En un mot : Kidal n’a plus le choix

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Le retour de Kidal dans le giron national n’est plus un enjeu pour notre pays dont tout le malheur est parti de cette ville que certains pays occidentaux déclaraient “incompatible”  avec le Mali avant que les événements et les épreuves du temps ne viennent rappeler aux apprentis indépendantistes qu’ils ne pourront jamais vivre longtemps loin de la mère-patrie.

En effet, le rang national est édicté aux ex-rebelles par les misères imposées par leur projet fou : maladie, famine, soif… Face aux menaces d’une révolte des populations qui ne supportent plus la mauvaise gestion des rares aides humanitaires par la Coordination des mouvements de l’Azawad, les détracteurs de la République, lâchés financièrement et politiquement par leurs commanditaires français, algériens, qataris et scandinaves et militairement laminés par les mouvements d’auto-défense et les organisations terroristes, n’avaient d’autre choix que de rentrer dans les rangs. Ce n’est pas gratis si les ministres et les cadres de l’Energie et de l’Eau ne sont plus accueillis avec des cailloux. C’est parce que : “La nécessité fait monter le singe sur l’arbre épineux”.

 

DAK

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4 COMMENTAIRES

  1. ““La nécessité fait monter le singe sur l’arbre épineux”.
    HUUUM OUI DAK, IL FALLAIT JOUER AVEC LE TEMPS. C’ETAIT LA SEULE SOLUTION APRES MAI 2014.

    C’EST VRAI “L’HOMME NE VIT PAS SEULEMENT DE PAIN ET D’EAU….” (Livre Saint Chretien), NON PLUS SEULEMENT DE KALASH ET DE SABLE

  2. Le Mali n’a qu’un seul choix pour sortir de l’impasse, a’ savoir la reconciliation et la paix entre ses enfants! Toutes celles et toux ceux qui disent le contraire, sont des ennemis de notre faso et/ou sont mentalement tres limite’s!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  3. Et si je vous disais que l’or de l’occupation du nord la population était plus avec les djihadistes qu’avec cette rébellion qui ne faisait que volé et pillé la population paisible. Personne ne comprend ces insurgés qui disent lutté pour assuré le développement du nord et qui détruisent toutes les infrastructures réalisées par l’état pour le développement de cette partie du pays. Pendant mon enfance ma ville natal qui est Bandiagara n’avait pas ni eau ni électricité mais comme on a pas pris des armes contre l’état pour les revendiqué l’état a pu satisfaire nos besoins, aujourd’hui nous avons de l’électricité et de l’eau 24 h sur 24, les routes sont goudronnées et ont des caniveaux. Je m’insurge contre la revendication des meilleurs conditions de vie par la prise des armes contres sont pays, en ce qui concerne les conditions de vie des maliens je vous dit qu’a mon enfance il faisait plus bon de vivre a Kidal que dans ma ville natal , dans cette contrée il y a peu de surface cultivable et les quelques rares puits qui existaient tarissaient pendant la saison sèche on utilisait de l’eau obtenu en creusant des trous dans le lit de la rivière asséchée de la ville. Mais aujourd’hui tout cela est derrière nous car nous avons cherché ces infrastructures pacifiquement. En conclusions ces insurgés ne sont que des Brigands et des trafiquants de drogue et d’autres objets, et qu’il est mieux d’enterré cet accord de paix signé avec des gens qui ne luttent que pour leur propres intérêts et ne représentent pas la population du nord.

  4. Vraiment les leaders Touaregs de Kidal doivent montrer autres choses à sa jeunesse que les armes, ils doivent leur montrer le travail!

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