuille de route entre les signataires de l’accord pour la paix et la réconciliation ouvre le boulevard pour l’organisation des élections présidentielles dans les régions du Nord.
L’annonce d’un nouveau chronogramme pour la mise en place du Mécanisme opérationnel de coordination (MOC) à Tombouctou et à Kidal en fin avril est le signe qu’un pas de géant a été franchi pour faciliter la tenue du scrutin de juillet prochain.
La posture adoptée par la CMA, la Plateforme et le gouvernement est une invite aux autres entités nationales.
En particulier, dans cette nouvelle entente qui apaise la tension dans le nord, les acteurs politiques nationaux doivent emboiter le pas pour réussir l’organisation des élections apaisées tant dans les zones en conflit que dans le reste du pays.
Cependant, des inquiétudes demeurent puisqu’une partie de l’opposition souhaite la certification des élections à venir par la mission des Nations Unies au Mali. Que peut-on attendre de l’ensemble des acteurs impliqués dans le processus électoral ? C’est véritablement un climat apaisé qui pourra garantir la transparence des élections, gage de stabilité dans le pays.
DAK
Marrant les agitations et excitations autour de la visite de Xi~Ping,
comment on peut entendre les manipulateur$ et ceux qui s’improvisent comme “analyste$”
et se “masturbent” avec les peurs oubliant que la Chine ne vient pas vendre les guerres militaires et n’est pas à des fins bélliqueuses contrairement à certains aux coutumes Atlantistes!
Devant l’évidence de ta réussite l’ennemi ne peut que s’y plier. DAK un qui était d’un scepticisme démoniaque est frappé par un pessimisme qui le ferait passer pour un pro IBK.
Le plus difficile c’est d’apaiser le nord et le centre. Les politicards de l’opposition qui souhaitent que les élections soient certifiées par la MINUSMA ne savent quoi dire. Nous sommes en mesure d’organiser une élection transparente acceptée par tous. On ne les écoute donc pas.
Bonjour Mr DAK. Moi, je te prenais pour un journaliste sérieux et honnête, mais hélas, je me rends compte que tu n’es pas différent de la majorité des journalistes Maliens, j’allais dire “les journalistes alimentaires”. Tu souffles le froid et le chaud.
Ta démarche est confuse, le Mali traverse un moment critique de son existence, donc notre devoir de mettre tout en oeuvre pour la cohésion sociale, c’est le contraire. Vous ne faites que de mettre l’huile sur le feu. Sinon, tous les Maliens patriotes doivent tirer dans la même direction, c’est de faire tout la tenue des prochaines élections présidentielles de juillet 2018.
Mes salutations.
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