Le discours du président de la République à l’occasion de la “présumée” fête anniversaire de la création de l’armée malienne relance le débat sur la maîtrise et la confusion entretenue autour de notre histoire par nos dirigeants au grand désarroi des Maliens qui ne savent plus ce qui est la date réelle de la création de l’armée.
Certains compatriotes ont reçu comme un tord-boyaux le rappel d’IBK qui a déclaré que le 20 janvier est estimé comme la date du départ du dernier soldat français du Mali. Il rectifie ensuite en affirmant que le 1er octobre 1960 est la date de création de l’armée malienne avant de préciser que le 20 janvier 1961 est celle de l’adresse du président Modibo Kéita au corps diplomatique, demandant à la France d’évacuer les bases militaires de Bamako, de Kati, de Gao, et de Tessalit.
Ainsi, la base de Kati a été évacuée le 8 juin 1961, Tessalit le 8 juillet 1961, Gao le 2 août 1961 et Bamako le 5 septembre 1961. Cette dernière date marque le départ du dernier soldat du sol malien. Il fallait alors nous reprendre et réécrire notre histoire avoir des dates consensuelles et pour mieux la respecter et la servir. Sinon on va continuer à être totalement ridicule devant autrui.
DAK
DAK peut etre tu n’as pas bien reflechi avant de poster votre article. Cette fois je pense que c’est vous qui etes confu. Comme si c’est si simple pour un nouveau pays de creer toutes les structures d’une Armee Republicaine.
Avez vous pense le temps que ca prend pour qu’un pays, un nouveau pays qui vient juste d’avoir son INDEPENDANCE, a creer son Armee ❓ . Cette question est suffisante pour que vous vous retrouveiz et vous reprenez votre esprit.
Referont nous a la date laquelle Modibo Keita a fête pour la première fois.il est mieux placé que nous tous
DAK,il n y a de confusion que dans ta tête.Sinon l'histoire de l'armée malienne est très claire va à l'inspection des armées ,on te donnera une documentation complète.
En quoi pouvez vous changer quelque chose dans cette affaire entre l’administrateur et son administré!!!!
Là où les les historiens sont absents les politiciens s'en donnent à cœur joie
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