En un mot : Kidal part

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Malgré tout le tintamarre, Kidal reste bel et bien en marge de la République. Et même pour participer à l’élection présidentielle, la 8e région a posé ses conditions, notamment pour la sécurisation du scrutin et qui ont fait l’objet d’un accord avec le gouvernement et la Minusma. En attendant l’arrivée des nouveaux préfets toujours bloqués à Gao, les ex-rebelles disent d’avoir obtenu que  la distribution exclusive des cartes d’électeurs qui auraient été remises  des chefs de faction en vue de permettre à ceux-ci de monnayer leurs voix.  Ils écartent pour l’instant toute  participation au processus électoral sans la satisfaction de  leurs différentes requêtes, surtout l’appui financier promis par les autorités.

Face  cette situation, chaque candidat négocie directement sa sécurité et ses déplacements dans les zones tenues par les ex-rebelles qui rejettent tout dérapage sur le gouvernement avec qui ils n’ont eu aucun contact depuis plusieurs semaines. On risque de ne pas tenir l’élection dans plusieurs localités du nord et du centre, au grand plaisir des terroristes.

DAK

 

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3 COMMENTAIRES

  1. Une situation qui exprime l’échec du quinquennat du «KANKELETIGUI »qui avait promis aux maliens de leurs rendre leus honneurs.
    Pendant qu’ il cherche à rempiler,les rebelles montrent aux maliens qu’ ils sont les vrais maîtres de cette partie du territoire.
    IBK est,en réalité,le président d’une partie du MALI,pas tout le Mali.
    Son refus d’appliquer L’ACCORD de Ouagadougou explique la situation humiliante actuelle.
    L’ application de l’ accord de Ouagadougou était tellement nécessaire que L’ARMÉE MALIENNE n’était pas encore prête pour mener bataille sans sa restructuration profonde.
    Un amateurisme criard de la part de l’un des hommes politiques le plus expérimenté de la scène politique.
    Une raison fondamentale que l’homme n’est bon que pour exécuter les décisions élaborées par d’autres.
    Il n’est pas doué pour mener un peuple à bon port.
    Il doit patriotiquement LAISSER la place a plus compétent qui n’est d’autre que son rival intime de deux décennies SOUMAILA CISSE .

  2. De toutes les façons, il est temps que les Touareg de la CMA sachent que toutes les bêtises du monde ici bas ont une fin et cette fin est proche pour les bêtises qu’ils font subir à ce peuple malien depuis la nuit des temps, aujourd’hui le monde sait exactement ce qui se passe à Kidal et qui sont ces bandits de la CMA. Mais, mais, mais force est de reconnaitre que ces bandits de la CMA ont des réactions qui sont des punitions parfois normales contre les pouvoirs centraux de Bamako, car leurs rebellions depuis la nuit des temps ont été mal et très mal gérées avec des bêtises des deux camps, les chefs rebelles et les autorités de Bamako. Nous restions certains qu’avec l’implication de la communauté internationale aucun Touareg n’irait dire en Europe et aux USA que les négros cherchent à les faire disparaitre. Cette assertion est désormais fausse et il est difficile et très difficile d’en inventer pour convaincre les pays d’outre-mer. Aujourd’hui tout est précis comme explication profonde des rebellions répétitives de ces Touareg de la CMA depuis la nuit des temps. Il faut qu’une génération sache qu’aucun malien ne les veut du mal et les autres maliens des autres régions souffrent aussi, car tous ne bénéficient pas du favoritisme des régimes successifs de Bamako depuis toujours.

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