Jusqu’à la manifestation presque mondiale de la société civile, aucun président, ni opposant africain n’a daigné lever le petit doigt et condamner les exactions quotidiennement commises contre les jeunes Africains en Libye, injustement jetés sur les chemins de l’immigration par le désespoir créé par nos politiciens véreux. Le cas des dirigeants maliens dépasse l’entendement, car ils sont déjà écrasés par le poids des injustices faites à nos jeunes compatriotes par les voisins algériens. Même pas un petit communiqué pour s’en plaindre.
Il ne reste plus que la société civile pour dénoncer les traitements inhumains et dégradants dignes d’un autre âge auxquels sont soumis les Africains en Europe, en Libye et dans d’autres pays africains. Face à la lâcheté collective des dirigeants et opposants africains et le silence coupable des donneurs de leçons occidentaux, nous ne pouvons compter que sur la société civile pour interpeller et nous défendre.
“Quand l’homme noir respectera l’homme noir, personne ne marchera sur l’homme noir”, disait Malcom X. Et il a terriblement raison.
DAK
Oui le premier intervenant “Migrants” a parfaitement raison, mais il faut qu’il sache que ce n’est pas facile d’entreprendre dans un pays où l’on ne s’aime pas les uns, les autres. L’amour entre les personnes renforce l’initiative créatrice et donne du tonus pour aller de l’avant; ici au Mali dès que l’on entreprend, les ennemis poussent comme des champions autour de vous, au lieu de vous aider à aller de l’avant, on cherche à tuer l’action en voie de réussite. Raison pour laquelle chacun cherche à se frayer un chemin pour sortir et entreprendre hors de ce milieu hostile aux initiatives nouvelles. Les plus belles initiatives meurent parce que soit elles volées par les plus nantis et mal utilisées, soit elles sont volées et restent sans être utilisées. Les plus pauvres se font dépouillés de leurs initiatives avec beaucoup de moqueries et restent sans suites. Il suffit de couvrir les initiateurs au lieu de les laisser entre les mains des dinosaures.
Les nègres sont sans équivoque les maudits de ce monde ici bas, cela est sans nul doute, ils sont dotés d’égo trop fort, de méchanceté sans limite, de jalousie sans égale. Les arabes disent que le noir est un enfant de l’enfer et que personne ne peut éviter ça. En effet, quand on constate les évènements qui nous entourent, nous verrons que les noirs sont toujours ceux qui ne s’aiment pas entre eux et qui sont les plus méchants entre eux et entre les autres dans une moindre mesure. Ils aiment les autres plus que les siens, ils s’autodétruisent sans pitié. Il faut un autre éveil de conscience en Afrique afin que les africains sachent que personne ne viendra construire l’Afrique à la place des africains, à ce titre, il faut qu’ils s’aiment entre eux pour bâtir cet édifice de demain. Pour ce faire, il faudrait attendre encore dix décennies, c’est à dire un siècle avec un grand métissage et un fort brassage entre les africains et entre ceux-ci et les autres peuples du monde. Le chemin est long et très long encore.
Les nègres sont sans équivoque les maudits de ce monde ici bas, cela est sans nul doute, ils sont dotés d’égo trop fort, de méchanceté sans limite, de jalousie sans égale. Les arabes disent que le noir est un enfant de l’enfer et que personne ne peut éviter ça. En effet, quand on constate les évènements qui nous entourent, nous verrons que les noirs sont toujours ceux qui ne s’aiment pas entre eux et qui sont les plus méchants entre eux et entre les autres dans une moindre mesure. Ils aiment les autres plus que les siens, ils s’autodétruisent sans pitié. Il faut un autre éveil de conscience en Afrique afin que les africains sachent que personne ne viendra construire l’Afrique à la place des africains, à ce titre, il faut qu’ils s’aiment entre eux pour bâtir cet édifice de demain. Pour ce faire, il faudrait attendre encore dix décennies, c’est à dire un siècle avec un grand métissage et un fort brassage entre les africains et entre ceux-ci et les autres peuples du monde. Le chemin est long et très long encore.
Je suis d’accord avec votre analyse DAK!
Puisse Allah nous donner la force d’aimer nos patries afin de mieux prendre en charge nos destins. De grâce, restez chez vous! Votre Pays vaut mieux que chez l’autre. Quand je vois ces scèmes, le morceau de la grande cantatrice (Nahawa DOUMBIA) me revient comme un refrein : “Toukan Tès Dambé Dô M’Badewn, retournez à la maison! La mort ne nous épargnera pas, retournez à la maison pour une fin de vie digne à coté de vos siens!”.
Les lacheuropéens ne veulent même pas faire l’effort pour abaisser leur vitesse de 10 petits km/h… (Pour eux c’est une perte de temps sur leurs routes vers leurs vacances adorés/adulés!)
Emoo, c’est dur d’être noir par les temps qui courent, mais, c’est encore plus dur de devoir supporter des enfoirés à la tête de nos pays. Ces salopards sont beaucoup plus informés de la situation que nous autres. Les témoignages des revenants passent quotidiennement sur les antennes des médias. Ce sont des choses qui les dérangent, c’est pourquoi, ils les relèguent toujours à un second plan, jusqu’à l’éclatement de cette affaire d’esclavage. Maintenant, ils font comme si quelque chose d’inédit leur tombait sur la tête. Avant cette affaire, les rafles de Maliens en Algérie avait défrayé la chronique. Qu’ont-ils fait, les autorités des pays concernés? Rien qui va dans le sens d’une demande d’explication adressée aux Algériens. Il a fallu le tapage planétaire sur les cruautés que subissent les migrants en Libye, pour que nos farfelus d’autorités s’insurgent comme par hasard pour se fendre en condamnations plus bidons les unes que les autres. Nous avons malheureusement des enfoirés de premier ordre à la tête de nos pays, tous des pourris. Ils sont même content que leurs ressortissants restent entre les mains des esclavagistes au lieu qu’ils reviennent grossir les rangs de leurs opposants.
Les lacheuropéens ne veulent même pas faire l’effort pour abaisser leur vitesse de 10 petits km/h… (Pour eux c’est une perte de temps sur leurs routes vers leurs vacances adorés/adulés!)
Meme les organisations de droits de l’homme des nations unies qui ont la langue tres fourchue sur des cas beaucoup moins graves sont restes muets et cela me trouble plus que nos dirigeants dont la lâcheté nous est devenue tres familiere …
C’est dur d’être Noir par les temps qui courent…
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